Documents Administratifs
Ci-dessous vous trouverez les documents nécessaires à l’obtention de votre visa pour la Corée du Sud*. Veuillez les renseigner et nous les renvoyer par mail à top-visas.com ou par le biais du formulaire de droite.
*A nous retourner remplis dans les plus brefs délais
L’essentiel
Capitale
Séoul
Langue
Coréen
Décalage horaire
GMT + 9h
Corée du Sud : Devise
Le won (KRW)
En savoir plus sur http://www.lonelyplanet.fr/destinations/asie/coree-du-sud/lessentiel#5ATbxl0xH2GRCT5t.99
Brève
Visite officielle de la Présidente Park Geun-hye – Allocution du Premier ministre (4 novembre 2013)
“La Corée et la France sont, en effet, unies par une histoire commune qui nous a amenés à traverser ensemble bien des épreuves. Nous avons célébré notre fraternité d’armes, à l’occasion des cérémonies qui ont marqué le soixantième anniversaire de l’armistice de la guerre de Corée. Aujourd’hui, la France est solidaire de votre pays face à la menace que fait peser la prolifération nucléaire dans la péninsule coréenne. Cette solidarité, elle vous est acquise.”
Lire la suite
Introduction

corée du sud petite carte
La Corée du Sud est un partenaire politique et économique majeur de la France en Asie. Les relations entre nos deux pays sont marquées par une confiance scellée depuis la guerre de Corée et l’engagement des soldats français aux côtés des Sud-Coréens, au sein du Commandement des Nations-Unies.
La France avait fourni un contingent de plus de 3400 hommes, dont près de 300 périrent au combat. Le dialogue politique entre les deux pays, qui entre dans le cadre d’un partenariat qualifié de global en 2004, est soutenu et de qualité. Il est caractérisé par une intensification du rythme des visites bilatérales de haut niveau ces dernières années et une concertation étroite sur les enjeux globaux et les questions internationales (non-prolifération, Nations Unies, G20, situation de la péninsule coréenne….).
La Corée du Sud est le quatrième partenaire commercial de la France en Asie.
Site Internet de l’Ambassade de France en Corée
Entrée / Séjour
Visa
Pour un court séjour (tourisme, voyage à but non lucratif), d’une durée inférieure à 90 jours, aucun visa n’est nécessaire, mais un passeport valide au moins six mois après la date du retour est requis.
Pour de plus amples informations et pour tous les autres types de visas prendre l’attache de l’Ambassade de Corée à Paris (sur le site de la Maison des Français de l’étranger).
Dernière mise à jour le: 9 juillet 2013 - Information toujours valide le: 21 mars 2014
- Sécurité
- Transports
- Entrée / Séjour
- Santé
- Infos utiles
Sécurité
Ariane pour votre sécurité, restez connecté. Inscrivez-vous.
Les Français résidant ou voyageant en Corée sont invités à se tenir régulièrement informés des éventuels développements de la situation dans la région.
Lors de leurs déplacements, les voyageurs sont invités à faire preuve en Corée du sud de la même vigilance que dans leur pays d’origine.
Les typhons
La Corée du Sud connaît un risque de typhons de juillet à fin septembre. La partie sud du pays est la plus exposée, la capitale ne subissant en général que de fortes précipitations et des bourrasques.
Conduite à tenