Documents Administratifs

Ci-dessous vous trouverez les documents nécessaires à l’obtention de votre visa pour l’Afrique du Sud*. Veuillez les renseigner et nous les renvoyer par mail à top-visas.com ou par le biais du formulaire de droite.

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L’essentiel

L’essentiel de l’Afrique du Sud : carte d’identité du pays

Capitale

Pretoria (administrative), Le Cap (législative), Bloemfontein (judiciaire)

Langue

Anglais, zoulou, xhosa, afrikaans, sotho du Nord, sotho du Sud, tswana, tsonga, venda, swati et ndébélé

Devise et change

Devise

Le rand sud-africain (ZAR)

 

Décalage horaire

GMT + 2h

Formalités d’entrée

Les voyageurs de l’Union européenne, de Suisse et du Canada n’ont pas besoin de visa pour des séjours touristiques ou d’affaires de moins de 90 jours. Il suffit d’être en possession d’un passeport dont la validité est d’au moins 30 jours après la fin du séjour prévu.

Adresses et numéros utiles

Ambassade à l’étranger

250 Melk Street, Corner Middel Street, Nieuw Muckleneuk Pretoria 0181 – tél. +27 (12) 425 16 00 ; fax. +27 (12) 425 16 09 ; www.ambafrance-rsa.org

Ambassade en France

59, quai d’Orsay 75343 Paris cedex 07 – tél. +33 (0)1 53 59 23 23 ; fax. +33 (0)1 47 53 23 33 ; www.afriquesud.net

Electricité

220/230 V ou 220/250 V

Téléphone

+ 27

Entrée / Séjour

Visa

Séjours inférieurs à 90 jours

  • Pour des séjours touristiques, privés ou d’affaires en Afrique du Sud inférieurs à 90 jours, les titulaires d’un passeport français (ordinaire, diplomatique ou de service) sont dispensés de visa préalable. Un permis de séjour de 90 jours sera délivré à la frontière à l’entrée sur le territoire sud-africain.
  • Le passeport doit impérativement comporter deux pages vierges et être encore valable 30 jours après la date prévue de sortie du territoire sud-africain. A défaut, les voyageurs sont refoulés à l’arrivée.
  • Au-delà de 90 jours de séjour, il est possible, sous certaines conditions, de prolonger son séjour pour 3 mois supplémentaires en sollicitant, avant son expiration, une prorogation du visa auprès des services d’immigration sud-africains (Home Affairs).

Tout voyageur quittant le pays après la date d’expiration de son visa, encourt arrestation, détention, puis comparution devant un juge et paiement d’une forte amende.

Séjours supérieurs à 90 jours

  • Pour des séjours en Afrique du Sud supérieurs à 90 jours, le visa est obligatoire et doit être demandé avant le départ auprès de l’Ambassade d’Afrique du Sud en France.

Certificat de vaccination contre la fièvre jaune

  • Un certificat de vaccination contre la fièvre jaune est exigé pour tout voyageur en provenance d’une zone infectée. Cette vaccination doit avoir été effectuée 10 jours avant l’entrée sur le territoire sud-africain.

Il s’agit notamment des pays suivants :

En Afrique : Angola, Bénin, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, République Centrafricaine, Tchad, Congo, Côte d’Ivoire, République Démocratique du Congo, Ethiopie, Guinée Equatoriale, Gabon, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissao, Kenya, Libéria, Mali, Mauritanie, Niger, Nigéria, Rwanda, Sao Tomé et Principe, Sénégal, Sierra Leone, Somalie, Soudan, Tanzanie, Togo, Ouganda, Zambie.

Hors Afrique : Argentine, Bolivie, Brésil, Colombie, Equateur, Guyane Française, Guyane, Panama, Paraguay, Pérou, Surinam, Venezuela.

Tout voyageur qui ne respecterait pas cette condition encourt le risque de se voir refouler.

Santé

Une épidémie de choléra affecte plusieurs régions d’Afrique du Sud. Le parasite de la bilharziose est présent dans certaines rivières. Demandez conseil aux gens qui connaissent la région avant de vous baigner dans un cours d’eau. Le paludisme touche la moitié nord du pays. La vaccination contre la fièvre jaune est exigé pour les voyageurs en provenance d’une zone infectée et celles de la diphtérie-tétanos-polimyélite, de la fièvre typhoïde et des hépatites A et B sont recommandées.
En savoir plus sur http://www.lonelyplanet.fr/destinations/afrique/afrique-du-sud/lessentiel#hlS0BIq4cmVu3oCF.99

Change

Afrique du Sud

Vous changerez aisément vos espèces dans les banques et les bureaux de change de toutes les grandes villes.

La plupart des banques acceptent les chèques de voyage libellés dans les principales devises, mais les commissions sont variables.

Thomas Cook édite des chèques de voyage en rands, mais il est préférable d’opter pour une monnaie forte, comme le dollar américain ou l’euro.

Si vous achetez des chèques en rands, faites-le juste avant votre départ afin de minimiser les effets de

la dévaluation.

En Afrique du Sud, Thomas Cook est représenté par la chaîne d’agences de voyages Rennies Travel (www.renniestravel.com), qui possède des bureaux dans les grandes villes.

On trouve des bureaux de change American Express dans les grandes villes.

Rennies Travel et American Express ne prélèvent pas de commission pour changer les chèques de voyage. Toutefois, les banques pratiquent souvent des taux plus intéressants.

Conservez quelques-uns de vos reçus de change. Vous devrez les présenter pour reconvertir vos rands avant votre départ.

Lesotho

Le seul endroit où vous pourrez changer sans risque des espèces et des chèques de voyage est Maseru.

Comptez 2,5% de commission sur les chèques (minimum 25 M) et 1,25% sur les espèces (minimum 40 M).

On vous délivrera des billets en rands sur demande.

Swaziland

La FNB et la Nedbank changent les espèces et les chèques de voyage à des taux similaires, moyennant une commission variable.

La plupart du temps, les banques demandent à voir le reçu qui vous a été délivré lors de l’achat des chèques.

La Standard Bank possède des agences à Mbabane, Manzini, Nhlangano, Piggs Peak, Simunye, Tshaneni, Matsapha et Big Bend.

La FNB est bien implantée à travers le pays.

Nedbank est représentée à Mbabane, Manzini et Matsapha.
En savoir plus sur http://www.lonelyplanet.fr/destinations/afrique/afrique-du-sud/argent/devise-et-change#cRVZtptiVze5ScTQ.99

Brève

Clôture des saisons France-Afrique du Sud (2012-2013) (Paris, 20 décembre 2013)

Avec près de 370 événements culturels, ces saisons ont rencontré un grand succès auprès du public dans nos deux pays et ont permis à nos acteurs culturels d’approfondir leur connaissance mutuelle.

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Introduction

Petite carte Afrique du Sud

Petite carte Afrique du Sud

Près de vingt après la fin de l’apartheid, l’Afrique du Sud reste confrontée à de multiples défis. Défi économique : l’économie a été affectée par la récession de 2009, et peine à renouer avec une croissance forte. Défis sociaux : avec la persistance du chômage massif et des inégalités, les tensions sociales s’aggravent. Défi politique : fort de sa légitimité historique, l’ANC exerce une hégémonie excluant encore toute alternance, et les changements au pouvoir relèvent davantage de jeu d’appareil que d’une compétition pluraliste.

L’Afrique du Sud reste néanmoins, de loin, la première économie du continent, un pays industriel, et un Etat de droit attractif pour les investisseurs. Elle constitue le premier partenaire commercial de la France en Afrique sub-saharienne (20% de nos exportations). Membre des BRICS et du G20, l’Afrique du Sud est un acteur diplomatique au rôle croissant en Afrique, et dont la voix compte sur la scène internationale.

Site de l’ambassade de France en Afrique du Sud

Représentations françaises

250, Melk street – New Muckleneuk0 181 Pretoria

+27 (0) 12 425 1600

+27 12 425 1609

france@ambafrance-rsa.org

http://www.ambafrance-rsa.org/

Représentations diplomatiques et consulaires en France

Fonctions consulaires assurées par l’Ambassade

59, Quai d’Orsay 75343 Paris Cedex 07

01.53.59.23.23

info@afriquesud.net

http://www.afriquesud.net/

Contacts utiles

Agence consulaire de Port Elizabeth : +27 41 360 27 30

Agence consulaire d’East London : +27 43 735 21 25

Police secours (urgence) : 10111 (appel gratuit)

Ambulances : 999

Organismes de secours médicaux d’urgence (agressions, viols…)

Tél. : 0800.111.911 (Africure) ou 0800.100.913 (medical rescue international

Secours de la province du Cap occidental (Western Cape) : 107 – +27 21 480 77 00 National sea rescue intitute : +27 21 449 35 00

Urgences médicales

Johannesburg : (011) 624.2800
Sandton : (011) 789.1111
Randburg : (011) 805.3121
Bedfordview : (011) 455.1111 – Ambulances : 999

Médecins agréés par le Consulat général à
Johannesburg

Ambulance / Secours en montagne

South African National Parks – Crime Hotline : 0800 00 44 24 (depuis l’Afrique du Sud) ou +27 12 543 5338 (depuis l’étranger) (appel gratuit, 24/7)

Secours en cas d’empoisonnement

Région du Cap :

Red Cross Children’s hospital : (021) 65.85111
Tygerber : (021) 9316129
Pompiers : (021) 5351100

Région de Johannesburg :

Centre anti-poisons : (011) 642.2417 ou (011) 488.3108

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Documents Administratifs

Ci-dessous vous trouverez les documents nécessaires à l’obtention de votre visa pour l’Algérie*. Veuillez les renseigner et nous les renvoyer par mail à top-visas.com ou par le biais du formulaire de droite.

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L’essentiel

Capitale

Alger

Langue

Arabe (langue officielle), français et dialectes berbères (tamazight)

Devise

Le dinar algérien (DZD)
Décalage horaire

GMT/UTC +1h

Formalités d’entrée

Obligatoire pour tous les ressortissants. Renseignez-vous auprès de l’ambassade d’Algérie de votre pays sur les formalités. Les tours-opérateurs les prennent fréquemment à leur charge.

Entrée / Séjour

Passeport en cours de validité et visa

Seules les autorités algériennes compétentes peuvent donner une information fiable et actualisée au sujet des conditions d’entrée et de séjour en Algérie des ressortissants français. Il vous est donc recommandé de prendre contact avec les consulats d’Algérie.

Les informations ci-après, malgré toutes les précautions prises avant leur diffusion, sont donc données sous toute réserve car les pratiques consulaires algériennes peuvent changer.

1. L’entrée

1.1. Cadre juridique

Le décret n° 76-56 du 25 mars 1976 prévoyait la dispense de visa d’entrée pour les ressortissants français. Toutefois, cette disposition est tombée en désuétude depuis l’instauration du visa d’entrée. Les ressortissants français souhaitant se rendre en Algérie doivent obtenir un visa au préalable.

Aucun texte spécifique ne s’applique à la délivrance de visas aux ressortissants français. C’est donc le droit commun qui s’applique. Les dispositions règlementaires relatives aux visas délivrés par les consulats d’Algérie sont contenues dans le décret n° 66-211 du 21 juillet 1966 modifié par le décret n° 03-251 du 19 juillet 2003 (JORA du 20 juillet 2003).

Les personnes titulaires d’un passeport diplomatique sont dispensées de visa pour des séjours inférieurs à 90 jours.

1.2. Conditions de délivrance des visas

Les conditions d’entrée en Algérie sont décrites sur le site Internet de l’Ambassade d’Algérie en France.

1.3. Consulat compétent

La demande de visa doit être déposée auprès du consulat d’Algérie compétent pour le lieu de résidence du demandeur.

1.4. Cas particulier de l’escale portuaire (ressortissants français voyageant par bateau)

Le visa n’est pas requis si les déplacements se limitent au port.

En revanche, pour sortir du port, que ce soit pour passer quelques jours en Algérie ou pour se rendre ne serait-ce que quelques heures en ville, un visa est exigé.

Les services de police des frontières, en l’absence de visa, peuvent délivrer un permis d’escale conformément au décret de 2003.

2. Extension des visas sur place

Le visa peut être prolongé en Algérie sous certaines conditions. Bien avant l’expiration du visa en cours, s’adresser à : Wilaya d’Alger Bureau des étrangers 20, bd Zighout Youcef Tel : 021 73 00 73

3. Le séjour

3.1. Les dispositions bilatérales

Le décret n° 76-56 du 25 mars 1976 distingue3 cas:

  • Les ressortissants français établis en Algérie au 2 avril 1976(date de publication du décret) : délivrance automatique d’un certificat de résidence (art. 2).
  • Les coopérants: dispense du certificat de résidence ; délivrance d’une carte de coopérant (art. 3).
  • Les autres ressortissants français qui souhaitent s’établir en Algérie et qui peuvent obtenir un certificat de résidence sur justification (art. 4) : — soit de leur qualité de travailleur salarié; — soit de leur inscription au registre de commerce ou au registre de métiers ou à un ordre professionnel; — soit de la possession de moyens d’existence suffisants.

Les cartes de coopérant ou les certificats de résidence sont délivrés gratuitement(art. 7).

La durée de validité du certificat de résidence est fixée par l’article 5 qui distingue 6 cas.

3.2. Les modalités pratiques

Les modalités de délivrance ne sont pas précisées, mais l’expérience montre que ce sont celles du droit commun :

  • Tout étranger qui désire prolonger son séjour en Algérie au-delà du délai fixé par le visa en vue d’y fixer sa résidence habituelle doit être muni d’une carte de résident.
  • Toute demande de carte de résident doit être présentée au bureau des étrangers de la sureté de Daïra (commissariat de police) du lieu de résidence.

Le ressortissant étranger désirant fixer sa résidence effective, habituelle et permanente en Algérie est considéré comme résident lorsqu’il aura été autorisé par l’attribution d’une carte de résident dont la durée de validité est de deux ans.

La carte de résident peut être refusée ou retirée à tout moment à son titulaire s’il est établi qu’il cesse de remplir l’une des conditions exigibles pour son attribution.

L’intéressé doit alors obligatoirement quitter le territoire algérien dans le délai de quinze jours à compter de la date de notification de la mesure. A titre exceptionnel, il pourra lui être accordé un délai supplémentaire.

Assurance-voyage

Les demandeurs de visa de court séjour doivent prouver à l’appui de leur demande de visa qu’ils sont titulaires d’une assurance-voyage couvrant les frais de rapatriement pour raisons médicales et de soins médicaux et hospitaliers d’urgence.

Conditions d’entrée et de sortie du territoire algérien pour les mineurs (âgés de moins de 19 ans)

L’autorisation paternelle relative à la circulation transfrontière des enfants mineurs résidant à l’étranger, voyageant seuls ou accompagnés n’est plus exigées par les autorités algériennes, depuis l’entrée en vigueur de l’instruction ministérielle n°008/10 du 15 juillet 2010, du Ministre de l’Intérieur et des Collectivités Locales.

Sauf si l’un des deux parents a obtenu une décision de justice de l’une des instances judiciaires algériennes compétentes, interdisant sa sortie à l’étranger, l’enfant peut voyager avec l’un de ses deux parents sans production d’autorisation paternelle ou maternelle.Ainsi, seule la production d’un passeport en cours de validité et d’une pièce justifiant le lien de parenté suffit. Les enfants résidant en France devront en outre présenter toute pièce justifiant de la présence régulière sur le territoire (Titre d’Identité Républicain -TIR, Document de Circulation pour Enfant Mineur – DCEM, passeport ou carte nationale d’identité français en cours de validité).

L’autorisation du parent investi de la tutelle légale n’est exigée que lorsque l’enfant mineur voyage seul ou en compagnie d’une tierce personne majeure. Cette autorisation devra être légalisée auprès du Commissariat de police territorialement compétent ou par l’Officier d’état civil de la Commune du lieu de résidence ou auprès des représentations diplomatiques et consulaires accréditées à l’étranger.

L’instruction ministérielle n° 008/10 est disponible sur lesite internet du Ministère de l’Intérieur et des Collectivités Locales algérien.

Situation militaire

Depuis plusieurs années, de nombreux Français possédant concurremment la nationalité algérienne, porteurs d’un passeport français revêtu d’un visa algérien ou d’un passeport algérien délivré par une autorité consulaire algérienne en France, sont, au moment de quitter l’Algérie, retenus dans ce pays s’ils ne sont pas en mesure d’apporter la preuve de la régularité de leur situation militaire.

Il est, de ce fait, vivement conseillé à tout Français susceptible de posséder également la nationalité algérienne, de se munir de documents justifiant de sa position militaire à l’égard de l’un ou l’autre pays.

 

Adresses et numéros utiles

Ambassade à l’étranger

25 chemin A.-Gadouche, Hydra 16035 Alger – tél. +213 21 98 17 17 ; www.ambafrance-dz.org

Ambassade en France

50, rue de Lisbonne 75008 Paris – tél. +33 (0)1 53 93 20 20 ; www.amb-algerie.fr

Electricité

220 V, 50 Hz

Téléphone

+ 213
En savoir plus sur http://www.lonelyplanet.fr/destinations/afrique/algerie/lessentiel#blAMXOf1M2JSGgWu.99

Brève

Algérie – Accident aérien (11 février 2014)

Nous avons appris avec émotion l’accident aérien qui a coûté la vie en Algérie à 77 personnes, et notamment à des familles de militaires.

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Introduction

 

algérie petite carte

Algérie petite carte

Les relations entre la France et l’Algérie se caractérisent par leur profondeur et leur intensité. Elles se fondent en particulier sur des liens humains et historiques sans équivalent pour les deux pays. Au sortir de la décennie des années 1990, l’élection du président Bouteflika a permis une relance des relations bilatérales, que sont venues confirmer les visites d’Etat des Présidents Chirac et Sarkozy en 2003 et 2007, puis celle du Président de la République, François Hollande, les 19-20 décembre 2012.

L’année 2012, qui fut celle du cinquantenaire de l’indépendance algérienne, a été marquée en France par une alternance politique et en Algérie par la promulgation de six lois cadres encadrant la vie politique en janvier, puis en mai par l’élection de la nouvelle chambre des députés, suivie de la nomination d’un nouveau Premier ministre, M. Abdelmalek Sellal, en septembre.

L’ensemble de ces évolutions a permis à la relation franco-algérienne d’entrer dans une nouvelle ère, inaugurée par la visite d’Etat du président Hollande. Cette nouvelle ère se traduit par une intensification du dialogue politique à travers un flux continu de visites de haut niveau de part et d’autre.

La déclaration d’Alger sur l’amitié et la coopération entre la France et l’Algérie, signée par les deux présidents à l’issue de la visite d’Etat, a été complétée par le communiqué conjoint des deux ministres des Affaires étrangères. Ce communiqué se réjouit de la signature de nombreux documents et accords, dont le document cadre de partenariat renouvelant pour cinq ans celui adopté en 2007, un mémorandum de coopération financière et une déclaration conjointe pour un partenariat industriel et productif.

Site de l’ambassade de France en Algérie

 

Mise à jour : 13.12.13

Dernière minute

Risque terroriste

A la suite de l’attaque terroriste d’In Amenas, qui s’est soldée le 20 janvier 2013 par la mort de 37 ressortissants étrangers, dont un ressortissant français, et en raison de la persistance d’un risque terroriste élevé dans la région (cf. fiche « Infos pratiques » Sécurité au Sahel), lié notamment à la poursuite des opérations militaires en cours au Mali, la plus grande prudence s’impose à tous nos ressortissants résidant en Algérie ou prévoyant de s’y rendre.

Les déplacements sont en particulier formellement déconseillés à nos ressortissants au Sud et au centre de l’Algérie, dans la zone rouge définie par ce site (cf. carte de la rubrique Sécurité).

Tous les ressortissants français voyageant en Algérie sont appelés à se signaler au Centre de crise du Ministère des Affaires étrangères en s’inscrivant sur le site Ariane.

Sécurité

ariane  Ariane pour votre sécurité, restez connecté. Inscrivez-vous.

Les menaces renouvelées d’Al-Qaïda au Maghreb Islamique contre les intérêts français, la persistance d’attaques menées par les groupes terroristes, principalement contre les forces de l’ordre dans le quart Nord-Est du pays, mais susceptibles de concerner aussi bien les étrangers et d’autres régions, comme l’a montré l’attaque terroriste d’In Amenas de janvier 2013, et la dangerosité accrue de la zone sahélienne, limitrophe de l’Algérie, aboutissent à ce que le risque terroriste reste élevé en Algérie. Ce risque concerne toutes les régions en Algérie, aussi bien les régions du Nord que le Grand Sud.

Les déplacements sont formellement déconseillés à nos ressortissants au Sud et au centre de l’Algérie, dans la zone rouge définie par ce site(cf. carte de la rubrique Sécurité). Il en découle a fortiori que tout projet de se rendre au Mali, au Niger ou en Mauritanie par voie terrestre en traversant le territoire algérien est à proscrire absolument. Cf. Sécurité au Sahel.

Les déplacements sont déconseillés dans le reste du pays, sauf raison impérative.

Les déplacements professionnels et touristiques sont possibles dans les villes d’Alger et de Tipasa, d’Oran et de Tlemcen, sous réserve de faire preuve d’une grande vigilance.

Tous les ressortissants français voyageant en Algérie sont appelés à se signaler au Centre de crise du Ministère des Affaires étrangères en s’inscrivant sur le site Ariane.

Nord du pays

Le risque d’action terroriste demeure très élevé en Kabylie et dans certaines wilayas (Massif des Aurès, extrême Nord-Est) du quart Nord-Est où des actions de groupes terroristes se produisent plusieurs fois par semaine. Les wilayas de Bouira ou de Tizi-Ouzou sont en particulier régulièrement la cible d’actes terroristes. La zone frontalière avec la Tunisie et la Libye doit être également considérée comme particulièrement sensible.

Selon la situation sécuritaire, certains axes routiers et certaines zones peuvent être interdits à la circulation par les autorités algériennes. Celles-ci peuvent également imposer une escorte assurée par la police, la gendarmerie ou l’armée.

Dans ces régions, tout déplacement par voie routière, même avec une escorte au demeurant nécessaire, doit être considéré avec la plus grande prudence. Les déplacements par avion doivent toujours être privilégiés. Tout en restant prudent en toute circonstance et sur tous les axes, il est nécessaire d’éviter les axes secondaires et non surveillés et de ne pas circuler la nuit. Il convient aussi d’éviter les déplacements répétés à itinéraire et horaire constants.

Même s’il est en net recul, le risque terroriste subsiste encore dans d’autres régions du Nord du pays. Des attaques terroristes se sont produites récemment dans les wilayas d’Ain Defla ou de Medea. L’académie militaire de Cherchell, située à une centaine de kilomètres à l’Ouest d’Alger, avait par ailleurs été victime d’un attentat, le 26 août 2011, qui avait fait 18 tués et plusieurs blessés parmi les militaires algériens.

Zone désertique centrale

C’est dans cette partie du pays, dans une zone située à l’Est, à proximité de la frontière libyenne, que s’est déroulée, du 16 au 20 janvier 2013, la prise d’otages du site gazier d’In Amenas. Cette attaque terroriste de grande ampleur s’est soldée par la mort de 37 ressortissants étrangers dont un ressortissant français qui travaillait sur le site.

Un attentat kamikaze, revendiqué par le MUJAO, avait frappé un bâtiment de la gendarmerie algérienne à Ouargla en juin 2012. Trois humanitaires ont été enlevés par le MUJAO dans les camps sahraouis de Tindouf en octobre 2011, avant d’être relâchés en juillet 2012.

Grand Sud algérien

Le risque terroriste concerne également le grand Sud du pays. La région de Tamanrasset, où un attentat revendiqué par le MUJAO a été commis contre un bâtiment de la gendarmerie en mars 2012, et la région de Djanet, sont particulièrement exposées.

Dans les grandes villes algériennes

Les déplacements professionnels et touristiques dans les villes d’Alger et de Tipasa, d’Oran et de Tlemcen sont possibles, sous réserve de faire preuve d’une grande vigilance.

Le risque terroriste est contenu par le dispositif sécuritaire déployé mais il reste nécessaire de faire preuve de prudence. Les villes (dont Alger et Oran) ont pu connaître des mouvements sociaux importants qui dégénèrent parfois en émeutes urbaines.

Les autorités algériennes ont constaté une recrudescence de la délinquance et de la petite criminalité, ce qui doit amener chacun à adopter les consignes de prudence habituelles dans les villes exposées à ce type de danger.

Il convient de manière générale de demeurer dans les quartiers centraux et résidentiels et d’éviter les quartiers périphériques. Il est recommandé d’adopter une attitude discrète et conforme aux usages, règles et coutumes habituellement en vigueur dans les pays majoritairement musulmans.

Compte tenu d’une circulation automobile intense, la plus grande prudence est recommandée en ville et sur les routes.

Conseils élémentaires de sécurité

Les voyages impliquant des déplacements par la route en dehors des grandes villes, demeurent déconseillés en Algérie.

Il convient de préférer l’avion pour les déplacements dans le pays. En cas de transport par la route, il est recommandé de privilégier les grands axes et d’éviter de circuler la nuit.

Dans le cas d’un voyage d’affaires ou d’étude, il convient de s’assurer concrètement que l’organisme ou la société hôte a prévu un accompagnement ou une protection le cas échéant. Il est d’usage que toute personne ou groupe invité par une institution publique algérienne bénéficie d’un accompagnement. Dans tous les cas, il est avisé de se déplacer accompagné d’une personne de confiance connaissant les lieux.

Arrivée

Pour de nombreux voyageurs, l’arrivée s’effectue par l’aéroport Houari Boumediene d’Alger. Compte tenu des abords parfois encombrés des accès à l’aéroport, il est vivement recommandé de signaler son arrivée de manière à être accueilli. Dans l’hypothèse où le voyageur ne peut être attendu, il est conseillé de réserver à l’avance une voiture de location avec chauffeur ou de prendre un taxi. Des adresses de loueurs sûrs peuvent être fournies par les hôtels ou l’Office National du Tourisme (ONT) et les agences de voyage. Les mêmes précautions valent pour les autres aéroports d’accès.

Hébergement

Il est recommandé de séjourner dans des hôtels sécurisés dont les accès sont filtrés :

  • Alger : El Djazair (ex Saint-Georges), Aurassi, Sofitel, Hilton, Mercure, Sheraton (éloigné de la ville mais situé au bord de la mer), Dar Diaf, Albert 1er, à titre d’exemples.
  • Oran : Royal Hôtel, Sheraton, Phoenix, El Mouahidine, Bel Air.
  • Constantine : Cirta, Panoramic.
  • Annaba : Seybouse.
  • Bejaia: Le Cristal, le Zéphir.
  • Tlemcen: Les Zianides.

Il est suggéré, à l’arrivée, de se faire préciser les consignes de sécurité et de conserver les clés sur soi. En dehors des hôtels sécurisés, il existe dans les villes des restaurants où l’on peut se rendre : se renseigner localement.

Risque sismique

Le nord de l’Algérie, situé à la limite des plaques tectoniques entre l’Afrique et l’Europe, est caractérisé par une forte sismicité. Il est enregistré mensuellement de 30 à 40 secousses d’une magnitude de 1,2 à 3,5 en Algérie. Les services de la protection civile algérienne sont mis en alerte à partir du niveau 3,5. A titre d’exemple, la protection civile a été mise en alerte à 5 reprises au mois de mai 2013, l’essentiel de ces secousses se produisant dans la partie centre du pays. Le dernier séisme de grande ampleur (6,6) s’est produit en 2003 dans la région de Boumerdes, à l’Est d’Alger. Il avait fait 1700 morts et des milliers de blessés.

Si un tremblement de terre se produisait, il vous est recommandé de prendre immédiatement contact avec votre famille ou vos proches afin de les rassurer sur votre sort ou, le cas échéant, en cas de problème de communication avec l’extérieur, avec le consulat de France de la circonscription concernée.

Consultez la fiche située sur le site internet du Consulat Général de France à Alger.

algérie grande carte

algérie grande carte

Transports

Infrastructure routière

Pour des raisons de sécurité, le transport interurbain en commun par route reste très fortement déconseillé. Le risque de faux barrages dressés par des groupes armés est toujours à redouter sur un certain nombre de routes, y compris sur les axes très fréquentés, souvent à la tombée de la nuit. En outre, le nombre d’accidents de la circulation apparaît particulièrement élevé, moins en raison de l’état du réseau, qui est dans l’ensemble bon, que du non-respect par les automobilistes du code de la route. Compte tenu d’une circulation automobile intense, la plus grande prudence est recommandée en ville et sur les routes.

Réseau ferroviaire

Le transport par train est à éviter.

Réseau maritime

La Société Nationale Corse Méditerranée (SNCM) assure la desserte des ports d’Alger et de Skikda à partir de Marseille, ainsi que la liaison sur Oran au départ d’Alicante (Espagne). Le ferry peut transporter aussi bien des véhicules que des passagers à pied. Il est préférable, pour les personnes voyageant sans moyen de locomotion, de prévoir un accueil par des personnes de confiance à l’arrivée. Pour les autres, il est déconseillé de quitter en véhicule les agglomérations après la tombée de la nuit.

Transport aérien

Les compagnies françaises Air France, Aigle Azur desservent l’Algérie au départ des principales villes de France (Paris, Nice, Montpellier, Lille, Lyon, Marseille), à destination d’Alger, d’Oran, de Tlemcen, de Bejaia, de Constantine et d’Annaba. La compagnie publique algérienne Air Algérie assure par ailleurs de nombreuses liaisons entre les deux pays.

Pour tout déplacement à l’intérieur du pays, il convient toujours, pour les raisons de sécurité exposées ci-dessus, de préférer systématiquement l’avion à l’automobile. Le réseau des lignes intérieures est au demeurant dense.

Santé

Avant le départ

Consultez votre médecin (éventuellement votre dentiste) et souscrivez à une compagnie d’assistance couvrant les frais médicaux et le rapatriement sanitaire.

Prévention du paludisme

Le pays connaît des cas sporadiques de transmission de paludisme : il est admis de ne pas prendre de traitement préventif, mais il est nécessaire de consulter un médecin en cas de fièvre.

Vaccinations

  • La mise à jour de la vaccination diphtérie-tétanos-poliomyélite est recommandée.
  • D’autres vaccinations, comme les hépatites virales A et B, ou la fièvre typhoïde pourront vous être conseillées par votre médecin traitant.

Hygiène alimentaire

Il est conseillé de :

  • veiller à une bonne hygiène alimentaire (conditions de conservation des aliments, cuisson suffisante),
  • s’assurer de la qualité de l’eau (préférer l’eau en bouteille capsulée),
  • de veiller à un lavage régulier et soigneux des mains avant chaque repas.

Informations particulières

Quelques cas de méningite et de fièvre typhoïde sont régulièrement rapportés dans plusieurs régions. Il est donc recommandé de s’informer avant le départ auprès de son médecin traitant.

Quelques règles simples

  • Pour des raisons bactériologiques, les baignades sur le littoral sont déconseillées en particulier à proximité des zones urbaines.
  • Ne caressez pas les animaux que vous rencontrez.
  • Veillez à votre sécurité routière (port de la ceinture de sécurité en automobile ou du casque à moto).
  • Emportez dans vos bagages les médicaments dont vous pourriez avoir besoin.

Pour de plus amples renseignements, consultez les sites Internet suivants :

Infos utiles

Us et coutumes

Hors des sites touristiques, éviter de prendre des photos.

Se conformer aux usages, règles et coutumes habituellement en vigueur dans les pays musulmans, notamment par une tenue vestimentaire et une attitude non provocantes. S’abstenir de fumer dans les lieux publics pendant le Ramadan.

Respecter les lieux de culte.

Divers

Se déplacer avec ses papiers d’identité.

Des grandes compagnies d’assurance personnelle et de rapatriement assurent les déplacements en Algérie. Il est recommandé avant le départ de vérifier que l’assurance contractée assure effectivement une couverture pour ce pays.

Représentations françaises

25, chemin Abdelkader Gadouche16035 HydraAlger

00 (213) 21 98 17 17

http://www.ambafrance-dz.org/

Représentations diplomatiques et consulaires en France

50 rue de Lisbonne 75008 Paris

01.53.93.20.20

chancellerie@amb-algerie.fr

http://www.amb-algerie.fr

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Documents Administratifs

Ci-dessous vous trouverez les documents nécessaires à l’obtention de votre visa pour l’Angola*. Veuillez les renseigner et nous les renvoyer par mail à top-visas.com ou par le biais du formulaire de droite.

* A nous retourner remplis dans les plus brefs délais

Entrée / Séjour

Il est impératif d’être muni d’un visa avant de se rendre en Angola. Aucun visa n’est délivré sur place, y compris à l’aéroport. Les missions diplomatiques et consulaires angolaises ne délivrent pas de visa touristique. Visa délivré sur présentation de garanties de ressources et d’hébergement (une lettre de prise en charge par un organisme opérant en Angola est indispensable). Délai de délivrance : 15 jours, durée de validité du visa à une seule entrée : 30 jours. Les ressortissants français qui se rendent en Angola pour une durée inférieure ou égale à 4 semaines (par exemple rotation de personnels du secteur pétrolier ou para pétroliers) doivent solliciter auprès du S.M.E (service de migrations des étrangers) un visa de travail temporaire (lorsqu’ils en sont démunis) de manière à pouvoir retirer leur passeport avant tout départ.

Les délais de traitement des dossiers par le SME impliquent que ces demandes soient déposées dès leur arrivée.

Pour de plus amples informations, adressez-vous à l’Ambassade d’Angola à Paris, adresses des missions étrangères en France (sur le site de la Maison des Français de l’étranger).

 

Sécurité

ariane Ariane pour votre sécurité, restez connecté. Inscrivez-vous.

L’Angola demeure un pays où la quasi-totalité des visiteurs se rendent pour des raisons professionnelles (expatriés envoyés par des entreprises étrangères installées dans le pays, hommes d’affaires en prospection).

En raison de l’accroissement du nombre d’agressions en Angola et de l’usage d’armes à feu, notamment à Luanda, il est recommandé de respecter les mesures de prudence suivantes :

  • circuler en voiture vitres fermées et portes verrouillées (ne jamais circuler à pied de nuit, y compris en centre-ville) ;
  • éviter de stationner son véhicule dans des endroits peu fréquentés ou mal éclairés ;
  • faire preuve de discrétion en évitant d’arborer bijoux et accessoires ou équipements de valeur ;
  • être très vigilant lors des retraits d’argent (en sortant des établissements bancaires, ceux-ci étant à privilégier plutôt que les distributeurs bancaires) ;
  • n’opposer aucune résistance à tout agresseur;
  • à l’arrivée comme au départ, surveiller les abords de sa demeure (au portail, à la porte ou à l’entrée de l’immeuble).

Déplacements

Du fait de l’état du réseau routier, de la conduite périlleuse de la plupart des automobilistes, de la présence de mines sur certains axes secondaires et de la rareté des implantations hôtelières, les déplacements en Angola peuvent se révéler problématiques. Ils doivent toujours être effectués en journée.

Province du Cabinda

La Province du Cabinda a été, jusqu’à un passé récent, le théâtre d’incidents armés et d’attaques contre des expatriés. Cette zone est donc formellement déconseillée, à l’exception de la ville de Cabinda qui, placée sous contrôle étroit, est épargnée et où la situation générale est similaire à celle prévalant dans le reste du pays.

Transports

L’accès au territoire angolais doit s’effectuer par voie aérienne. Tout autre moyen de transport est fortement déconseillé, notamment par voie maritime. Les plaisanciers doivent en particulier éviter la région de Cabo Ledo, au sud de Luanda, qui abrite des installations militaires angolaises.

Infrastructure routière

Le nombre croissant de véhicules et l’état de délabrement de nombreuses rues rendent la circulation à Luanda particulièrement difficile. A l’extérieur de la capitale, l’état des routes, comme le comportement de certains conducteurs (en particulier en fin de semaine), requièrent la plus grande prudence. Les contacts avec la police peuvent s’avérer problématiques.
Veillez à votre sécurité routière (port de la ceinture de sécurité en voiture et du casque en deux roues).

Transport aérien

Les déplacements aériens à l’intérieur du pays doivent s’effectuer sur les appareils de sociétés présentant des garanties sérieuses de sécurité.

Liste des compagnies aériennes qui font l’objet d’une interdiction d’exploitation dans l’Union européenne.

Santé

Avant le départ

Consultez votre médecin (éventuellement votre dentiste) et souscrivez à une compagnie d’assistance couvrant les frais médicaux et le rapatriement sanitaire.

Prévention des maladies transmises par les piqûres d’insectes

Paludisme: Cette maladie parasitaire transmise par les piqûres de moustiques impose le recours à des mesures de protection individuelle (sprays, crèmes, diffuseurs électriques, moustiquaires…).

A ces mesures, doit s’ajouter un traitement médicamenteux adapté à chaque individu : il convient de s’adresser à votre médecin habituel ou à un centre de conseils aux voyageurs. Le traitement devra être poursuivi après le retour en France durant une durée variable selon le produit utilisé.Classification : zone 3.

Durant votre séjour, et durant les deux mois qui suivent votre retour, en cas de fièvre, un avis médical doit être pris rapidement, pour mettre en œuvre dès que possible un traitement anti-paludique éventuel.

Présence de paludisme Vivax: deux foyers dans le sud (Arib-Ihrit) de novembre à mars.

Vaccinations

  • Vaccination contre la fièvre jaune : un certificat de vaccination antiamarile est exigé pour tous les voyageurs. A défaut, un agent du ministère angolais de la Santé fera procéder à cette vaccination sur place avant d’autoriser l’entrée dans le pays.
  • La mise à jour de la vaccination diphtérie-tétanos-poliomyélite est fortement recommandée en raison d’une recrudescence de la poliomyélite depuis 2005.
  • Autres vaccinations conseillées : fièvre typhoïde, hépatites virales A et B.
  • Selon la durée et les conditions de votre voyage, la vaccination anti-méningococcique peut être conseillée. De même, la vaccination contre la rage peut être proposée dans certains cas. Demandez conseil à votre médecin ou à un centre de vaccinations internationales.

Hygiène alimentaire

Prévention de la diarrhée du voyageur et des infections bactériennes :

  • Il est conseillé de ne pas boire l’eau du robinet : préférez les eaux en bouteilles capsulées. A défaut, consommez de l’eau filtrée, bouillie et décontaminée.
  • Évitez l’ingestion de glaçons, de jus de fruits frais, de légumes crus et de fruits non pelés.
  • Évitez la consommation d’aliments (poisson, viande, volaille, lait) insuffisamment cuits.
  • Veillez à un lavage régulier et soigneux des mains avant chaque repas.

Le risque de choléra :
L’Angola est fréquemment touché par des épidémies de choléra. Des mesures d’hygiène alimentaire strictes s’imposent à toute personne devant se rendre dans le pays:

  • Veillez à la qualité des aliments (abstention de tout achat de nourriture dans les rues) et à leur bonne cuisson,
  • Ne consommez pas de fruits et légumes achetés à des vendeurs sur le trottoir ou sur des marchés dont la salubrité n’est en apparence pas respectée.
  • Pelez les fruits ou légumes, ou les faire bouillir
  • Évitez les crudités et les produits de la mer (coquillages).

VIH – Sida

Forte prévalence du VIH – Sida. Toute mesure de prévention est indispensable.

Quelques règles simples

  • Évitez les baignades dans les eaux stagnantes (risque d’infection parasitaire).
  • Évitez de marcher pieds nus sur le sable et les sols humides.
  • Ne caressez pas les animaux que vous rencontrez.
  • Ne consommez jamais de médicaments achetés dans la rue.
  • Emportez dans vos bagages les médicaments dont vous pourriez avoir besoin.

Risques particuliers

Trypanosomiase endémique dans le nord du pays.

Traitements

La plupart des pathologies graves requièrent une évacuation sanitaire. Le numéro du contrat de l’assuré ainsi que les coordonnées de la compagnie pourront être fournis au consulat dès l’arrivée.

Cliniques

La qualité des diagnostics, des analyses et des soins médicaux en Angola n’est pas encore au niveau des standards internationaux en la matière. Par ailleurs, les tarifs pratiqués sont souvent de deux à cinq fois plus élevés qu’en France. Pour autant, parmi les établissements implantés à Luanda, ceux qui peuvent être retenus sont les suivants :

Pour de plus amples renseignements, consultez les sites Internet suivants :

Institut Pasteur (fiche pays)
Institut de veille sanitaire
Organisation Mondiale de la Santé

Infos utiles

Législation locale

L’usage et la revente des stupéfiants entraînent de lourdes peines de prison.

Représentations françaises

31/33 Rua Reverendo Pedro Neto
BP 584Luanda

(00 244 222) 33 43 35

cad.luanda-amba@diplomatie.gouv.fr

+244 222334335

+244 222334841

(permanence assurée 24h/24, week-ends et jours fériés)

http://www.ambafrance-ao.org/

Représentations diplomatiques et consulaires en France

19, avenue Foch75116Paris

01.45.01.58.20

sg@emb-ang.fr

Contacts utiles

+244 (222)39 29 33
+244 (222)33 48 41
+244 (222)33 67 00
+244 (222)33 71 00

Cliniques disposant d’un service d’urgences accessible 24h/24 :

  • Sagrada Esperanza – Av. Mortala Mohamed – Ilha – Luanda (Tél : +244 (222) 309 360 / 361 ou +244 (222) 309 688 / 034 Mobile : +244 923 416 634 / 35 / 36 ou +244 912 501 348)
  • Girassol – Avenida Revolução de Outubro – Maianga – Luanda (Tél : +244 (226) 698 416 – 698 037)
  • Multiperfil – Rua Morro Bento – Luanda (Tél : +244 (222) 469 447 / 449 – Mobile : +244 923 501 168)

Cliniques pour des problèmes de santé légers et pour des soins non invasifs :

  • Alvalade – rua Garcia de Resende n°20 – Tél : +244 912.502.257
  • Climed – Alameda Principe Real – Miramar – Tél : +244 (222) 444 703
  • Clidopa – rua Rainha Ginga n°128 – Tél : +244 (222) 291 488
  • Espirito Santo – rua da Liberdade n°15 – Vila Alice – Tél : +244 (222) 324 135
  • Medigroup – rua Pedro Felix Machado n°10 -Mutamba – Tél : +244 (222) 393 783
  • Meditex – rua da Missão n°52 – Ingombota – Tél : +244 (222) 320 842

Clinique pour des soins dentaires :

  • Biodente : largo Che Guevara n°4 – Tél +244 (222) 396 095
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Documents Administratifs

Ci-dessous vous trouverez les documents nécessaires à l’obtention de votre visa pour le Bénin*. Veuillez les renseigner et nous les renvoyer par mail à top-visas.com ou par le biais du formulaire de droite.

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L’essentiel

Capitale

Porto-Novo (225 000 habitants)

Langue

français (langue officielle), fon, yoruba et une cinquantaine d’autres langues tribales.

Devise

Le franc CFA

Décalage horaire

GMT/UTC + 0 heure

Formalités d’entrée

Le visa (7, 30 ou 90 jours) est obligatoire sauf pour les ressortissants de nombreux pays d’Afrique occidentale et centrale. Un billet de retour, vers une autre destination ou une caution peut être exigé ainsi que votre carnet de vaccination.

Adresses et numéros utiles

Ambassade à l’étranger

Avenue Jean-Paul II BP 966 Cotonou – tél. (+ 229) 21 36 55 33  ; fax (+ 229) 21 36 55 30 ; www.ambafrance-bj.org

Ambassade en France

87 avenue Victor Hugo – 75116 Paris – tél +33 01 45 00 98 82 ; www.ambassade-benin.fr

Electricité

220 V

Téléphone + 229

Bénin : Introduction

Voyager au Bénin offre une opportunité unique d’admirer des paysages uniques au monde, les cités lacustres sur pilotis, habitées par des milliers de pêcheurs. Voilà un spectacle que vous ne verrez nulle part ailleurs en Afrique occidentale. L’autre intérêt de la visite du Bénin restent beaucoup plus discrets et demandent souvent davantage de temps pour dévoiler leurs charmes, en particulier dans les villes comme Cotonou, la plus grande d’entre elles. En tout cas, le Bénin est un pays très hospitalier. La culture traditionnelle, riche et complexe, se maintient très vivace de même que le culte des ancêtres et le culte vodoun.

Le Bénin est un petit pays, mais c’était le royaume le plus important de l’Afrique occidentale. L’esclavage y était très répandu : plusieurs millions d’esclaves, pour la plupart des prisonniers capturés par des tribus ennemies furent envoyés au-delà des mers, principalement au Brésil. Certes, le Bénin connaît les mêmes problèmes que ses voisins : mauvais état des routes et des infrastructures, problèmes d’eau et de santé, et corruption institutionnalisée. Mais il est plus riche et a une économie plus florissante que la plupart de ses voisins.
En savoir plus sur http://www.lonelyplanet.fr/destinations/afrique/benin#bhtO7flR9GLruSd8.99

Brève

Déplacement au Burkina Faso et au Bénin de Pascal Canfin (28 et 29 novembre 2013)

A quelques jours de la Journée mondiale de lutte contre le sida et de la conférence de Washington sur la reconstitution des ressources du Fonds mondial de lutte contre le sida, le paludisme et la tuberculose, cette visite confirmera la mobilisation de la France dans le combat contre les grandes pandémies dont elle est l’un des tout premiers contributeurs.

Lire la suite

Introduction

bénin petite carte

bénin petite carte

 

Les élections présidentielles et législatives de 2011 ont confirmé l’ancrage démocratique du Bénin. Les relations entre la France [voir http://www.ambafrance-bj.org] et le Bénin sont renforcées par de fréquentes visites bilatérales. Le 29 mai 2012, le président Thomas Boni Yayi a été le premier président africain reçu par le président François Hollande.

A l’occasion de sa visite, le Président Boni Yayi a rencontré en outre le Ministre des affaires étrangères, et le Premier Ministre. Un mois après le début de l’intervention de la France au Mali le 11 janvier 2013, à la demande des autorités maliennes et dans le cadre de la résolution 2085 du CSNU, le président Boni Yayi est venu en France en visite de travail (5-8 février). Il s’est entretenu avec le président de la République, le Ministre et le Premier Ministre.

Le 5 juin 2013, le président de la République Boni Yayi a été convié à un déjeuner au Palais de l’Elysée, à l’occasion de la remise du Prix Félix Houphouët-Boigny au président de la République, avec des chefs d’Etat Africains et des membres du jury du Prix.

Le site de l’ambassade de France au Bénin

 

Mise à jour : 11.10.13

Entrée / Séjour

Le visa et une vaccination antiamarile (fièvre jaune) sont obligatoires. Un billet de retour ou pour une autre destination (prouvant que le séjour au Bénin est temporaire) ou le versement d’une caution peuvent être exigés.

Le visa n’est pas délivré à l’aéroport ni aux postes frontières. Il doit être obtenu avant le départ auprès de l’ambassade ou du consulat du Bénin dans le pays de résidence.

Ne pas oublier le carnet de vaccination qui sera exigé à l’arrivée au Bénin.

Sécurité

 

Consignes de sécurité

  • Il est demandé à tous nos ressortissants d’observer une vigilance renforcée et d’adopter une posture de prudence en toutes circonstances et en particulier lors de déplacements sur des axes ou dans des lieux nouveaux et dans les transports en commun.
  • Il est déconseillé sauf raison impérative de séjourner dans la zone comprise entre la Route Nationale Inter-Etats (RNIE) n°2 et la frontière nigériane de Tchaourou à Malanville et dans le parc national du W.
  • Pour des raisons liées à la sécurité routière, il est formellement déconseillé de circuler de nuit sur les routes et les pistes. En outre, il convient de faire preuve d’une grande prudence sur l’ensemble des axes y compris les RNIE en raison de l’activité de «coupeurs de route». Leurs attaques violentes, parfois avec usage d’armes, se déroulent la plupart du temps de nuit, à proximité des agglomérations et des zones frontalières mais des attaques de jour ne sont pas exclues (derniers exemples en date : dans la nuit du samedi 8 au dimanche 9 juin 2013 vers minuit, un véhicule à fait l’objet d’une attaque à main armée à Kpedekpo, faisant un mort et un blessé ; le jeudi 18 juin 2013 vers 14h sur l’axe N’Dali-Djougou, un véhicule d’un bureau de coopération a été stoppé par un groupe d’une dizaine de personnes qui ont tiré sur le chauffeur, le blessant grièvement) ;
  • éviter certains quartiers de Cotonou la nuit (le port, le long des voies ferrées du centre ville, les plages) ;
  • ne pas porter de sacs ou bijoux dans certains lieux très fréquentés (marché Dantokpa) ;
  • n’avoir sur soi que de petites sommes en argent liquide et éviter de manipuler beaucoup d’argent en public. Un billet de 5 000 FCFA représente une somme importante localement et peut susciter la convoitise ;
  • être prudent sur les plages de Cotonou qui sont peu sûres, de jour comme de nuit ;
  • ne pas s’attarder dans les zones frontalières avec le Nigeria de manière à réduire les risques de rencontre avec les trafiquants ;
  • ne pas prendre de photographies ou filmer des personnes sans leur autorisation préalable (une rétribution peut être éventuellement demandée) ;
  • ne pas photographier ou filmer les infrastructures publiques (aéroport, gares, bâtiments de l’administration).

En cas de long séjour, il est recommandé de se faire enregistrer auprès du Consulat de France.

Risques encourus pour délits sexuels

La législation au Bénin prévoit de lourdes sanctions à l’encontre des auteurs de viols, d’attentats à la pudeur, d’actes de débauche et de dépravation. Les peines sont aggravées si la victime est mineure (l’âge légal de la majorité sexuelle au Bénin est fixé par la loi à 21 ans). En tout état de cause et conformément à l’article 113-6 du code pénal, la loi pénale française est applicable à tout crime commis par un Français hors du territoire de la République. Les ressortissants français coupables d’une infraction sexuelle punie par la loi française et commise au Bénin peuvent aussi être poursuivis en France en application de la loi 98-468 du 17 juin 1998 pour des faits constitutifs de délits à caractère sexuel y compris si ceux-ci ne sont pas réprimés par la législation locale (articles 227-22 et suivants du code pénal).

Risques encourus pour trafic de stupéfiants

Au Bénin, le cannabis est considéré, tout comme l’héroïne et la cocaïne, comme une drogue dite « à haut risque ». Toute tentative d’emporter avec soi lors du voyage retour, l’une de ces drogues est qualifiée sur le plan pénal de trafic international quelle que soit la quantité. Les peines encourues sont de dix à vingt ans de prison, assorties d’amendes (référence légale au Bénin : article 96 de la loi 97-025 du 18 juin 1997 relative au contrôle des drogues et des précurseurs).

La France n’ayant pas de convention de transfèrement de prisonniers avec le Bénin, toute peine d’emprisonnement, si lourde soit-elle, doit être purgée au Bénin.

Bénin grande carte

Bénin grande carte

Transports

Infrastructure routière

Le permis de conduire international et un contrat d’assurance local sont obligatoires.

Les grandes routes, qui relient Cotonou au Nigeria, au Togo, au Niger et au Burkina Faso, sont dans un état assez satisfaisant, à l’exception du tronçon Cotonou/Bohicon, très détérioré. L’approvisionnement en carburant ne pose pas de problèmes si l’on fait preuve d’un minimum de prévoyance lors de voyages vers le Nord. En effet, il est fréquent que les stations services connaissent des ruptures de stock.

Attention: les accidents de la route constituent la première cause de mortalité chez les expatriés. La vétusté de nombreux véhicules et notamment des poids lourds, ainsi que le non-respect des limitations de vitesse augmentent les risques d’accidents. Il est conseillé de vérifier l’entretien des véhicules de location. La signalisation défaillante, pour ne pas dire inexistante, des véhicules rend la conduite de nuit encore plus périlleuse que de jour.Pour cette raison, il est fortement déconseillé de rouler la nuit.

En cas d’accident, conduire la victime à l’hôpital ou chez le médecin le plus proche et surtout avant que la population ne réagisse. En cas de réaction violente des témoins de l’accident, quitter les lieux et s’arrêter au premier poste de police pour déclarer l’accident (à Cotonou, au commissariat central).

Pour des déplacements à l’intérieur du pays, on peut utiliser l’autocar (surtout la compagnie Africa Lines dont les horaires présentent l’avantage d’être réguliers ; ou éventuellement, pour les villes non desservies par celle-ci, les taxis brousses).

A Cotonou, il est recommandé de porter un casque pour les déplacements en motos-taxi, appelés localement “zem”, “zemidjans” ou “kekenons”.

Réseau ferroviaire

Le transport ferroviaire des voyageurs est inexistant.

Transport aérien

Il n’y a pas de lignes aériennes intérieures.

Santé

Avant le départ

Consultez votre médecin (éventuellement votre dentiste) et souscrivez un contrat auprès d’une compagnie d’assistance couvrant les frais médicaux et le rapatriement sanitaire. Ne pas oublier d’emporter avec soi le contact de l’assureur et le numéro de sociétaire.

Ne pas hésiter à appeler l’Association médico-sociale du Bénin (AMS) pour prendre des renseignements préalables, notamment en cas de pathologie préexistante et nécessitant des soins spécifiques.
Tél : +229 21 30 10 27.
Adresse électronique : amsbenin@gmail.com

Choléra

Du 13 janvier au 6 février 2010, 69 cas de choléra ont été enregistrés par les autorités sanitaires : 63 (dont 4 décès) dans la commune de Bonou, département de l’Ouémé (Sud-Est), et 6 (dont 1 décès) à Cotonou. Selon ces mêmes autorités, le manque d’hygiène et les problèmes sanitaires à Bonou contraignent les populations de cette localité à consommer l’eau du fleuve, ce qui est de nature à favoriser l’épidémie du choléra. Cette épidémie survient en saison sèche alors que les épidémies de choléra en Afrique de l’Ouest surviennent plus fréquemment pendant la saison des pluies. En septembre 2008, plus de 527 cas suspects de choléra, dont 2 décès (létalité 0,4%), avaient été rapportés principalement à Cotonou et en banlieue (Abomey-Calavi). Des cas avaient également été rapportés à Porto-Novo.

Prévention du paludisme (malaria)

Cette maladie parasitaire transmise par les piqûres de moustiques impose le recours à des mesures de protection individuelle (sprays, crèmes, diffuseurs électriques, moustiquaires…)
A ces mesures, doit s’ajouter un traitement médicamenteux adapté à chaque individu : il convient de s’adresser à votre médecin habituel ou à un centre de conseils aux voyageurs.
Le traitement devra être poursuivi après le retour en France durant une durée variable selon le produit utilisé.

Classification : zone 3
Durant votre séjour, et durant les deux mois qui suivent votre retour, en cas de fièvre, un avis médical doit être pris rapidement, pour mettre en œuvre dès que possible un traitement anti-paludique éventuel.Ne pas oublier de signaler à votre médecin que vous avez fait un séjour en zone impaludée, même six mois après.

Épidémie de grippe aviaire

A titre informatif, il est conseillé de consulter l’encart “Grippe aviaire” figurant dans Infos pratiques/Risques sanitaires. La Direction Générale de la Santé recommande aux voyageurs d’éviter tout contact avec les volailles et les oiseaux, c’est-à-dire de ne pas se rendre dans des élevages, ni sur les marchés aux volatiles. Les recommandations générales d’hygiène lors des voyages dans les pays en développement, qui visent à se protéger des infections microbiennes, sont préconisées.

Vaccinations

Comme souvent au début de l’année, de nombreux cas de méningite à méningocoque sont rapportés. La vaccination anti-méningococcique (à méningo A+C+W135) est vivement recommandée.

  • La vaccination contre la fièvre jaune est obligatoire (à pratiquer dans un centre agréé).
  • La mise à jour de la vaccination diphtérie-tétanos-poliomyélite est recommandée.
  • Le nord du Bénin est affecté chaque année, notamment au cours de la saison sèche (décembre à mars) par des épidémies de méningite bactérienne qui touchent la zone sahélienne du continent. Il est vivement recommandé aux voyageurs de se faire vacciner (vaccin anti-méningococcique A + C) notamment en cas de déplacement dans les départements de l’Atacora et du Borgou.
  • Autres vaccinations conseillées (selon conditions d’hygiène et durée du séjour) : fièvre typhoïde, hépatites virales A et B.
  • La vaccination contre la rage peut également être proposée dans certains cas. Demandez conseil à votre médecin ou à un centre de vaccinations internationales.

Hygiène alimentaire

Prévention de la diarrhée du voyageur et du choléra :

  • Faire particulièrement attention avec les enfants.
  • Il est conseillé de ne pas boire l’eau du robinet : préférez les eaux en bouteilles capsulées. A défaut, consommez de l’eau filtrée, bouillie et décontaminée.
  • Évitez l’ingestion de glaçons, de jus de fruits frais, de légumes crus et de fruits non pelés.
  • Évitez la consommation d’aliments (poisson, viande, volaille, lait) insuffisamment cuits.
  • Veillez à un lavage régulier et soigneux des mains avant chaque repas.

VIH-Sida

Prévalence non négligeable du VIH-Sida. Toute mesure de prévention est indispensable.

Quelques règles simples

  • Eviter les baignades dans les eaux stagnantes (risque d’infection parasitaire) ;
  • Eviter de marcher pieds nus sur le sable et les sols humides ;
  • Ne pas caresser les animaux rencontrés ;
  • Veiller à votre sécurité routière (port de la ceinture de sécurité en automobile ou du casque en moto) ;
  • Ne jamais consommer de médicaments achetés dans la rue ;
  • Emporter dans ses bagages les médicaments nécessaires pendant la durée du séjour.

Numéros utiles

Il est fortement recommandé de rentrer en France pour tout incident sérieux de santé.

Ambulances : +229 21 301 760 / +229 21 300 656
Urgences CNHU : +229 21 304 652 / +229 21 077 945
SAMU : +229 21 307 336

Numéro d’urgence de l’ambassade : +229 90 90 52 88

A Cotonou
CNHU : +229 21 300 155 / +229 21 300 556
Clinique Atinkanmey : +229 21 312 276 (polyvalente + cardiologie)
Polyclinique des Cocotiers : +229 21 301 420 (polyvalente + gynécologie)
Clinique Mahouna : +229 21 301 435 (polyvalente + orthopédie)
Clinique opthalmologique La Lumière : +229 21 310 444 / +229 21 310 345
Clinique ORL Avicennes : +229 21 310 097
Laboratoire d’analyses médicales Toxi Labo : +229 21 321 680
Centre de radiologie Sezo : +229 21 300 268
Pharmacie Camp Guezo : +229 21 315 552 / +229 21 313 555
Pharmacie Jonquet : +229 21 31 20 80

En bordure du parc naturel de la Pendjari, au nord du pays :
Hôpital St Jean de Dieu de Tanguieta : +229 21 83 00 11, +229 21 83 00 10, +229 21 83 00 36.

Pour de plus amples renseignements, consultez les sites Internet suivants :

Institut Pasteur (fiche pays)
Institut de veille sanitaire
Organisation Mondiale de la Santé

Infos utiles

Us et coutumes

Le Bénin est un pays où cultures et traditions anciennes sont encore très présentes. Il est impératif de faire preuve de discrétion et de réserve en matière de religion et de ne pas photographier “à la sauvette” des manifestations ou des marchés traditionnels, comme aussi de respecter les différents cultes.

Législation locale

Taux d’alcoolémie toléré : 0,8 g/l.

L’usage de stupéfiants est interdit (répression de la conduite sous l’emprise de la drogue), notamment de cannabis et la répression est sévère.

Les délits de moeurs dans lesquels sont impliqués des Européens sont sévèrement réprimés. Une loi béninoise punit « les actes impudiques entre des personnes de même sexe ou avec un mineur de moins de 21 ans » (âge légal de la majorité sexuelle au Bénin).

Divers

  • Il est vivement conseillé aux voyageurs de faire preuve de vigilance lorsqu’ils effectuent des achats sur le réseau Internet. Certains individus proposent sur des sites d’annonces ou par courriels des biens et produits divers (motos, jet-skis, véhicules, camping-cars, téléphones portables, animaux exotiques, etc.) à des prix très attractifs. Voir aussi la rubrique sur la cybercriminalité à l’adresse suivante : http://ambafrance-bj.org/La-cybercriminalite-au-Benin,1828.
  • Il est recommandé avant tout achat de se renseigner sur l’existence au Bénin du fournisseur, société commerciale ou personne privée, soit auprès du ministère de l’Industrie et du Commerce extérieur BP 363 Cotonou BENIN Tél: +229 21 31 52 67, soit sur des annuaires internationaux en ligne. Des renseignements complémentaires peuvent être demandés par courriel au Consulat de France à Cotonou : consulat.cotonou-fslt@diplomatie.gouv.fr
  • Les baignades sont déconseillées toute l’année sur les plages du littoral en raison de la barre dangereuse et des courants violents qui font plusieurs victimes chaque année.
  • Zone sud : climat équatorial, forte humidité. Saison sèche de novembre à mars et de mi-juillet à mi-septembre. Saison des pluies : d’avril à mi-juillet et de mi-septembre à octobre.
  • Zone nord : climat tropical. Saison sèche : de novembre à mai. Saison des pluies : de juin à septembre.
  • Ambassade de France au Bénin

Représentations françaises

Avenue Jean-Paul II
BP 966 Cotonou

(+229) 21 36 55 33

(+229) 21 36 55 30

contact@ambafrance-bj.org

http://www.ambafrance-bj.org

Représentations diplomatiques et consulaires en France

87, avenue Victor Hugo 75116 Paris

01.45.00.98.82

contact@ambassade-benin.fr

http://www.ambassade-benin.fr/

Contacts utiles

  • Agences consulaires
    • Vice-consul honoraire de France à Parakou : M. Thierry Mounié, +229 23 61 04 01 et +229 97 72 94 00 (portable)
    • Vice-consul honoraire de France à Natitingou : Mme Thérèse Oudot, hôtel de Bourgogne, tél : +229 23 82 22 40
    • Vice-consul honoraire de France à Ouidah: M. Georges Beaulaton, +229 95 06 34 98 ou +229 96 03 69 46 
    • Renseignements : 122
    • Aéroport : +229 21 30 14 13
    • Hôpital (C.N.H.U) : +229 21 30 01 55
    • Direction générale de la police nationale: +229 21 31 34 80
    • Commissariat central : +229 21 30 23 10 ou +229 21 30 05 14 ou +229 21 30 22 46
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Documents Administratifs

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L’essentiel

Capitale

Gaborone

Langue

Anglais, setswana, sekalanga

Devise

Le pula (BWP)

Décalage horaire

En été (octobre à avril), GMT+2, soit une heure d’avance sur Paris

Formalités d’entrée

Vous devez être en possession d’un passeport en cours de validité, mais le visa n’est pas nécessaire. On vous délivrera à l’arrivée une autorisation de séjour de 30 jours qui peut être étendue à 3 mois au maximum.

Adresses et numéros utiles

Ambassade à l’étranger

761 Robinson Road Post Office 1424 Gaborone. Tél. [267] 397 38 63 ; Fax. [267] 397 17 33

Consulat en France

88 avenue d’Iéna 75116 Paris – tel. 01 47 20 08 23 ; fax 01 47 20 42 58 ; botswana@brutele.be

Electricité

Courant alternatif 220 V, prises rondes à deux fiches

Téléphone + 267

Introduction

Une visite du Botswana peut s’apparenter à un voyage princier, tant la destination est exclusivement tournée vers le tourisme de luxe et les safaris. Mais tous les voyageurs ayant cassé leur tirelire pour partir au Botswana sont d’accord pour dire que leurs souvenirs valent largement le prix payé. Si vous avez craqué, sachez donc que vous avez pris la bonne décision.

L’ancien Bechuanaland a été qualifié de “miracle africain” : ancien protectorat britannique longtemps négligé, il a conquis pacifiquement son indépendance en 1966 et bénéficie depuis lors d’un régime démocratique et d’un système sanitaire, éducatif et social sans équivalent sur le continent.

Si la destination est réservée aux touristes fortunés, elle s’adresse par ailleurs aux voyageurs les plus intrépides : ceux que ne rebutent pas – ou qu’attirent – les grands espaces de désert, de savanes et de marais salants et des infrastructures réduites au minimum seront amplement récompensés par la beauté de ses étendues désertiques, ses villages accueillants, ainsi que par la richesse inouïe de sa faune, de ses traditions artistiques et de ses attraits naturels. Notre guide en ligne vous aide à préparer votre safari au Botswana.
En savoir plus sur http://www.lonelyplanet.fr/destinations/afrique/botswana#UeDDLVDMeC9U0o3j.99

Entrée / Séjour

Passeport et autorisation de séjour

Le visa n’est pas obligatoire pour les ressortissants français. Leur passeport doit être valable au moins six mois après leur entrée au Botswana. Une autorisation de séjour dont la validité ne peut excéder trois mois est délivrée aux postes frontières sans paiement de droits.

La durée de séjour autorisée est à l’entière discrétion de l’agent de l’immigration qui appose le tampon sur le passeport du voyageur. Il convient donc de vérifier que la durée de séjour octroyée est suffisante pour vous permettre d’effectuer votre voyage. Si ce n’est pas le cas, il y a lieu d’expliquer calmement et courtoisement les raisons qui vous poussent à solliciter une durée plus longue (dans la limite de 90 jours / an).

Au-delà de trois mois de séjour, un permis de résidence soumis à la présentation d’un contrat de travail pour soi ou son conjoint est obligatoire.

Pour de plus amples informations, prendre l’attache de l’ambassade du Botswana à Bruxelles (cf. encart ci-contre « Représentations diplomatiques et consulaires en France »).

 

Sécurité

Recommandations générales

Bien que le pays reste relativement sûr, la criminalité (vols avec violence, cambriolages, etc.) est en augmentation constante depuis quelques années dans les centres urbains du Botswana. L’atmosphère a priori paisible de Gaborone ou Francistown, les deux principales villes, peut être trompeuse. Il est recommandé, si possible, de ne pas conserver sur soi des objets ou des documents de valeur, et d’éviter de se déplacer à pied dans les quartiers excentrés ou de nuit.

Pour l’accès à la bande de Caprivi, zone frontalière, la fiche “Conseils aux voyageurs” pour la Namibie peut être utilement consultée.

Botswana grande carte

Botswana grande carte

Transports

Infrastructure routière

Le pays peut être traversé en voiture sous réserve de précautions élémentaires. La conduite est à gauche de la chaussée. La vitesse maximale sur les routes goudronnées est de 120 km/h. La conduite de nuit hors agglomération est fortement déconseillée en raison de la divagation d’animaux domestiques et sauvages, cause fréquente d’accidents . L’assurance automobile est fortement recommandée.

Le réseau routier comprend beaucoup de pistes dans les zones touristiques. Il est recommandé d’y circuler en convoi d’au moins deux véhicules 4X4. Attention : la couverture des réseaux de téléphonie mobile est très partielle en dehors des centres urbains. Il est prudent de se munir d’un jerrican d’essence, d’eau et de denrées non sensibles à la chaleur.

Des bus assurent des liaisons quotidiennes entre les principales villes du pays. Attention, les risques de vols et d’accidents ne sont pas exclus. Ni les villes secondaires, ni même la capitale ne disposent de réseaux structurés de transport en commun. Il est possible de se déplacer en taxi (environ 3 euros la course) ou d’emprunter les « combis », minibus de transport collectif (environ 30 centimes le trajet)”.

Réseau ferroviaire

L’état du réseau ferroviaire est correct. Un train de nuit au départ de Gaborone dessert la ville de Francistown, dans le nord-est du pays.

Santé

Avant le départ

Consultez votre médecin (éventuellement votre dentiste) et souscrivez un contrat auprès d’une compagnie d’assistance couvrant les frais médicaux et le rapatriement sanitaire.

Prévention du paludisme (malaria)

Cette maladie parasitaire est transmise par les piqûres de moustiques et impose le recours à des mesures de protection individuelle (sprays, crèmes, diffuseurs électriques, moustiquaires…).

Un traitement médicamenteux adapté à chaque individu peut en outre être prescrit. Adressez-vous à votre médecin traitant ou à un centre de conseils aux voyageurs. Le traitement devra être poursuivi après le retour en France durant une durée variable selon le produit utilisé. Classification : zone 3.

Durant votre séjour, et durant les deux mois qui suivent votre retour, en cas de fièvre, un avis médical doit être pris rapidement, pour mettre en œuvre dès que possible un traitement anti-paludique éventuel.

En cas de fièvre durant votre séjour et durant les deux mois qui suivent votre retour, consultez rapidement un médecin qui prescrira éventuellement un traitement antipaludéen. Si vous ne vous rendez pas dans les zones à risques, un traitement préventif n’est pas nécessaire. Cependant, au moindre symptôme, il conviendra de signaler à votre médecin traitant que vous avez voyagé au Botswana.

Sont particulièrement concernées, outre les régions du nord traditionnellement touchées (Ngami, Okavango, Chobe, Boteti), des régions situées plus au sud (Kweneng west, Kgatleng).

Répartition des zones à risques :

  • Zone où le paludisme est à l’état endémique: ce sont les très touristiques districts du nord, où l’on recense en moyenne 80 % des cas (Ngamiland, Okavango, Chobe, Boteti, Tutume).
  • Zone où les risques de contamination semblent plus réduits: ce sont les districts intermédiaires du centre (Serowe, Palapye, Mahalapye, Bobirwa), de l’ouest (Gantsi), et de l’est (Francistown, Selebi-Phikwe).
  • Zone où les risques de contamination semblent faibles: ce sont les districts du sud (Gaborone, Lobatse).

Vaccinations

  • En raison d’une forte prévalence et de l’apparition récente d’une nouvelle forme très résistante de la tuberculose, la vaccination antituberculeuse est recommandée, en particulier chez les enfants.
  • La vaccination contre la fièvre jaune est obligatoire pour tout voyageur en provenance d’un pays où sévit la fièvre jaune à l’état endémique, mais peut être conseillée à tous les voyageurs.
  • La mise à jour de la vaccination diphtérie-tétanos-poliomyélite est recommandée.
  • Autres vaccinations conseillées (selon conditions d’hygiène et durée du séjour) : fièvre typhoïde, hépatites virales A et B.
  • La vaccination contre la rage peut également être proposée dans certains cas.

Demandez conseil à votre médecin ou à un centre de vaccinations internationales avant le départ.

Hygiène alimentaire

Prévention de la diarrhée du voyageur et du choléra :

L’eau du réseau public est réputée potable dans toutes les grandes villes du Botswana, mais une épidémie de diarrhée infantile sévit de manière endémique et des analyses conduites en 2011 ont mis en évidence des risques de pollution du réseau public de distribution. Il convient en conséquence de s’abstenir de boire l’eau du robinet et de respecter scrupuleusement les mesures d’hygiène habituellement recommandées. Les résidents et les touristes de passage veilleront en particulier à ce que ces mesures soient strictement respectées par les enfants.

Évitez l’ingestion de glaçons, de jus de fruits frais, de légumes crus et de fruits non pelés.

Évitez la consommation d’aliments (poisson, viande, volaille, lait) insuffisamment cuits.

Veillez à un lavage régulier et soigneux des mains avant chaque repas (hygiène très stricte et permanente des mains).

Une attention toute particulière doit être portée à la bonne hydratation des enfants.

Quelques règles simples

  • Évitez les baignades dans les eaux stagnantes (risque d’infection parasitaire).
  • Évitez de marcher pieds nus sur le sable et les sols humides.
  • Ne caressez pas les animaux que vous rencontrez.
  • Veillez à votre sécurité routière (port de la ceinture de sécurité en automobile ou du casque en moto).
  • Ne consommez jamais de médicaments achetés dans la rue.
  • Emportez dans vos bagages les médicaments dont vous pourriez avoir besoin.

Maladies animales

Grippe aviaire : le Botswana reste à ce jour considéré comme non touché par le virus influenza aviaire.

Rapatriements

Il est important de prévoir une assurance. Les rapatriements sont la plupart du temps effectués vers les installations hospitalières très modernes et très diversifiées de Johannesburg, via son aéroport international.

VIH-Sida

Forte prévalence du VIH-Sida. Toute mesure de prévention est indispensable.

En cas d’exposition accidentelle, certaines structures permettent de recevoir des soins et d’effectuer rapidement un dépistage (cf. ci-contre l’onglet “Contacts utiles”).

Pour de plus amples renseignements, consultez les sites Internet suivants :

Site interministériel relatif à la grippe aviaire
Institut de veille sanitaire
Organisation mondiale de la santé
Institut Pasteur de Paris (fiche pays)

Infos utiles

Us et coutumes

80 % de la population est chrétienne.

Le dépassement des cortèges funéraires souvent constitués de nombreuses voitures peut être interprété comme un manque de respect pour le défunt et entraîner une forte réprobation des proches.

Il est interdit de photographier les bâtiments officiels.

Législation locale

L’importation d’armes à feu et de munitions est soumise à une autorisation préalable.

La législation est très stricte en ce qui concerne les stupéfiants :

  • consommation : 8 ans de prison.
  • trafic : 20 à 25 ans de prison.

Ce pays ne connaît pas le tourisme sexuel. Une législation visant à protéger les femmes et les enfants est cependant en cours d’élaboration.

Les actes homosexuels tombent théoriquement sous le coup de la loi, dont l’application est cependant très tolérante.

Bien que rarement appliquée, la peine de mort est toujours en vigueur dans le pays.

Divers

Le Setswana est la langue nationale et l’anglais la langue officielle.

La monnaie locale est le pula (1 pula = 0,0886 € en août 2013). L’importation de devises étrangères doit être déclarée. Tous les moyens de paiement sont acceptés (cartes de crédit, chèque de voyages, espèces). Il est possible de changer des devises dans les banques ou de s’approvisionner avec une carte de crédit, en ville, auprès de distributeurs automatiques (gardés par un vigile). Les paiements par carte de crédit sont acceptés par nombre de commerçants. Cependant, les cartes Mastercard ne sont pas acceptées dans la plupart des distributeurs et des magasins. Seules les cartes Visa le sont, et ce partout dans le pays. Pour tout paiement par carte bancaire, un titre d’identité vous sera demandé.

Les paiements par carte de crédit sont acceptés par nombre de commerçants.

Le Botswana dispose d’un réseau de télécommunications performant (téléphones fixes et portables), mais la plupart des camps (safari lodges) de la moitié nord (Okavango et Chobe) se trouvent hors de la zone de couverture des portables. Les directeurs de camp communiquent avec l’extérieur par radio.

Représentations françaises

761, Robinson Road
PO Box 1424Gaborone

(267) 397 38 63

(267) 397 17 33

frambbots@orangemail.co.bwNuméro d’urgence :

+267 397 38 63

Si, et seulement si ce numéro n’était pas joignable, utiliser le

+267 72 40 90 46

ou le

+267 72 11 15 18

http://www.ambafrance-bw.org/

Représentations diplomatiques et consulaires en France

en résidence à Bruxelles

169, avenue de Tervuren 1150 Bruxelles

00.32.2.739.11.20/61.10

bostwana@brutele.be

Contacts utiles

Urgences :

  • Ambulance : 997 et 911
  • Gaborone Private Hospital (24h/24h – 7j/7j) : 390 19 99
  • Sociétés de secours rapides :
    MRI (Medical Rescue International) : 992
    Rescue one : 993
    Okavango Air Rescue (Okavango et environs de Maun) : 995

 

Centres de traitement VIH

  • Princess Marina Hospital – Gaborone – tél : 395 32 21
  • Nyangabwe Hospital – Francistown – tél : 241 10 00
  • Maun General Hospital – Maun – tél : 686 04 44

 

Centres de dépistage VIH

  • Gaborone Testing Center – tél : 391 40 23
  • Francistown – tél : 241 62 63
  • Maun – tél : 686 50 43

 

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Documents Administratifs

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L’essentiel

Capitale

Ouagadougou

Langue

français (langue officielle) ; langues soudanaises parlées par 90% de la population : mooré, dioula…

Burkina Faso : Devise

Le franc CFA (XOF)
Décalage horaire

GMT/UTC + 0h

Electricité

220 V, 50 Hz

Téléphone

+ 226

Brève

Déplacement au Burkina Faso et au Bénin de Pascal Canfin (28 et 29 novembre 2013)

A quelques jours de la Journée mondiale de lutte contre le sida et de la conférence de Washington sur la reconstitution des ressources du Fonds mondial de lutte contre le sida, le paludisme et la tuberculose, cette visite confirmera la mobilisation de la France dans le combat contre les grandes pandémies dont elle est l’un des tout premiers contributeurs.

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Introduction

Burkina petite carte

Burkina petite carte

La France et le Burkina Faso entretiennent des relations d’amitié et de coopération très étroites, pour des raisons historiques et culturelles, dont notamment la francophonie.

 

Date de mise à jour : 31.12.13

Introduction

Voyager au Burkina Faso est une bonne idée pour quiconque aime les destinations accessibles, mais hors des sentiers battus. En effet, le Burkina a de sérieux atouts : une relative stabilité, la gentillesse inouïe de ses habitants et une beauté naturelle encore peu piétinée.

Descendants d’une longue lignée d’empereurs, les Burkinabè partagent un sentiment d’identité culturelle extrêmement fort, exacerbé sans doute par les années de colonisation. Bien qu’ils habitent l’un des pays les plus pauvres de la planète, ils font preuve d’une joie de vivre et d’un sens de l’hospitalité extraordinaires et ont réussi à transformer cette terre quasiment dénuée de toutes ressources naturelles en un petit bijou culturel.

Malgré les problèmes de pauvreté et les violences politiques qui rongent le pays depuis des décennies, le Burkina Faso reste une destination culturelle incontournable en Afrique occidentale. Outre ses fêtes traditionnelles, il accueille également le Fespaco, une biennale du film digne des festivals les plus prestigieux.
En savoir plus sur http://www.lonelyplanet.fr/destinations/afrique/burkina-faso#DP4sP1D0zsOlyFLr.99

Entrée / Séjour

Tout voyageur à destination du Burkina Faso doit être obligatoirement muni d’un visa valide délivré par les représentations diplomatiques du Burkina Faso et leurs correspondants. Les visas peuvent être également délivrés à la frontière mais pour un tarif très dissuasif.

A compter du 1er mars 2012 :

I – Tarifs pratiqués dans les ambassades et consulats burkinabés :

  • Transit (1 à 3 jours) : 18 euros
  • Court séjour (1 à 90 jours)
    Une entrée : 35 euros
    Plusieurs entrées : 45 euros
  • Long séjour (maximum 6 mois)
    Une entrée : 50 euros
    Plusieurs entrées : 60 euros
  • Long séjour (maximum 12 mois)
    Une entrée : 65 euros
    Plusieurs entrées : 75 euros
  • Long séjour (plus d’un an)
    Une entrée : 90 euros
    Plusieurs entrées : 100 euros

II- Tarifs pratiqués aux postes frontières pour les passagers démunis de visa consulaire :

  • Visa de 1 à 90 jours :
    Entrée unique : 94 000 FCFA
    Entrées multiples : 122 000 FCFA
  • Visas de 1 à 180 jours :
    Entrée unique :  130 000 FCFA
    Entrées multiples : 156 000 FCFA
  • Visas maximum 12 mois :
    Entrée unique : 170 000 FCFA
    Entrées multiples :196 000 FCFA
  • Visas supérieurs à un an :
    Entrée unique : 236 000 FCFA
    Entrées multiples : 262 000 FCFA.

Des tarifs spéciaux sont accordés pour les groupes de 2 à 5 personnes.

Pour de plus amples informations, prendre l’attache de l’ambassade du Burkina Faso à Paris, adresses des missions étrangères en France(sur le site de la Maison des Français de l’étranger).

 

Dernière minute

Face à une recrudescence de cas de dengue observée au Burkina Faso, une vigilance accrue doit être observée. Il est recommandé de prendre connaissance des symptômes décrits dans la rubrique « santé ».

Sécurité

ariane   Ariane pour votre sécurité, restez connecté. Inscrivez-vous.

Les Français désirant se rendre au Burkina Faso sont invités à se signaler sur le portail Ariane, figurant en tête du site “Conseils aux voyageurs” ou à se faire connaître du Consulat de France à leur arrivée dans le pays.

Nord du Burkina Faso

Au regard du contexte sécuritaire régional (détérioration de la situation au nord du Mali, développement du terrorisme, risque de prise d’otages), les déplacements dans la zone nord du Burkina Faso, colorée en orange sur la carte ci-dessous, sont déconseillés sauf raison impérative. Cette zone s’étend au nord d’une ligne partant de la frontière nord au niveau de Dori, passant au sud de Djibo (intégrant le camp de réfugiés de Mentao) et rejoignant, en ligne droite, la frontière malienne. Tout déplacement rendu nécessaire, notamment pour des raisons professionnelles (économiques, humanitaires), doit être porté à la connaissance des autorités locales et se dérouler en présence d’une escorte.

Une vigilance particulièrement renforcée doit par ailleurs être observée dans les provinces suivantes, situées au Nord-Ouest du Burkina : Lorum (Province située entre Djibo et Ouahigouya) – Yatenga (Province de Ouahigouya) – Sorum (Province de Tougan, Di) où il est vivement conseillé de porter tout déplacement à la connaissance des autorités locales.

Dans les autres zones frontalières du Mali et du Niger, les ressortissants français, résidents ou de passage, sont invités à faire preuve de vigilance renforcée et de prudence.

Ouagadougou

Une augmentation des vols avec violence à Ouagadougou, principalement à la nuit tombée, étant constatée, il convient de faire preuve de vigilance renforcée et de respecter les règles de prudence ci-dessous:

  • éviter de circuler à pied et en cyclomoteur, de manière isolée, après le coucher du soleil ;
  • dissimuler les sacs, surtout lorsqu’on circule sur un deux-roues, et éviter le port de sac à dos ;
  • éviter de conserver passeport, espèces et carte bancaire dans le même sac ;
  • se montrer discret en sortant ou rangeant son portefeuille dans les lieux publics ;
  • verrouiller portes et fenêtres des véhicules ;
  • en cas d’agression, n’opposer aucune résistance, puis appeler le “17″ police secours.

Attaques de coupeurs de routes

Le phénomène de coupeurs de route peut subsister, de jour comme de nuit, sur les axes principaux comme sur les routes secondaires, notamment dans les provinces de l’Est. En cas d’attaque, il est recommandé de n’opposer aucune résistance et d’avertir le Consulat de France ainsi que la gendarmerie au numéro vert 10 10. D’une manière générale, il est hautement recommandé à nos ressortissants de se signaler à leur arrivée au Burkina Faso à l’Ambassade de France, et de tenir celle-ci informée de leurs déplacements.

Tourisme

Il convient d’être particulièrement vigilant sur le choix de l’agence de voyage ou pour les activités de chasse. En effet, le secteur du tourisme comporte des officines, dont certaines sont informelles, qui proposent des services de qualité inégale et surtout ne garantissent pas les conditions de sécurité requises. Il s’agit donc d’être à même de distinguer les prestations qualifiées de celles qui pourraient s’avérer hasardeuses.

Risques encourus pour délits sexuels

La législation burkinabé prévoit de lourdes sanctions à l’encontre des auteurs de viols, d’attentats à la pudeur, d’actes de débauche et de dépravation. Les peines sont aggravées si la victime est mineure.

Les auteurs d’actes de pédophilie sont condamnés à des peines d’emprisonnement allant de un à vingt ans. En cas de récidive, la peine est doublée (articles 212 et 417 du code pénal burkinabé).

En tout état de cause, et conformément à l’article 113-6 du code pénal, la loi pénale française est applicable à tout crime commis par un Français hors du territoire de la République. Les ressortissants français coupables d’une infraction sexuelle commise au Burkina Faso peuvent être poursuivis en France en application de la loi 98-468 du 17 juin 1998 pour des faits constitutifs de délits à caractère sexuel, y compris si ceux-ci ne sont pas réprimés par la législation locale (articles 227-22 et suivants du code pénal).

Stupéfiants

Contrairement à ce que prétendent les revendeurs, la consommation de cannabis et des autres drogues constitue un délit au Burkina Faso. A ce titre, elle est punissable d’un emprisonnement de 1 à 6 mois (Code des drogues au Burkina, art. 60 et 61).

En toutes circonstances

  • adopter une attitude respectueuse envers les personnes ;
  • être prudent en matière de photographie (demander au préalable l’avis des personnes). Le cas échéant solliciter une autorisation de photographier auprès de la direction du tourisme (gratuit).
  • respecter les consignes de protection de la flore et de la faune sauvage.
Burkina grande carte

Burkina grande carte

Transports

Infrastructure routière

Le permis de conduire français est accepté.

Il est très fortement recommandé de ne pas circuler la nuit sur les routes en raison du mauvais état de ces dernières, des animaux errants et des véhicules dépourvus de feux de signalisation, mais surtout compte tenu d’une forme de banditisme récurrente, l’attaque des voyageurs par des coupeurs de route, lesquels n’hésitent pas à se livrer à des actes de violence sur leurs victimes, mettant leur vie en danger (agression à l’arme blanche ou à main armée).

En cas d’accident de la circulation, ne pas déplacer le véhicule et alerter police secours (faire le 17) ou la compagnie de gendarmerie la plus proche, ainsi que le consulat (N° d’urgence : 70 33 93 68).

L’imprudence de certains touristes les conduisent à voyager au mépris des règles de sécurité les plus élémentaires : il est en effet fondamental de s’assurer que le chauffeur du véhicule soit bien titulaire d’un permis de conduire et que le véhicule soit en bon état (ceinture de sécurité, état des pneus, rétroviseur, etc.). Il est notamment formellement déconseillé de circuler sur le plateau de véhicules de type pick-up, qui n’offrent aucune garantie de sécurité.

En cas d’accident corporel, prévenir les pompiers (faire le 18) ou “Burkina secours” si l’accident a eu lieu dans la zone de Bobo-Dioulasso (N° : 70 60 60 60).

Transport aérien

Air Burkina assure des liaisons entre Ouagadougou et Bobo-Dioulasso et une bonne partie des liaisons avec les pays limitrophes. Les liaisons directes avec la France sont assurées par Air-France, Aigle Azur et Point-Afrique.

Santé

A la suite de plusieurs accidents récents et compte tenu de possibilités de prise en charge en urgence extrêmement limitées au Burkina Faso, les voyages avec de jeunes enfants ou les déplacements de personnes souffrant de problèmes de santé sont fortement déconseillés.

Avant le départ

Consultez votre médecin (éventuellement votre dentiste) et souscrivez à une compagnie d’assistance couvrant les frais médicaux et le rapatriement sanitaire.

Paludisme

Cette maladie parasitaire, transmise par les piqûres de moustiques, impose le recours à des mesures de protection individuelle (sprays, crèmes, diffuseurs électriques, moustiquaires…).
A ces mesures, doit s’ajouter un traitement médicamenteux adapté à chaque individu : il convient de s’adresser à votre médecin habituel ou à un centre de conseils aux voyageurs. Le traitement devra être poursuivi après le retour en France durant une durée variable selon le produit utilisé.

Classification : zone 3.

Durant votre séjour, et durant les deux mois qui suivent votre retour, en cas de fièvre, un avis médical doit être pris rapidement, pour mettre en œuvre dès que possible un traitement anti-paludique éventuel.

Dengue

Infection virale provoquée par la piqure du moustique “Aedes albopictus” qui a la particularité de piquer durant la journée, principalement entre octobre et décembre. Cette infection virale entraîne habituellement de la fièvre, de forts maux de tête, des douleurs musculaires et articulaires, une fatigue, parfois des nausées, vomissements et souvent une éruption de petits boutons rouges sur la peau. En général, la guérison prend de 7 à 14 jours, la fatigue résiduelle peut durer de 2 à 3 semaines. Il n’y a pas de test diagnostic rapide de la dengue en usage courant au Burkina Faso. En revanche, les symptômes de la dengue sont très proches de ceux d’une crise de paludisme, si bien qu’il est indispensable de réaliser un test de diagnostic rapide (TDR) du paludisme pour éliminer le diagnostic de paludisme avant d’évoquer celui de la dengue. Il n’existe pas de vaccin ni de traitement efficace contre ce virus à ce stade. Il faut donc soigner les personnes atteintes avec des médicaments soulageant la fièvre et la douleur. L’ aspirine et les anti-inflammatoires sont par principe déconseillés. Le traitement préventif anti-paludisme, important en cette saison, ne protège pas contre la dengue.

Vaccinations

  • La vaccination contre la fièvre jaune est obligatoire (à pratiquer dans un centre agréé).
  • La mise à jour de la vaccination diphtérie-tétanos-poliomyélite est recommandée.
  • Autres vaccinations conseillées (selon conditions d’hygiène et durée du séjour) : fièvre typhoïde, hépatites virales A et B, méningite à méningocoque (voir ci-dessous).
  • La vaccination contre la rage peut également être proposée dans certains cas. Demandez conseil à votre médecin ou à un centre de vaccinations internationales.

Epidémie de méningite

Le Burkina Faso est situé dans une région qui connaît à la fois une présence permanente de la bactérie et une épidémie annuelle généralement de janvier à juin. La vaccination (A, C, Y, W 135) estfortement recommandée pendant la période épidémique. Elle est conseillée le reste de l’année.

Hygiène alimentaire

Prévention de la diarrhée du voyageur et du choléra :

  • Il est conseillé de ne pas boire l’eau du robinet : préférez les eaux en bouteilles capsulées. A défaut, consommez de l’eau filtrée, bouillie et décontaminée.
  • Évitez l’ingestion de glaçons, de jus de fruits frais, de légumes crus et de fruits non pelés.
  • Évitez la consommation d’aliments (poisson, viande, volaille, lait) insuffisamment cuits.
  • Veillez à un lavage régulier et soigneux des mains avant chaque repas (hygiène très stricte des mains notamment au sortir des toilettes).

VIH-Sida

Prévalence non négligeable du VIH – sida. Toute mesure de prévention est indispensable.

Quelques règles simples

  • Évitez les baignades dans les eaux stagnantes (risque d’infection parasitaire).
  • Évitez de marcher pieds nus sur le sable et les sols humides.
  • Ne caressez pas les animaux que vous rencontrez.
  • Veillez à votre sécurité routière (port de la ceinture de sécurité en automobile ou du casque en moto).
  • Ne jamais consommer de médicaments achetés dans la rue. Emportez dans vos bagages les médicaments dont vous pourriez avoir besoin.

Pour de plus amples renseignements, consultez les sites Internet suivants :

Site interministériel relatif à la grippe aviaire
Institut Pasteur (fiche pays)
Institut de veille sanitaire
Organisation mondiale de la santé

Infos utiles

Législation locale

Des mesures d’expulsion peuvent être prises contre les étrangers qui, pris de boisson, troubleraient l’ordre public.

Animaux de compagnie : le carnet de vaccination international de l’animal est nécessaire. Chiens et chats doivent être tatoués. Il n’y a pas de quarantaine au Burkina Faso. La rage y est cependant endémique.

Afin d’éviter des problèmes en cas de prises de vue d’édifices publics, il est conseillé de se faire délivrer, à l’arrivée, une autorisation de photographier par la direction du tourisme à Ouagadougou, qui le fait gratuitement.

Lors d’un accident de la circulation en ville, il convient, en cas d’implication à un titre (responsable) ou à un autre (victime), de rester sur les lieux du sinistre jusqu’à l’arrivée de la police.

A Ouagadougou, prévenir la section “Accidents” du commissariat central au numéro de téléphone : 17 ou 50 30 63 82/83.

En dehors des zones urbaines, il convient d’alerter le poste de gendarmerie le plus proche en appréciant s’il est judicieux de rester sur place jusqu’à l’arrivée des gendarmes. Contacter immédiatement le consulat de France.

Divers

Climat pré-saharien au nord et tropical au sud. Saison sèche et froide de novembre à février (température moyenne 25°C). Saison chaude de mars à mai (température moyenne de 40-45°C). Saison pluvieuse de juin à octobre (température moyenne 28°C).

Représentations françaises

Avenue du Trésor
BP 504Ouagadougou

(226) 50 49 66 66

ambassade@ambafrance-bf.org

http://www.ambafrance-bf.org/

Représentations diplomatiques et consulaires en France

159, boulevard Haussmann 75008 Paris

01.43.59.90.63

contact@ambaburkina.fr

http://ambaburkina-fr.org/

Contacts utiles

A Bobo Dioulasso

  • Agence consulaire : 20 97 26 31/ 76 51 18 15 (cellulaire)
  • Consul honoraire : 20 97 36 06 / 76 61 13 55 (cellulaire)
  • Secrétariat : 20 97 29 14 / 76 61 18 78 (cellulaire)
  • Police : 17
  • Pompiers : 20 98 26 71
  • Gendarmerie : 20 97 00 32
  • Burkina Secours : 20 97 01 43
  • Clinique Saint-Léopold : 20 97 00 44 / 45 / 47
  • Clinique Rosetta : 20 98 31 31
  • Clinique Leila : 20 97 33 93
  • Centre médical Cemmatra : 20 97 49 49
  • Espace médical du Sya : 20 97 00 48
  • Hôpital Sanou Souro : 20 97 00 44/45/47
  • Burkina Secours (premiers secours) : 20 97 01 43 / 76 60 60 60.

 

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Documents Administratifs

Ci-dessous vous trouverez les documents nécessaires à l’obtention de votre visa pour le Burundi*. Veuillez les renseigner et nous les renvoyer par mail à top-visas.com ou par le biais du formulaire de droite.

* A nous retourner remplis dans les plus brefs délais

L’essentiel

Pays

Brève

Burundi – Dialogue politique (11 mars 2014)

La France exprime son inquiétude après les affrontements entre manifestants et forces de l’ordre survenus le 8 mars, à l’occasion de la journée internationale de la femme.

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Introduction

 

Burundi petite carte

Burundi petite carte

Le Burundi traverse une crise politique depuis les dernières élections générales. Les actes de violences (embuscades, attaques, viols, assassinats ciblés) ont réapparus.

La France entretient avec le Burundi une longue relation d’amitié et de coopération, amorcée dès l’indépendance du pays. Elle s’est concrétisée ces dernières années par le soutien actif que nous avons apporté au processus de transition, à la consolidation de la paix et à la reconstruction du pays.

Site de l’ambassade de France

 

Mise à jour : 26.06.13

 

 

Entrée / Séjour

Visa

Visa obligatoire (durée maximale d’un mois, dont la demande de prolongement avec un nouveau visa se fait au Burundi même). Passeport dont la validité est d’au moins six mois supérieure à la date de sortie du territoire. Il n’est pas possible officiellement d’obtenir un visa d’entrée aux frontières du territoire burundais pour les personnes résidant en France. Toute personne étrangère est désormais tenue de solliciter au préalable le visa d’entrée auprès de l’ambassade du Burundi la plus proche. La délivrance de visas à l’aéroport international de Bujumbura n’est officiellement possible que pour les voyageurs provenant de pays sans représentation diplomatique burundaise.

 

60, boulevard de l’Uprona
BP 1740 Bujumbura

(+257) 22 20 30 00

(+257) 22 20 30 10

cad.bujumbura-amba@diplomatie.gouv.frPermanence Gendarmerie de l’ambassade 24H/24H : +257 22 20 30 01
Premier conseiller de l’ambassade (à n’appeler qu’en cas d’incident) : +257 22 20 30 14
Consul adjoint, chef de chancellerie (à n’appeler qu’en cas d’incident) : +257 22 20 30 21

http://www.ambafrance-bi.org/

Représentations diplomatiques et consulaires en France

Fonctions consulaires assurées par l’Ambassade

10-12, rue de l’Orme75019Paris

01.45.20.60.61

ambabu.paris@wanadoo.fr

Contacts utiles

Pompiers : 118

Police municipale de Bujumbura : +257 22 22 16 57

Santé

Avant le départ

Consulter son médecin et son dentiste et souscrire à une compagnie d’assistance couvrant les frais médicaux et le rapatriement sanitaire (fortement conseillé).

D’une façon générale, les infrastructures médicales et hospitalières du Burundi sont défaillantes. En conséquence aucune hospitalisation prolongée, ni aucune opération chirurgicale ne peut être envisagée, hors urgence vitale. De la même façon, les possibilités de secours médical à domicile ou sur site (a fortiori en province) sont limitées en journées et quasi inexistantes de nuit.

A noter que AMREF-Flying Doctors, basée à Nairobi, est la seule société pouvant assurer, moyennant un abonnement annuel, une évacuation médicalisée par avion depuis Bujumbura vers Nairobi.

Paludisme

Prévention du paludisme : maladie parasitaire transmise par les piqûres de moustiques qui impose le recours à des mesures de protection individuelle (sprays, crèmes, diffuseurs électriques, moustiquaires, etc.). A ces mesures, doit s’ajouter un traitement médicamenteux adapté à chaque individu : il convient de s’adresser à son médecin habituel ou à un centre de conseils aux voyageurs. Le traitement devra être poursuivi après le retour en France durant une durée variable selon le produit utilisé. Classification : zone 3.

Durant le séjour, et durant les deux mois qui suivent le retour, en cas de fièvre, un avis médical doit être pris rapidement. Pour information, l’association atovaquone-Paludrine (Malarone) n’est pas disponible sur place. Les voyageurs désireux de suivre ce traitement doivent donc l’emporter avec eux.

Autres maladies transmises par les moustiques

Les moustiques peuvent transmettre des maladies virales parfois sévères, il est donc recommandé de respecter les mesures habituelles de protection (vêtements longs, produits anti-moustiques à utiliser sur la peau et sur les vêtements, diffuseurs électriques) et ce, de jour comme de nuit.

Vaccinations

La vaccination contre la fièvre jaune est obligatoire (à pratiquer dans un centre agréé). La mise à jour de toutes les vaccinations, notamment diphtérie-tétanos-poliomyélite est recommandée (épidémies fréquentes de poliomyélite). Il est par ailleurs conseillé d’apporter ses vaccins si l’on souhaite les faire sur place. Autres vaccinations conseillées : fièvre typhoïde, hépatites virales A et B, méningite à méningocoque, la rage (voir ci-dessous).

Épidémie de méningite

Le Burundi est régulièrement touché par d’importantes épidémies de méningite à méningocoque. La vaccination anti-méningococcique (A+C) reste fortement recommandée.

Hygiène alimentaire

Prévention de la diarrhée du voyageur et du choléra :

Les épidémies de choléra sont très fréquentes.

Il est conseillé de :

  • ne pas boire l’eau du robinet. Préférer les eaux en bouteilles capsulées. A défaut, consommer de l’eau filtrée, bouillie et décontaminée.
  • éviter l’ingestion de glaçons, de jus de fruits frais, de légumes crus et de fruits non pelés.
  • éviter la consommation d’aliments (poisson, viande, volaille, lait) insuffisamment cuits.
  • veiller à un lavage régulier et soigneux des mains avant chaque repas (hygiène très stricte des mains notamment au sortir des toilettes).

VIH-Sida

Prévalence non négligeable du VIH – sida. Toute mesure de prévention est indispensable. En cas d’exposition au risque, les tests doivent être réalisés rapidement, dans les 24 heures. Ils sont disponibles dans la plupart des centres privés et publics de la capitale.

Quelques règles simples :

  • Éviter les baignades dans les eaux stagnantes (risque d’infection parasitaire).
  • Éviter de marcher pieds nus sur le sable et les sols humides.
  • Ne pas caresser les animaux rencontrés.
  • Veiller à votre sécurité routière (port de la ceinture de sécurité en automobile ou du casque en moto).
  • Ne jamais consommer de médicaments achetés dans la rue.

Numéros utiles

En cas d’hospitalisation durable, les structures hospitalières locales ne peuvent être conseillées. En cas d’urgence médicale, il est possible de joindre l’Ambassade de France en appelant le téléphone de permanence (réponse H24) : + 257 22 20 30 01. L’Ambassade tient cependant à disposition des Français et protégés une liste de notoriété médicale. Certains des médecins mentionnés se sont engagés à se déplacer à domicile en cas de nécessité avérée.

Pour de plus amples renseignements, consultez les sites Internet suivants :

Institut Pasteur (fiche pays)
Institut de veille sanitaire
Organisation mondiale de la santé

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Documents Administratifs

Ci-dessous vous trouverez les documents nécessaires à l’obtention de votre visa pour le Cap-Vert*. Veuillez les renseigner et nous les renvoyer par mail à top-visas.com ou par le biais du formulaire de droite.

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L’essentiel

Capitale

Praïa

Langue

Portugais (langue officielle), crioulo (un mélange de créole portugais et de mots d’Afrique de l’Ouest)

Devise

Monnaie au Cap-Vert

La monnaie utilisé au Cap-Vert est l’escudo du Cap-Vert (CVE). Le change des dollars US et des euros ne pose pas de problème

Décalage horaire

GMT/UTC – 1h

Electricité

220 volts, 50 Hz

Téléphone

+ 238

En savoir plus sur http://www.lonelyplanet.fr/destinations/afrique/cap-vert#xigPHgwl7tKuT96O.99

Brève

Entretien entre Yamina Benguigui, Jorge Carlos Fonseca, président de la république du Cap-Vert (21 janvier 2013)

Yamina Benguigui, ministre déléguée chargée de la Francophonie s’est entretenue le 21 janvier 2013 avec Jorge Carlos Fonseca, président de la République du Cap-Vert.

Lire la suite

Introduction

 cap-vert-petite-carte

La France et le Cabo Verde entretiennent des relations suivies, sur le plan bilatéral et via le partenariat spécial qui lie l’Union européenne et le Cabo Verde. Un dialogue politique régulier s’est établi entre les deux pays comme en témoigne la rencontre à Paris des Présidents de la République français et capverdien en juin 2008. La France et le Cabo Verde ont également signé en 2006 un Document cadre de Partenariat encadrant leur coopération au développement et un accord bilatéral de gestion concertée des flux migratoires en novembre 2008.
Le Cabo Verde a ouvert une ambassade à Paris en 1996.

Voir le site de l’Ambassade de France au Cabo Verde : www.ambafrance-cv.org/

Mise à jour : 22.07.13

Entrée / Séjour

Selon la législation capverdienne :

La durée de validité du passeport doit être au moins égale à la durée de validité du visa.

L’entrée sur le territoire capverdien doit s’effectuer à ses points-frontières :

  • aéroport Nelson Mandela à Praia, île Santiago,
  • aéroport Amilcar Cabral, île Sal,
  • aéroport Cesaria Evora, île Sao Vicente,
  • aéroport Rabil, île Boa Vista,
  • port de Praia, île Santiago,
  • port Porto Grande, Mindelo, île Sao Vicente,
  • port de Palmeira, île Sal.

La sortie du territoire capverdien doit s’effectuer à partir des points-frontières énoncés ci-avant.

Il n’existe aucune restriction particulière à l’importation non commerciale.

Tout visa est payant. Le visa touristique, obligatoire, peut être obtenu sur présentation d’un passeport en cours de validité et d’une photographie d’identité, auprès de l’ambassade de la République du Cap Vert à Paris (www.ambassadecapvert.fr) ou du Consulat du Cap-Vert à Marseille (www.consulatducapvert.com). Il peut être pris à l’arrivée à l’aéroport au Cap Vert.

Une prolongation du séjour touristique peut être obtenue, au Cap-Vert, auprès de la Direction de l’Emigration et des Frontières. L’Ambassade de France à Praia n’a pas compétence pour intervenir dans ce domaine.

La demande de carte de résidence, dans le cadre d’un long séjour, fait l’objet d’une procédure spécifique, au sujet de laquelle l’Ambassade de France à Praia n’a pas compétence pour intervenir.

Pour toute information complémentaire, prendre l’attache de l’ambassade de la République du Cap Vert à Paris (www.ambassadecapvert.fr) ou du Consulat du Cap-Vert à Marseille (www.consulatducapvert.com).

Sécurité

ariane  Ariane pour votre sécurité, restez connecté. Inscrivez-vous.

Criminalité

Le Cap-Vert rencontre des difficultés pour assurer des conditions de sécurité satisfaisantes dans les zones urbaines, compte tenu de la dégradation de la situation socio-économique et de la montée concomitante de la délinquance liée à la diffusion du crack. Les lieux à fréquentation touristique sont propices aux vols à l’arraché, parfois accompagnés d’agressions. La délinquance de droit commun (vols, braquages, cambriolages), souvent accompagnée de menaces armées (poignard, hache, arme à feu) ou d’actes de violence, est de plus en plus fréquente, y compris en pleine journée. Il convient de ne montrer aucun objet de valeur, tels que les bijoux : les attaques de personnes portant de l’or (chaine, alliance) deviennent régulières avec la hausse de son prix de vente. Les voleurs cherchent tout ce qui se revend facilement: bijoux, téléphones portables, appareils photographiques, etc. Les agresseurs ciblent particulièrement les personnes se déplaçant à pied, de jour comme de nuit. Une recrudescence des agressions à caractère sexuel est constatée.

Il est recommandé de rester vigilant, en évitant :

  • de porter sur soi de grosses sommes d’argent, des bijoux, des objets de valeur (se rappeler que les téléphones portables, les appareils photo et vidéo sont des cibles privilégiées pour les voleurs) ;
  • de se promener seul, à pied, la nuit dans les rues, les quartiers défavorisés ou les bidonvilles.

Il est également conseillé :

  • d’être accompagné lors des excursions dans les montagnes ou les dunes (même le jour), de préférence d’un guide capverdien connaissant bien le pays ;
  • de remplacer la ceinture “banane” très facile à arracher par une bourse moins voyante ;
  • de conserver dans un endroit sûr les documents d’identité et les billets d’avion ;
  • de rester si possible en groupe, plus particulièrement la nuit tombée ;
  • en cas de tentative de vol à l’arrachée, ne pas opposer de résistance ;
  • signaler immédiatement tout vol et/ou toute agression au commissariat de police le plus proche.

Sur les plages et en mer

Sur les plages, l’attention des voyageurs est appelée sur le danger potentiel que représentent les courants et les vagues souvent fortes. De manière générale, la baignade n’est pas surveillée. Pour les amateurs de plongée, il convient de noter qu’il n’y a pas de caisson de décompression dans l’archipel. Il convient également d’éviter les sorties en mer sur des embarcations non adaptées et lorsque les conditions météorologiques sont défavorables (il n’y a pas de secours en mer).

Plusieurs cambriolages avec violence à bord de voiliers nous ont été rapportés (île Santiago : Praia et Tarrafal ; île Sao Vicente : Mindelo ; île de Fogo : Sao Filipe). Il convient de faire preuve de prudence et particulièrement la nuit, de fermer tous les accès à l’embarcation. Il est fortement recommandé aux plaisanciers d’être systématiquement couverts par des compagnies d’assurance pouvant organiser des rapatriements sanitaires aériens.

Fogo : Volcan Pico Grande

A Fogo, l’ascension au sommet du volcan (2829m) attire les voyageurs. Elle ne convient toutefois pas aux enfants. Il faut être en très bonne condition physique. Il n’existe aucun hélicoptère au Cap-Vert : en cas de chute et de fracture (des accidents graves ont été rapportés), l’attente pour une évacuation sur Sao Filipe, Praia et éventuellement Dakar en vue de recevoir des soins hospitaliers adaptés ne peut qu’être très longue. Il convient donc d’être prudent et attentif et de ne pas surestimer ses forces.

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Transports

Infrastructures routières

Les routes principales sont asphaltées ou pavées et en bon état relatif. Les pistes de terre, les plus nombreuses en zones rurales, sont peu praticables pendant la saison des pluies et il vaut mieux les emprunter en véhicule tout-terrain.

Lors d’une location de voiture, il est préférable de contracter une assurance au tiers ou une assurance tous risques. Les conducteurs capverdiens étant indisciplinés et non assurés, il convient de faire preuve de la plus grande prudence en circulant. Il n’existe pas de secours routiers d’urgence.

La conduite se fait à droite. Le permis de conduire français est reconnu pour les touristes.

En cas d’accident :

  • attendre le constat de la police avant de déplacer le véhicule endommagé,
  • le cas échéant, en cas de blessures, faire établir un certificat médical.

Réseau maritime

Navigation de plaisance

Il est vivement recommandé aux plaisanciers :

  • de prévenir la capitainerie des ports d’escale de leur arrivée et de leur départ, d’indiquer avec précision aux autorités locales le nombre et l’identité des passagers ainsi que le prochain port ou pays de destination ;
  • d’informer les proches restés en France de l’itinéraire et des escales envisagées ;
  • de veiller à la sécurité de l’embarcation lors des mouillages, aucune surveillance n’étant assurée (cas fréquents de cambriolage des bateaux et vols, même à quai) ;
  • de s’équiper d’un matériel de communication et de secours performant, de s’assurer de son bon fonctionnement avant le départ et de disposer de fusées de détresses et/ou de balises Argos, irremplaçables lors d’une avarie majeure en mer ou d’un naufrage (il n’y a pas de secours en mer).

Transports aériens

Deux compagnies aériennes nationales, TACV et Halcyonair, détiennent le monopole des vols intérieurs. Les vols peuvent être annulés à la dernière minute. Les retards sont fréquents. La TACV effectue un vol direct par semaine Praia – Paris Roissy CDG. La compagnie portugaise TAP effectue des vols quotidiens, au départ de Praia et de Sal, à destination de Lisbonne, avec connexion pour Paris Orly. Des compagnies charter, en provenance de capitales européennes, desservent les îles de Sal et de Boa Vista. Vous pouvez aussi voyager au Cap-Vert en passant par les États-Unis, par le Brésil ou par le Sénégal (cf. « vaccinations », ci-dessous).

L’harmattan, vent chaud chargé de poussière et de sable saharien, souffle sur les îles de début janvier à fin mars. Pendant cette periode, du fait de la mauvaise visibilité, le trafic aérien peut être perturbé. Chaque année de nombreux retards sont enregistrés à l’arrivée et aux départs. Certains vols inter-îles peuvent être annulés, bloquant ainsi les voyageurs pendant plusieurs jours.

Santé

Avant le départ

Sachant que les capacités médicales locales sont faibles et que les stocks de médicaments peuvent s’avérer limités en dehors de la capitale Praia (île Santiago) :

  • souscrivez à une compagnie d’assurance ou assistance couvrant à l’étranger les frais médicaux et le rapatriement sanitaire aérien,
  • consultez votre médecin (et éventuellement votre dentiste).

Paludisme

Le pays connaît de rares cas sporadiques de transmission de paludisme: il est recommandé de respecter les mesures individuelles de protection (vêtements longs, produits anti-moustiques à utiliser sur la peau et sur les vêtements, diffuseurs électriques, moustiquaires) et ce, de jour comme de nuit. Il est nécessaire de consulter un médecin en cas de fièvre. Pour plus d’information, contactez l’Institut Pasteur (www.pasteur.fr).

Dengue

Cette maladie virale est transmise par les piqûres de moustiques. Il convient donc de respecter les mesures habituelles de protection (vêtements longs, produits anti-moustiques à utiliser sur la peau et sur les vêtements, diffuseurs électriques, moustiquaires) et ce, de jour comme de nuit. La dengue pouvant prendre une forme potentiellement grave, il est vivement recommandé de consulter un médecin en cas de fièvre et vérifier les médicaments déconseillés le cas échéant (aspirine, ibuprofène, etc.). Pour plus d’information, contactez l’Institut Pasteur (www.pasteur.fr).

Vaccinations

Aucun vaccin, sauf en cas d’épidémie, n’est obligatoire. Cependant, tout voyageur passant par le Sénégal ou le Brésil doit être vacciné contre la fièvre jaune et disposer d’un carnet de vaccinations international à jour. La mise à jour de la vaccination diphtérie-tétanos-poliomyélite est recommandée (DTP). Autres vaccinations pouvant être conseillées: fièvre typhoïde, hépatites virales A et B, Méningocoque. Demandez conseil à votre médecin ou à un centre de vaccinations internationales. Pour plus d’information, contactez l’Institut Pasteur (www.pasteur.fr/ip/easysite/pasteur/fr).

Hygiène

  • veillez à un lavage régulier et soigneux des mains,
  • ne buvez pas l’eau du robinet,
  • sachez que la chaine du froid n’est pas toujours bien respectée,
  • ne caressez pas les animaux errants (risque de gale).

VIH-Sida

Prévalence non négligeable du VIH-Sida ; toute mesure de prévention est indispensable.

Pour de plus amples renseignements, consultez les sites Internet suivants :

Institut Pasteur (fiche pays)
Institut de veille sanitaire
Organisation Mondiale de la Santé

Infos utiles

Législation locale

La vente et la consommation d’alcool sont interdites aux moins de dix-huit ans. La conduite en état d’ivresse est un délit. La consommation et le trafic de stupéfiants sont interdits. Les peines encourues vont jusqu’à huit ans d’emprisonnement.

Divers

Les cartes de crédit internationales sont de plus en plus acceptées. Il faut cependant noter que la carte MASTERCARD n’est pas acceptée à tous les distributeurs automatiques ni à toutes les bornes de paiements SISP. La carte VISA est plus largement acceptée. La banque Caixa Economica ne prend pas de commission de change. Certains établissements touristiques acceptent le paiement en euros.

  • Institut Français du Cap-Vert / Centre Culturel Français de Praia (île Santiago), tel : +238 261 11 96,info@ccfcv.org
  • École internationale Les Alizés à Praia (île Santiago), tel : +238 261 43 69,ecole.alizes@gmail.com
  • Alliance française de Mindelo (île Sao Vicente) : +238 232 11 49,afmsvcapvert@cvtelecom.cv

Jours fériés de l’année 2014, pendant lesquels l’Ambassade de France est fermée :

  • Mercredi 1er janvier : Jour de l’An
  • Lundi 20 janvier : Journée Amilcar Cabral
  • Mercredi 5 mars : Mercredi des Cendres
  • Vendredi 18 avril : Vendredi Saint
  • Jeudi 1er mai : Fête du travail
  • Lundi 19 mai : Fête municipale de Praia
  • Jeudi 29 mai : Ascension
  • Lundi 9 juin : Pentecôte
  • Lundi 14 juillet : Fête nationale
  • Vendredi 15 août : Assomption
  • Jeudi 25 décembre : Noël
  • Ambassade de France de Cabo Verde

Représentations françaises

Quartier de Prainha – Ile de Santiago
CP 19276000 Praia

(238) 260 45 35

cad.praia-amba@diplomatie.gouv.fr

assistance consulaire lundi/vendredi 11h30-12h30 :

+238 260 45 11

Permanence d’urgence nuit/week-end :

+238 991 21 29

http://www.ambafrance-cv.org/

Représentations diplomatiques et consulaires en France

Fonctions consulaires assurées par l’Ambassade

3 rue de Rigny75008Paris

01.42.12.73.50

ambassade-cap-vert2@wanadoo.fr

http://www.ambassadecapvert.fr

Contacts utiles

Coordonnées

Police

(numéro national gratuit) : 800 11 34

  • île Sao Vicente : 231 46 31
  • île Boa Vista : 251 11 32
  • île Brava : 285 11 32
  • île Fogo : 281 11 32 (S. Filipe), 283 10 73 (Mosteiros), 282 11 80 (Cova Figueiro)
  • île Maio : 255 11 32
  • île Sal : 241 11 32 (Espargos), 242 11 32 (Santa Maria)
  • île Santo Antao : 221 11 32 (Ribeira Grande), 222 11 32 (Porto Novo), 225 11 32 (Ponta do Sol), 223 12 92 (Paul)
  • île Sao Nicolau : 235 11 32 (Ribeira Brava), 236 11 32 (Tarrafal)
  • île Santiago : 132 ou 262 13 32 (Praia), 269 13 32 (Pedra Badejo), 267 11 32 (Ribeira Grande), 265 11 32 (Santa Catarina), 272 10 60 (Picos), 271 11 85 (Orgaos), 273 11 32 (Calheta), 266 11 32 (Tarrafal), 268 11 32 (S. Domingos).

Santé

Protection civile (numéro gratuit) : 800 11 12

Hôpitaux et centres de santé :

  • île Sao Vicente, Hôpital Baptista de Sousa à Mindelo : +238 232 73 55
  • île Boa Vista : +238 251 11 67
  • île Brava : +238 285 11 30
  • île Fogo : +238 281 11 30 (S. Filipe), +238 283 10 34 (Mosteiros), +238 282 11 30 (Cova Figueiro)
  • île Maio : +238 255 11 30
  • île Sal : +238 241 11 30 (Espargos), +238 242 11 30 (Santa Maria)
  • île Santo Antao : +238 221 11 30 (Ribeira Grande), +238 222 11 30 (Porto Novo), +238 225 11 30 (Ponta do Sol), +238 223 11 30 (Paul)
  • île Sao Nicolau : +238 235 11 30 (Ribeira Brava), +238 236 11 30 (Tarrafal)
  • île Santiago : • Praia : Hôpital Agostinho Neto 130 ou +238 260 10 10 et plusieurs cliniques privées, dont Praia Clinica (quartier Prainha, Cha Areia, près de l’Ambassade de France) : +238 261 47 68, +238 1 30 62 • Pedra Badejo : +238 269 13 30 • Santa Catarina : +238 265 11 30 • Tarrafal : +238 266 11 30 • Trindade : +238 264 50 17 • Calheta : +238 273 11 30 • Ribeira Grande : +238 267 11 20 • Orgaos : +238 271 11 29 • Picos : +238 272 11 30 • S. Domingos : +238 268 11 30

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Documents Administratifs

Ci-dessous vous trouverez les documents nécessaires à l’obtention de votre visa pour le Cameroun*. Veuillez les renseigner et nous les renvoyer par mail à top-visas.com ou par le biais du formulaire de droite.

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L’essentiel

Capitale

Yaoundé

Langue

français et anglais (langues officielles), auxquelles s’ajoutent 24 grands groupes de langues africaines

Devise

Le franc CFA (XAF)

Décalage horaire

GMT/UTC + 1h

73, rue d’Auteuil 75116 – tél. +33 (0)1 47 43 98 33

Electricité

110/220 V, 50 Hz

Téléphone + 237

En savoir plus sur http://www.lonelyplanet.fr/destinations/afrique/cameroun#6gg5zjrI0UDQvp2i.99

Introduction

 cameroun-petite-carte

A l’image de sa géographie très diverse, entre le creux du golfe de Guinée, les confins du Congo et le lac Tchad, la population du Cameroun couvre une palette humaine, ethnique, linguistique et religieuse très vaste. Indépendant depuis 1960, le Cameroun représente à ce jour un pivot de stabilité dans la sous-région et un poids lourd de la zone CEMAC.

Assurant l’accès à la mer des pays enclavés que sont le Tchad et la RCA, le Cameroun partage une frontière commune de 1700 kilomètres avec le Nigeria. Son économie, très diversifiée elle aussi, repose sur l’agriculture (sous toutes les formes qu’elle revêt en Afrique) et le secteur forestier, sur l’exploitation d’hydrocarbures et l’industrie et sur les services (transports, commerce, télécommunications).

La France entretient une relation étroite et ancienne avec le Cameroun. Avec environ une centaine de filiales d’entreprises françaises présentes dans tous les secteurs d’activités, la France est l’un des tout premiers investisseurs étrangers du pays. Dense et multiforme, la coopération franco-camerounaise s’appuie pour une large part sur le Contrat de désendettement et de développement (C2D), mécanisme original consistant à recycler les échéances de remboursement de la dette du Cameroun à l’égard de la France, refinancées par des dons.

Le succès du premier C2D, d’un montant de 537 M€, a permis la signature du second, d’un montant de 326 M€ pour la période 2011-2016. Le Cameroun, en 2009, a été le premier État à signer un accord de défense de nouvelle génération, entré en vigueur le 1er août 2012.

Site internet de l’Ambassade de France au Cameroun

 

Mise à jour : 01.08.13

Entrée / Séjour

  • Formalités d’entrée et de séjour au Cameroun :visa obligatoire.
  • Laisser, chaque fois que cela est possible, à l’hôtel ou chez les amis qui vous accueillent, des photocopies certifiées conforme des pièces d’identité et documents de voyage (carte nationale d’identité, passeports, titres de voyage) permettant aux services consulaires, en cas de perte ou de vol, de reconstituer les pièces originales dérobées ou perdues.
  • Le consulat général à Douala et la section consulaire de l’ambassade à Yaoundé sont à votre disposition pour vous permettre de réunir les informations utiles à vos projets et à vos déplacements, notamment s’agissant de la sécurité.
  • Pour de plus amples informations, prendre l’attache de l’Ambassade du Cameroun en France.

 

Dernière minute

Suite aux récents enlèvements dans la région Extrême –Nord, il est demandé à tous les Français encore présents dans la zone de la quitter dans les meilleurs délais. Tout déplacement dans la zone est formellement déconseillé, la sécurité des Français n’étant plus assurée.

RCA

  • Les événements en Centrafrique ont provoqué dans les régions frontalières des accrochages entre la Séléka et les forces de sécurité camerounaises ainsi qu’un mouvement de réfugiés, parmi lesquels pourraient se trouver des individus peu scrupuleux. Toute présence dans ces zones, notamment dans les villes de Garoua-Boulaï et de Gamboula, est formellement déconseillée (cf carte de la rubrique “sécurité”).

Sécurité

ariane   Ariane pour votre sécurité, restez connecté. Inscrivez-vous.

Le taux de criminalité au Cameroun demeure d’un niveau raisonnable. Cependant les Français peuvent constituer une cible privilégiée pour les délinquants de toutes sortes. Les agressions, principalement motivées par le vol de biens matériels ou d’objets de valeur, peuvent s’accompagner de violences graves pouvant aller jusqu’au meurtre. Le respect de consignes générales de sécurité, la vigilance et le bon sens permettent cependant de voyager dans les zones figurant en jaune sur la carte. Il est recommandé à toute personne se déplaçant hors de son lieu de résidence habituel de consulter régulièrement cette Fiche Conseils aux voyageurs, mise à jour grâce à des sources variées et fiables d’informations et de ne pas se fier au seul « bouche à oreille », nettement insuffisant. Par ailleurs, les voyageurs français sont fortement invités à s’inscrire sur le portail Ariane, afin de recevoir le cas échéant, des messages de sécurité.

Les risques

  • Le risque terroristene peut être écarté, en particulier en zone rouge dans l’Extrême-Nord, formellement déconseillée (cf. Infra) et, dans les lieux fréquentés par les étrangers et dans les grandes villes.
  • La délinquance d’appropriation: Dans les grandes agglomérations, il est conseillé de prendre certaines précautions tant lors des déplacements à pied ou en véhicule, qu’à domicile (hôtel, appartement situé en étage, villa). Des rôdeurs isolés mais aussi des bandes organisées se livrent à des cambriolages et à des agressions nocturnes.
  • Les coupeurs de route:Des agressions ont régulièrement lieu, de jour comme de nuit, sur les routes. Il est donc vivement conseillé de se déplacer en convoi de jour et d’éviter de rouler la nuit. Les axes routiers (routes goudronnées et pistes de brousse) dans les régions de l’Adamaoua (Ngaoudere), du Nord (Garoua), et de l’Extrême-Nord peuvent être dangereux en raison d’attaques périodiques par des bandes armées (coupeurs de route). Une recrudescence du phénomène est perceptible depuis le début de l’année.
  • La piraterie maritime: la navigation de plaisance est formellement déconseillée dans le Golfe de Guinée et a fortiori le mouillage près des côtes, compte tenu des risques liés à la piraterie maritime qui affecte cette zone.
  • Le risque routier: Sur les routes et les pistes, en tout premier lieu sur l’”axe lourd” Yaoundé-Douala, le comportement imprévisible de nombreux conducteurs entraîne une insécurité permanente et nécessite une attention de tous les instants. La circulation de nuit y est particulièrement dangereuse. .
  • Les risques naturels: Le Mont Cameroun est un volcan toujours en activité. L’ascension est possible, mais il est nécessaire de se renseigner sur les conditions du moment peu de temps avant le départ. Des gaz mortels peuvent émaner des lacs volcaniques Nyos et Monoum. Des mesures d’évacuation des gaz ont été prises ces dernières années, atténuant le danger d’émanations soudaines. Il est cependant conseillé de se renseigner avant d’entreprendre des excursions aux alentours

Zones formellement déconseillées

Frontière nigériane: toute la zone frontalière avec le Nigeria (du Lac Tchad au Golfe de Guinée) est formellement déconseillée sur une profondeur de 30 kms, du fait d’incursions potentielles et avérées de groupes terroristes ou criminels à partir du Nigeria. L’enlèvement de Français survenu le 19 février et le 14 novembre 2013 à l’Extrême- Nord du Cameroun, à la frontière nigériane en atteste.

Région Extrême-NordToute la région Extrême –Nord du Cameroun, des rives du Lac Tchad jusqu’au Sud de Maroua, est formellement déconseillée du fait du risque terroriste (présent dans toute la région, notamment à Maroua et à Kousseri) et du risque d’enlèvement (particulièrement fort en zone frontalière du Nigéria). Il est actuellement vivement recommandé aux Français de quitter la région.

Frontière avec la République centrafricaine (RCA)Elle est formellement déconseillée depuis le Nord de la RCA jusqu’au sud de la localité de Yokadouma en raison de l’instabilité de la situation en RCA et de la porosité des frontières à des bandes armées (braconniers, bandits, trafiquants en tous genres…). Des accrochages ont lieu régulièrement entre forces de l’ordre camerounaises et éléments armés centrafricains depuis la chute du Président Bozizé en mars 2013.La ville de Garoua-Boulaï est particulièrement déconseillée. La traversée de la zone rouge, nécessaire pour se rendre par la route dans les régions septentrionales du pays (route de Ngaoundéré) ou dans le sud de la région Est (Yokadouma), doit se faire sous escorte armée (gendarmerie ou BIR – contacter le service de l’attaché de sécurité intérieure de l’ambassade de France – Tél : 22 22 79 17 ou 79 18).

Sud-Ouest: tout déplacement dans la presqu’île de Bakassi est formellement déconseillé compte tenu de l’isolement et des problèmes d’insécurité liés notamment aux activités de contrebandiers, qui affectent ce territoire rétrocédé au Cameroun par le Nigeria en 2008.

Le parc national de Korup se trouve en partie dans la zone frontalière. Il convient donc de ne pas s’y rendre. L’autre partie peut être visitée mais en y étant très vigilant et en prenant au préalable l’attache des autorités locales (gendarmerie) avant de quitter Douala, Buea ou Limbe et le cas échéant en sollicitant une escorte (contact à établir avec le consulat général ou l’ambassade).

Zones déconseillées sauf raison impérative (orange)

Région Nord

Garoua: le risque terroriste est moins élevé que dans l’Extrême Nord. Compte tenu de la proximité de la zone frontalière, il est cependant recommandé de signaler sa présence et de laisser ses coordonnées auprès de l’Agence consulaire de France à Garoua (http://www.alliancefrancaisegaroua.org/). En cas de séjour visible (réunion amenant plusieurs Français à séjourner ou travailler au même endroit pendant plusieurs jours), une protection armée est recommandée (contacter la gendarmerie).

Frontière tchadienne de la région Nord: des infiltrations d’éléments incontrôlés de RCA peuvent se produire, cela a notamment été le cas des bandes de trafiquants d’ivoire lourdement armés massacrant les éléphants du parc national de Bouba Ndjida, de 2006 à 2012.

Frontière avec la RCA: la partie Sud de la frontière avec la RCA à partir du Sud de la localité de Yakodouma est déconseillée sauf raison impérative en raison des accrochages qui peuvent y avoir lieu.

Zones à vigilance particulièrement renforcée (jaune)

La plus grande vigilance est recommandée lors de séjours dans les stations balnéaires (Kribi, Limbe). Des attaques sur les villes côtières par des pirates lourdement armés se déplaçant à bord de vedettes rapides ont déjà eu lieu (notamment à Bata, en Guinée équatoriale et contre des banques à Limbe en 2007.

Par ailleurs, il est rappelé qu’il est strictement interdit de s’approcher à moins de 500m d’une plate-forme pétrolière ; cette interdiction pouvant être portée à 2 ou 3 milles nautiques dans certaines zones. Des renseignements peuvent être obtenus auprès de la capitainerie et des marinas.

A Limbe, compte tenu de plusieurs agressions survenues en février 2013 dans des hôtels, une prudence particulière doit être observée.

Région littoral

Bien qu’au cours des derniers mois aucune agression de touristes par des bandits armés n’ait été signalée à proximité des chutes d’Ekom (entre Bafang et Nkongsamba), il est vivement recommandé de ne s’y rendre qu’en groupe et de quitter les lieux avant la tombée de la nuit. Malgré les dispositions qui ont été prises pour renforcer très sensiblement la sécurité dans la région des ’’Monts de Manengouba et des Lacs jumeaux’’ (situés près de la ville de Melong – Nord de Douala), tant sur les lieux d’hébergement qu’en montagne, il est recommandé de prendre contact au préalable avec les gérants des établissements hôteliers concernés et le cas échéant de solliciter auprès d’eux une escorte armée en montagne.

Les précautions à prendre

Délinquance : il convient d’être vigilant quelle que soit la période mais il faut redoubler de vigilance aux périodes de l’année où la population est particulièrement en manque d’argent : décembre et janvier (autour des fêtes de fin d’année) ; septembre (rentrée scolaire).

  • Éviter d’exhiber tout article de valeur ou de nature à attirer la convoitise (sac à main, cellulaire, montre, bijoux, appareil photo…). Les sacs à main sont à proscrire sur les marchés et dans les quartiers sensibles. Il faut éviter d’y mettre des objets précieux (grosse somme d’argent, bijoux, téléphone…) et tous ses documents. Les vols à l’arraché sont fréquents.
  • Ne portez jamais sur vous d’importantes sommes d’argent, mais en revanche ayez quelques billets et pièces qui pourront être remis, sans délai et sans hésitation, en cas d’agression.
  • Éviter formellement d’emprunter des taxis à partir de la tombée de la nuit, surtout si vous êtes seul. Les agressions en taxi sont fréquentes, surtout après la tombée de la nuit.
  • En ville, circulez en voiture vitres fermées et portières verrouillées et ne laissez jamais sacs, bagages ou objets de valeur visibles dans l’habitacle du véhicule. De nuit, arrêtez-vous uniquement dans des endroits animés et bien éclairés (ex. station service).
  • Ne tentez jamais de résister aux exigences des agresseurs, qui en général ne visent que les valeurs ou les biens.
  • Ne vous rendez pas dans les quartiers défavorisés et sur les marchés populaires sans être accompagné d’un guide ou d’une personne connaissant les lieux.
  • Se montrer attentif, sur les pistes ou les routes, à toute interruption anormale du trafic en sens inverse (ce qui pourrait être le signe d’une attaque de véhicule en amont).
  • En cas de location d’un appartement ou d’une villa, veiller à embaucher un gardien de jour et de nuit et s’assurer de l’identité des personnels que l’on embauche (garder copie des pièces d’identité). Il est préférable à cet égard de s’adresser à une société de surveillance plutôt qu’à un employé privé. Gardez une copie des pièces d’identité de vos employés et vos biens les plus précieux en un lieu sûr si vous le pouvez.

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Transports

Infrastructures routières

Les routes et les pistes sont en général dangereuses en raison du comportement de conducteurs, souvent non titulaires du permis de conduire, irresponsables ou en état d’ébriété. L’axe “lourd” reliant Douala à Yaoundé est réputé pour être l’un des plus meurtriers du monde.

Le danger y est omniprésent : sur la route (comportements, ornières,…) et aux abords (piétons, camions ou véhicules stationnés ou accidentés…). La vigilance requise consiste en particulier à anticiper les dépassements en dehors des zones autorisées et sans visibilité, dans les virages, à anticiper la présence devant soi de camions chargés (grumiers…) roulant avec peu ou pas d’éclairage à des allures parfois très lentes notamment en côte (environ 20 km/heure). Ces camions peuvent stationner en chevauchant la chaussée sans se signaler. Les conducteurs font régulièrement des écarts pour éviter une ornière sur la route et peuvent ainsi se retrouver face à vous. Il est vivement recommandé de boucler sa ceinture de sécurité à l’avant et à l’arrière de la voiture et de conduire prudemment en limitant sa vitesse. Les voyages de nuit (au-delà de 18 heures) sont absolument à proscrire en raison, notamment, de la circulation des poids lourds.

Lorsqu’on emprunte des moyens de transports collectifs, il est prudent de vérifier les horaires d’arrivée à destination afin d’éviter de se trouver sur la route la nuit tombée.

Les ruptures d’approvisionnement en carburant sont rares mais il est conseillé de prévoir des réserves en raison des distances entre les points de distribution.

En cas d’accident matériel ou corporel, mettez-vous en sécurité puis faites appel au service de sécurité le plus proche (cf. Liste des appels d’urgence). Prêtez assistance aux personnes en danger mais restez vigilant.

Réseau ferroviaire

Compte tenu des incertitudes du transport aérien, un nombre croissant de touristes emprunte aujourd’hui le train de nuit qui circule entre Yaoundé et Ngaoundéré. Ce train fournit un service correct aux voyageurs, notamment en première classe et en wagon-lit (choix conseillé). Faites attention cependant aux pickpockets et aux voleurs à l’arraché.

Transport aérien

Le transport aérien intérieur reste soumis à l’irrégularité des horaires. Se renseigner sur place.

Santé

Avant le départ

Consultez votre médecin (éventuellement votre dentiste) et souscrivez à une compagnie d’assistance couvrant les frais médicaux et le rapatriement sanitaire.

Paludisme

Prévention du paludisme : Cette maladie parasitaire, transmise par les piqûres de moustiques, impose le recours à des mesures de protection individuelle (sprays, crèmes, diffuseurs électriques, moustiquaires…). A ces mesures, doit s’ajouter un traitement médicamenteux adapté à chaque individu : il convient de s’adresser à votre médecin habituel ou à un centre de conseils aux voyageurs. Le traitement devra être poursuivi après le retour en France durant une durée variable selon le produit utilisé.Classification : zone 3.

Durant votre séjour, et durant les deux mois qui suivent votre retour, en cas de fièvre, un avis médical doit être pris rapidement, pour mettre en œuvre dès que possible un traitement antipaludique éventuel.

En raison du risque élevé de paludisme, le séjour d’une femme enceinte est fortement déconseillé.

Dengue et Chikungunya

Ces maladies virales transmises par les piqûres de moustiques imposent le respect des mesures habituelles de protection (vêtements longs, produits anti-moustiques à utiliser sur la peau et sur les vêtements, diffuseurs électriques) et l’attention des personnes les plus vulnérables. Ces affections pouvant prendre une forme potentiellement grave, il convient de consulter un médecin en cas de fièvre. La prise d’aspirine est déconseillée.

Vaccinations

Au début de l’année 2012, les autorités sanitaires ont rapporté plusieurs cas suspects de fièvre jaune dans le nord du pays. Il est rappelé que la vaccination est obligatoire pour se rendre au Cameroun. Par ailleurs, comme souvent à cette période de l’année, plusieurs cas suspects de méningite à méningocoque sont signalés. La vaccination à méningo A+C+W135 est indispensable.

  • La vaccination contre la fièvre jaune est obligatoire (à pratiquer dans un centre agréé). Le carnet international de vaccination faisant mention de cette vaccination est exigé à l’entrée sur le territoire camerounais.
  • La mise à jour de la vaccination diphtérie-tétanos-poliomyélite est recommandée.
  • Autres vaccinations conseillées (selon conditions d’hygiène et durée du séjour) : fièvre typhoïde, hépatites virales A et B, méningite à méningocoque (voir ci-dessous).
  • La vaccination contre la rage peut également être proposée dans certains cas. Demandez conseil à votre médecin ou à un centre de vaccinations internationales.

Épidémie de méningite

Entre janvier et juin, le Nord Cameroun est régulièrement touché par des épidémies de méningite à méningocoques.La vaccination par le vaccin tétravalent (menomune ou mencevax) est vivement recommandée.Le vaccin bivalent (A + C) n’est pas suffisant car il n’est pas efficace contre certaines méningites à méningocoques (W135).

Épidémie de grippe aviaire

Le Cameroun a été touché par l’épizootie de grippe aviaire en 2006. Il est recommandé aux voyageurs souhaitant se rendre dans ce pays de consulter l’encart “grippe aviaire” figurant en page d’accueil de ce site. La Direction Générale de la Santé recommande aux voyageurs d’éviter tout contact avec les volailles et les oiseaux, c’est-à-dire de ne pas se rendre dans des élevages ni sur les marchés aux volatiles. Les recommandations générales d’hygiène lors des voyages dans les pays en développement, qui visent à se protéger des infections microbiennes, sont préconisées.

Épidémie de grippe A(H1N1)

Au Cameroun, très peu de cas de grippe A(H1N1) ont été répertoriés jusqu’à présent. Le vaccin n’étant pas disponible sur place, il est néanmoins conseillé aux personnes souffrant d’affections chroniques sous-jacentes et aux femmes enceintes de se faire vacciner 3 semaines avant leur départ.

Hygiène alimentaire – prévention de la diarrhée du voyageur et du choléra

Il est conseillé de ne pas boire l’eau du robinet : préférez les eaux en bouteilles capsulées. A défaut, consommez de l’eau filtrée, bouillie et décontaminée.

  • Évitez l’ingestion de glaçons, de jus de fruits frais, de légumes crus et de fruits non pelés.
  • Évitez la consommation d’aliments (poisson, viande, volaille, lait) insuffisamment cuits.
  • Veillez à un lavage régulier et soigneux des mains avant chaque repas (hygiène très stricte des mains notamment au sortir des toilettes).

Régulièrement des épidémies de choléra sévissent dans plusieurs villes du Cameroun, notamment Douala. Pour les voyageurs, une hygiène alimentaire stricte et une propreté de base sont, en règle générale, suffisantes pour éviter une contamination.

VIH-Sida

Prévalence non négligeable du VIH/SIDA et des infections sexuellement transmissibles. Toute mesure de prévention est indispensable (préservatif).

Quelques règles simples

  • évitez les baignades dans les eaux stagnantes (risque d’infection parasitaire).
  • évitez de marcher pieds nus sur le sable et les sols humides.
  • ne caressez pas les animaux que vous rencontrez.
  • veillez à votre sécurité routière (port de la ceinture de sécurité en automobile ou du casque en moto).
  • ne consommez jamais de médicaments achetés dans la rue. Emportez dans vos bagages les médicaments dont vous pourriez avoir besoin.

Numéros utiles

  • Cameroun Sanitaire Assistance à Douala : +237 33 42 14 14 / 33 42 15 15 / 33 42 37 48
  • Centre Pasteur de Garoua : +237 22 27 22 22
  • A Yaoundé, centre médico-social : +237 22 23 01 39

Pour de plus amples renseignements, consultez les sites Internet suivants :

Site interministériel relatif à la grippe aviaire
Institut Pasteur (fiche pays)
Institut de veille sanitaire
Organisation Mondiale de la Santé

Infos utiles

Législation locale

Il y a lieu naturellement de prendre en compte les traditions et les coutumes locales. En particulier :

  • L’homosexualité, réprimée par la loi (article 347 bis du code pénal), peut valoir des condamnations allant jusqu’à cinq ans d’emprisonnement, sans compter de fréquents sévices.
  • L’usage et la possession de drogues sont interdits et sévèrement réprimés.
  • Il est formellement interdit de photographier les sites militaires, les bâtiments publics, les aéroports et les ports. Les incidents sont fréquents et la plus grande circonspection est recommandée à cet égard, notamment dans les villes (en particulier à Yaoundé).
  • Il est indispensable d’avoir constamment sur soi ses documents d’identité (ou un permis de résidence ou une copie certifiée du passeport) et les références du contrat d’assurance rapatriement en cas d’accident.

Tout voyageur est tenu de respecter les lois et les règlements, ainsi que les représentants de la force publique. En revanche, il faut refuser de transiger en cas d’abus d’autorité. Si une infraction a été commise, il convient de demander aux membres de la police ou de la gendarmerie un exemplaire des actes de procédure.

Arnaques

Des arnaques sont régulièrement mises en œuvre et très bien organisées, parfois sur une très longue période pour gagner la confiance du « pigeon ». Elles peuvent porter sur des faux objets d’art, sur des associations à caractère professionnel, sur des prêts d’argent…

L’attention des ressortissants français est attirée sur les risques éventuels encourus suite à des contacts noués par voie de correspondance électronique (internet) ou postale, avec certains ressortissants camerounais qui cherchent à les rencontrer afin d’obtenir différents avantages de leur interlocuteur (mariage, acquisition d’une nationalité étrangère, reconnaissance d’enfants naturels ou adultérins…). Le Français, une fois attiré au Cameroun, peu parfois être confronté à des méthodes très coercitives. Des réseaux facilitent les mariages de convenance dans le seul but de contourner la réglementation sur les visas.

Les rencontres amoureuses sont l’occasion de tendre des pièges aux conséquences parfois très graves. Il est vivement conseillé de ne jamais confier ses papiers d’identité, billets d’avion, coordonnées bancaires à l’âme sœur et de donner régulièrement des nouvelles à ses proches.

Les risques financiers

La plus grande prudence est recommandée en matière financière.
• En matière de partenariat d’affaires, renseignez vous bien au préalable, notamment auprès de nos consulats et de la mission économique.
• Evitez l’utilisation des cartes de crédit hors des hôtels appartenant à des chaines internationales.
• Evitez de tirer des chèques sur une banque domiciliée hors du Cameroun.
• Evitez l’usage de la voie postale ordinaire pour l’envoi ou la réception de courriers bancaires.
• Soyez très vigilant lors de la consultation d’un compte en banque français sur internet depuis le Cameroun, l’ordinateur pouvant être piraté et le compte vidé.

Représentations françaises

Plateau Atémengué
BP 1631Yaoundé

00 (237) 22 22 79 00

chancellerie.yaounde-amba@diplomatie.gouv.frPermanence consulaire (urgence) :

+237 99 99 92 55

http://www.ambafrance-cm.org/

Représentations diplomatiques et consulaires en France

73, rue d’Auteuil 75016 Paris

01.47.43.98.33

  • Paris | Consulat Général du Cameroun
  • Marseille | Consulat du Cameroun
  • Services de police
    • Police Secours : 17 (ou 117 à partir du portable) dans les villes de Yaoundé, Douala et Garoua
    • Gendarmerie : 13 (ou 113 à partir du portable) dans les provinces du Centre, du Littoral, de l’Ouest et du Nord-ouest
    • Sécurité à Douala : +237 33 43 65 72 (numéro vert)
    • Direction de la police des frontières
      Tél. : +237 22 20 11 17 / +237 22 21 28 84

Contacts utiles

Aéroports

  • Aéroport international de Yaoundé – Nsimalen
    Tél. : +237 22 23 36 02 / +237 22 23 17 44
    Fax : +237 22 23 45 20
  • Aéroport international de Douala
    Tél. : +237 33 42 35 26 / +237 33 42 36 30
    Fax : +237 33 42 57 00
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Documents Administratifs

Ci-dessous vous trouverez les documents nécessaires à l’obtention de votre visa pour la Côte d’Ivoire*. Veuillez les renseigner et nous les renvoyer par mail à top-visas.com ou par le biais du formulaire de droite.

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L’essentiel

Capitale

Yamoussoukro

Langue

français (langue officielle), baloué, dioula, bété et sénoufo

Décalage horaire

GMT/UTC + 0h

Electricité

220 V, 50 Hz

Téléphone

+ 225

En savoir plus sur http://www.lonelyplanet.fr/destinations/afrique/cote-divoire#1vxcvxvzGd6eewVT.99

Brève

Nomination de Aïchatou Mindaoudou Souleymane en tant que Représentante spéciale du Secrétaire general des Nations unies pour la Côte d’Ivoire (21 mai 2013)

La France salue la nomination de Aïchatou Mindaoudou Souleymane en tant que Représentante spéciale du Secrétaire général des Nations unies pour la Côte d’Ivoire, à la tête de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), à la suite de Albert Gerard Koenders.

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Introduction

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L’héritage laissé après la décolonisation avait justifié une relation politique riche suscitant des échanges à de multiples niveaux (43ème BIMA à Abidjan -dissout en juin 2009-, accords de défense, coopération civile dense).

La France est intervenue en Côte d’Ivoire au lendemain de la tentative de coup d’Etat du 19 septembre 2002 afin de protéger ses ressortissants. Très vite, le rôle de la France a évolué vers une interposition entre les forces armées du gouvernement ivoirien et la rébellion. Cette action a évité au pays de plonger dans le chaos avec son cortège de massacres et de destructions. Mais, ce faisant, les deux parties ont reproché à la France son rôle en estimant, l’une et l’autre, avoir été privées, du fait de sa présence, d’une victoire militaire. La communauté internationale, notamment les Nations Unies, a, au contraire, avalisé le processus de sortie de crise défini par l’Accord de Marcoussis (janvier 2003) sous l’impulsion de la France tandis que le Conseil de sécurité donnait mandat à la force Licorne de soutenir l’opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI).

La France a constamment évité de se laisser enfermer dans un tête-à-tête durable avec les Ivoiriens en favorisant le rôle de la communauté internationale et des Africains. Cependant, le bombardement d’une position de Licorne par l’armée loyaliste ivoirienne le 6 novembre 2004, les exactions dont ont été victimes les membres de la communauté française, ainsi que la nécessaire réaction de la force Licorne pour assurer leur protection, ont alors tendu la relation franco-ivoirienne.

Si les relations franco-ivoiriennes se sont nettement améliorées depuis 2004, leur pleine normalisation passait par la bonne mise en œuvre des accords de sortie de crise et en premier lieu par l’organisation d’élections transparentes et crédibles. La France s’est pleinement mobilisée pour accompagner la réussite de ce processus. A l’issue du scrutin, en conformité avec la position des Nations Unies, des organisations africaines et de la communauté internationale, la France a reconnu M. Ouattara comme Président légitime de Côte d‘Ivoire et appelé Laurent Gbagbo à céder pacifiquement le pouvoir. Elle a soutenu les efforts diplomatiques de la communauté internationale et de médiation de l’UA et de la CEDEAO.

Conformément à la résolution 1975, elle est intervenue, sur demande du SGNU au Président de la République, en soutien des forces de l’ONUCI pour la neutralisation des armes lourdes utilisées par les forces de Laurent Gbagbo contre les populations civiles et les forces de l’ONU. La France, au travers de la Force Licorne, est intervenue pour protéger de très nombreux ressortissants français, européens et extra européens à Abidjan, accueillant plus de 5 000 personnes sur sa base de Port Bouët.

En réponse à la crise humanitaire, la France a apporté une aide de 2,5 millions d’euros (affectée au PAM, CICR , HCR et à des ONG) et a acheminé 25 tonnes de médicaments et de matériel médical. Par ailleurs, l’Union Européenne a alloué à 60M € à l’agence humanitaire ECHO pour la crise ivoirienne.

Le Président de la République, accompagné du Ministre des Affaires et Etrangères et européennes et du Ministre chargé de la coopération, s’est rendu à la cérémonie d’investiture du Président Ouattara le 21 mai à Yamoussoukro. Après la visite du ministre de la défense fin juin, le Premier ministre s’est rendu en Côte d’Ivoire les 14 et 15 juillet derniers. Le Président Ouattara a effectué une visite d’Etat en France du 25 au 28 janvier 2012, symbole de la réconciliation entre les deux pays.

Après la visite d’Etat de janvier 2012, le président Ouattara a été reçu à plusieures reprises à l’Elysée. Les ministres Moscovici et Canfin se sont rendu à Abidjan, le 1er décembre, pour signer le premier CD2 (contrat désendettement développement).

Les contacts sont très fréquents sur la crise malienne entre le Président Ouattara, président en exercice de la CEDEAO et le Président de la République française et son Ministre des Affaires étrangères.

Le Ministre Laurent Fabius s’est notamment rendu à Abidjan le 19 janvier 2013 à l’occasion du Sommet extraordinaire de la CEDEAO (pour la 1ère fois la France a été invitée à participer à un sommet des chefs d’Etat de cette organisation).

Site de l’Ambassade de France en Côte d’Ivoire

 

Mise à jour : 30.10.13

Dernière Minute

Bande sahélienne

Au regard de l’activisme de groupes terroristes opérant dans la bande sahélienne, il importe que les Français résidant ou de passage en Côte d’Ivoire fassent preuve d’une vigilance accrue, notamment à l’égard de tout comportement suspect, lors de leurs déplacements et dans les endroits qu’ils fréquentent de façon habituelle ou occasionnelle.

Il convient de demeurer attentif à l’évolution de la situation dans la bande sahélienne mais aussi aux recommandations éventuelles qui pourraient être diffusées par le Consulat général de France en Côte d’Ivoire.

Entrée / Séjour

Visa

Les ressortissants français, munis de passeports ordinaires ou officiels, désireux de se rendre en Côte d’Ivoire, sont soumis à l’obligation de visa biométrique.

La demande de visa biométrique peut être réalisée soit à l’ambassade de Côte d’Ivoire à Paris, soit depuis le 2 janvier 2014, par internet sur le site :www.snedai.ci(Après enregistrement et paiement en ligne des frais, un e.visa biométrique est délivré à l’arrivée à l’aéroport d’Abidjan).

Tout étranger de plus de 15 ans doit être en mesure de présenter à toute réquisition des forces de l’ordre un visa en cours de validité ou un titre de séjour ivoirien.

Les titres de séjour sont délivrés par l’Office National d’Identification, situé à coté du tribunal, près de la cathédrale Saint Paul, à Abidjan.

Pour de plus amples informations, consulter lesite Internet du Consulat général de France à Abidjan, ou prendre l’attache del’Ambassade de Côte d’Ivoire en France.

 

Sécurité

ariane   Ariane pour votre sécurité, restez connecté. Inscrivez-vous.

Après la grave crise post-électorale qui a suivi le second tour des élections présidentielles de novembre 2010, la situation en Côte d’Ivoire est en cours de normalisation sur les plans politique, institutionnel, économique et sécuritaire. Sur ce dernier point, il convient toutefois de demeurer vigilant en raison du maintien de risques résiduels à l’ouest du pays. La zone située à la frontière libérienne et incluant la ville de Taï est déconseillée sauf raison impérative. Il convient également d’être vigilant en raison de la présence de coupeurs de route, notamment dans les environs de Bouaké.

Par ailleurs, les consignes élémentaires de vigilance et de prudence inhérentes à tout déplacement dans un pays en développement et de séjour dans de grandes zones urbaines doivent être strictement respectées.

La criminalité de droit commun est dans l’ensemble contenue à Abidjan et en relation avec une agglomération de plus de 5 millions d’habitants répartis dans des zones résidentielles, un quartier d’affaires et des banlieues très pauvres.

Cette criminalité ne constitue pas un obstacle à la circulation des personnes ni au développement des relations sociales. Toutefois, il convient de faire preuve de vigilance et de prudence, notamment lors des déplacements dans les zones festives de la ville où la vie nocturne est propice aux atteintes aux personnes et aux biens (vols de véhicules à main armée, vols avec violence, cambriolages).

Dans ce contexte, le Consulat général :

  • invite les ressortissants français de passage en Côte d’Ivoire à se faire connaître du Consulat général de France à Abidjan et d’y remplir une fiche « Français de passage » ;
  • recommande également aux ressortissants français qui effectueraient un tel séjour temporaire en Côte d’Ivoire de faire preuve de vigilance ;
  • invite les Français à consulter le bulletin de sécurité hebdomadaire mis en ligne sur le site Internet du consulat :http://www.consulfrance-abidjan.org/et contenant des conseils relatifs à la sécurité et, le cas échéant, la mention des incidents dont les Français ont été victimes et qui ont été signalés au consulat pendant la semaine écoulée.

Délits sexuels

La législation ivoirienne prévoit de lourdes sanctions à l’encontre des auteurs de viol, d’attentat à la pudeur, d’actes de débauche et de dépravation. Les peines, allant de 2 à 20 ans, sont aggravées jusqu’à perpétuité si la victime est mineure. Les auteurs d’actes de pédophilie sont condamnés à des peines d’emprisonnement allant de 6 mois à l’emprisonnement à vie.

En tout état de cause, et conformément à l’article 113-6 du code pénal, la loi pénale française est applicable à tout crime commis par un français hors du territoire de la République. Les ressortissants français coupables d’une infraction sexuelle commise en Côte d’Ivoire peuvent aussi être poursuivis en France en application de la loi 98-468 du 17 juin 1998 pour des faits constitutifs de délits à caractère sexuel, y compris si ceux-ci ne sont pas réprimés par la législation locale (articles 227-22 et suivants du code pénal).

Agressions

  • L’expérience montre qu’il est dangereux de résister aux malfaiteurs ou de faire des gestes qui pourraient être interprétés comme de la résistance. Certains agresseurs craignent d’être reconnus ensuite et dénoncés : il est donc recommandé de ne pas les dévisager.
  • Faire attention aux vols de passeport à l’aéroport, entre le débarquement et le contrôle d’immigration : il est conseillé, même à l’aéroport ou dans une zone apparemment contrôlée, de tenir votre passeport dans un lieu discret, d’en faire une photocopie et de la conserver dans un lieu différent de celui où se trouve le document original ; en cas de vol, le signaler au consulat dans les meilleurs délais afin de pouvoir empêcher l’utilisation frauduleuse de ce document ; un nouveau passeport peut vous être remis rapidement si vous êtes inscrit au Registre des Français établis hors de France (dispositions concernant les résidents).
  • Éviter de porter des bijoux ou de grosses sommes d’argent sur soi dans la rue, mais en avoir suffisamment (30.000 F CFA / 45 euros) pour tenter de calmer un éventuel agresseur.
  • Éviter également de se promener ceint(e) d’une pochette-ceinture (banane) visible ou vêtu(e) d’un gilet-reporter aux poches bourrées, qui attirent l’attention.
  • Ne pas se rendre seul(e) dans certains quartiers populaires d’Abidjan (Adjamé, Yopougon, Abobo, par exemple) et les éviter totalement après le coucher du soleil. Il en va de même des quartiers isolés.
  • Être particulièrement vigilant(e) en quittant une banque ou un distributeur de billets, surtout si une voiture occupée est stationnée à proximité. La même prudence s’impose à tout moment de la journée en quittant un restaurant ou un maquis (bar, dancing).
  • Rouler vitres relevées, portières verrouillées et ne rien laisser sur les sièges et banquettes arrières des voitures, notamment les téléphones portables.

Arnaques

  • Utiliser très prudemment les cartes de crédit en raison de l’apparition de réseaux ivoiriens spécialisés dans les escroqueries à la carte bancaire. De très nombreux cas d’escroqueries de ce type ont été signalés, y compris pour des voyageurs n’ayant utilisé leur carte que dans des grands hôtels. Il convient, dans toute la mesure du possible, de régler les dépenses en espèces et, en tout état de cause, d’éviter de régler par carte bancaire lorsque celle-ci fait l’objet d’un traitement manuel (sabot). Les grands hôtels exigeant souvent le dépôt d’une caution au moyen d’une carte bancaire, il convient de privilégier les établissements où ce moyen de paiement fait l’objet d’un traitement automatisé. Se renseigner au moment de la réservation.
  • L’utilisation des chèques de voyage et des cartes bancaires pour retirer des espèces n’est possible que dans les grandes banques à Abidjan.
  • Les tentatives d’extorsion de fonds par Internet se développent considérablement à partir de la Côte d’Ivoire. Des dizaines de cas sont signalés quotidiennement au Consulat général à Abidjan. Toute sollicitation comportant une demande d’envoi d’informations bancaires ou de sommes d’argent, même modestes, doit être considérée a priori comme douteuse. Le site Internet du Consulat général comporte une rubrique dédiée spécialement aux arnaques en tout genre. Veuillez vous y référer :http://www.consulfrance-abidjan.org/

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Transports

Infrastructure routière

Le réseau routier comprend environ 68.000 km de routes classées dont 6.500 km de routes bitumées. 80% du réseau a plus de 15 ans ; nids de poule et chaussées déformées abondent. Malgré la limitation de vitesse, la circulation, même sur les voies goudronnées, est dangereuse et les accidents mortels sont nombreux. La plus grande prudence est de rigueur et il est fortement déconseillé de rouler la nuit.

L’approvisionnement en carburant ne pose pas de problème sur les grands axes.

En cas d’accident, prévenir la police ou la gendarmerie. Si l’on renverse un piéton hors d’une agglomération, il est préférable d’aller immédiatement au poste de police, gendarmerie ou pompier le plus proche, plutôt que de rester sur place (risque de réactions locales parfois incontrôlées). L’assurance automobile est obligatoire et indispensable. En cas d’accrochage, ne pas déplacer les véhicules. Le constat ne peut être fait que par les forces de l’ordre.

Réseau ferroviaire

Aucun train de passagers ne circule plus depuis le début du conflit.

Transport aérien

Liaisons intercontinentales : consulter le site Internet d’Air France, les conditions de la desserte étant susceptibles de fréquentes modifications.

Santé

Avant le départ

Consultez votre médecin traitant ou un centre de conseils aux voyageurs. Lors d’une admission dans un établissement de soins, le paiement des soins et traitements (ou une caution) étant exigé, il convient de vérifier la couverture par son assurance maladie. Il est prudent decontracter une assurance de rapatriement sanitaire.

Vaccinations

Comme souvent au début de l’année, de nombreux cas de méningite à méningocoque sont rapportés. La vaccination anti-méningococcique (à méningo A+C+W135) est vivement recommandée.

  • fièvre jaune obligatoire (contrôle sanitaire strict à l’entrée dans le pays).

Il est fortement conseillé d’être aussi vacciné contre le tétanos, la poliomyélite, la diphtérie, la fièvre typhoïde, l’hépatite A et l’hépatite B.

Paludisme

Prévention du paludisme (malaria) : Cette maladie parasitaire, transmise par les piqûres de moustiques, impose le recours à des mesures de protection individuelle (sprays, crèmes, diffuseurs électriques, moustiquaires…). A ces mesures doit s’ajouter un traitement médicamenteux adapté à chaque individu : il convient de s’adresser à votre médecin habituel ou à un centre de conseils aux voyageurs. Le traitement devra être poursuivi après le retour en France durant une durée variable selon le produit utilisé.Classification : zone 3.

VIH-Sida

Les risques de contracter une maladie sexuellement transmissible sont importants. Selon l’OMS, le taux de prévalence VIH-Sida est en effet supérieur à 10% au sein de la population adulte.
Lors d’une exposition à risque, consulter un médecindans les 48H00.

Épidémie de grippe aviaire

La Direction Générale de la Santé recommande aux voyageurs d’éviter tout contact avec les volailles et les oiseaux, c’est-à-dire de ne pas se rendre dans des élevages ni sur les marchés aux volatiles. Le virus se transmet par voie aérienne (voie respiratoire) soit par contact direct, notamment avec les sécrétions respiratoires et les matières fécales des animaux malades, soit de façon indirecte par l’exposition à des matières contaminées (par l’intermédiaire de la nourriture, de l’eau, du matériel et des mains ou des vêtements souillés). Les espaces confinés favorisent la transmission du virus.

Hygiène alimentaire

Les recommandations générales d’hygiène lors des voyages dans les pays en développement, qui visent à se protéger des infections microbiennes, sont préconisées :

  • éviter de consommer des produits alimentaires crus ou peu cuits, en particulier les viandes, les laitages, les œufs et leurs produits dérivés non cuits ;
  • se laver régulièrement les mains à l’eau et au savon ou une solution hydroalcoolique.

Attention à la qualité de l’eau de boisson.

Pour de plus amples renseignements, consultez les sites Internet suivants :

Site interministériel relatif à la grippe aviaire :
Institut de veille sanitaire
Organisation Mondiale de la Santé
Institut Pasteur de Paris(fiche pays)
Institut Pasteur de Lille

Infos utiles

Us et coutumes

Les Ivoiriens, chrétiens comme musulmans, restent attachés à leurs traditions, qu’il convient de respecter (fêtes religieuses, fêtes traditionnelles, cérémonies coutumières).

Législation locale concernant la drogue

Le trafic de drogue est sévèrement réprimé : de 5 à 20 ans de prison. La détention et la consommation de drogues sont strictement interdites et passibles d’une peine de 3 mois à 5 ans d’emprisonnement assortie d’une amende. La législation est appliquée dans le sens de la plus grande sévérité par les magistrats ivoiriens.

Avertissement

Le Ministère des Affaires Etrangères ne peut, en aucun cas, être tenu responsable d’incidents qui pourraient survenir pendant un voyage.

Les informations contenues dans les pages du site Internet sont susceptibles de modifications et sont données à titre indicatif.

En outre, il est rappelé qu’aucune région du monde ni aucun pays ne peuvent être considérés comme étant à l’abri du risque terroriste.

Représentations françaises

17, rue Lecoeur 17 BP 175Abidjan

(+225) 20 20 04 04

cad.abidjan-fslt@diplomatie.gouv.fr

http://www.ambafrance-ci.org/

Représentations diplomatiques et consulaires en France

102, avenue Raymond Poincaré75116Paris

01.53.64.62.62

rciparis@ambassadecotedivoire.fr

http://www.ambassadecotedivoire.fr/

Contacts utiles

Adresse : 17 rue Lecoeur – 17 BP 175 – ABIDJAN 17
Tél. : +225 20 20 05 05
Site internet: www.ambafrance-ci.org

La permanence peut être jointe 7 jours/7, 24 heures/24 par l’intermédiaire du Poste Central de Sécurité de l’Ambassade, qui répond aux appels urgents en dehors des heures de service.

Agences consulaires

Liste des agences consulaires

Bouaké
Tél. : +225 31 63 49 01
Fax : +225 31 63 54 30
Portable (urgences uniquement) : +225 07 08 22 22

Daloa
Tél. : +225 32 78 31 36
Fax : +225 32 78 16 40
Portable (urgences uniquement) : +225 05 95 22 88

San Pedro
Tél. : +225 34 71 28 96
Fax : +225 34 71 25 63
Portable (urgences uniquement) : +225 05 06 70 96

Adresses des représentations diplomatiques et consulaires françaises à l’étranger (sur le site de la Maison des Français de l’étranger).

Numéros utiles

Abidjan

  • Numéro vert en cas de harcèlement routier : 110
  • Commissariats de police et de gendarmerie d’Abidjan :
    • Direction générale de la police : +225 20 22 08 22
    • Préfecture de police (commissariat central) : +225 20 21 00 22 / +225 20 22 42 27 / +225 20 21 77 92
    • Gendarmerie : +225 20 21 88 83
  • Commissariats
    • de l’aéroport : +225 21 27 70 31
    • du plateau : +225 20 21 58 33
    • de Treichville : +225 21 24 17 48
    • d’Adjamé : +225 20 37 44 65
    • de la Zone 4 : +225 21 35 10 27
    • de Port Bouët : +225 21 27 71 78
    • de Koumassi : +225 21 36 14 34
    • des 220 logements : +225 20 37 15 91
    • de Cocody : +225 22 44 15 16
    • de Marcory : +225 21 26 78 58
    • d’Attecoubé : +225 20 37 27 41
    • de Williamsville : +225 20 37 23 28
    • des II Plateaux : +225 22 41 35 05
    • d’Abobo (13e arrondissement) : +225 24 39 00 90
    • d’Abobo (14e arrondissement) : +225 24 39 15 54
    • d’Abobo (15e arrondissement) : +225 24 39 05 00
    • de Yopougon (16e arrondissement) : +225 23 45 26 64
    • de Yopougon (19e arrondissement) : +225 23 45 63 60
    • de Niangon : +225 23 46 37 28
    • de Riviera : +225 22 43 18 65

San Pedro

  • Commissariat de police : +225 34 71 13 43
  • Gendarmerie : +225 34 71 20 70

Yamoussoukro

  • Commissariat de police : +225 30 64 11 63 / 30 64 00 24
  • Gendarmerie : +225 30 64 00 22

Daloa

  • Commissariats :
    • 1er arrondissement : +225 32 78 36 22
    • 2e arrondissement : +225 32 78 32 13
    • 3e arrondissement : +225 32 78 35 85
  • Gendarmerie : +225 32 78 20 45 / 32 78 31 56

Santé

  • Abidjan

• Réanimation : 185
• SMU Abidjan (SAMU de Cocody) : +225 22 44 53 53, numéro abrégé 185
• Centre national de transfusion sanguine : +225 21 35 57 23 ou 21 75 78 65
• C.H.U. de Cocody : +225 22 48 10 00
• C.H.U. de Treichville : +225 21 24 91 22 ou 21 24 91 55
• CHU de Yopougon : +225 23 46 64 54
• PISAM (Polyclinique internationale de Sainte-Marie) conventionnée à Cocody : + 225 22 48 31 31
• Clinique de l’Indénié : +225 20 30 91 00
• Polyclinique Avicennes (conventionnée CFE) : +225 21 21 13 00 ou 01 ou 02
• Polyclinique Hôtel Dieu (conventionnée CFE) : + 225 21 25 79 19 ou 20 ou 21 75 91 80 ou 81
• Polyclinique Groupe médical du Plateau : +225 20 22 20 29 ou 20 22 21 05
• Nouvelle clinique du Belvédère : +225 20 21 46 65
• Institut de cardiologie (CHU de Treichville) : +225 21 21 61 71
• Hôpital psychiatrique de Bingerville : +225 22 40 30 40

  • San Pedro

CHR Hôpital : +225 34 71 29 00

  • Yamoussoukro

CHR Hôpital : +225 30 64 00 33

  • Daloa

CHR Hôpital : +225 32 78 33 01

 

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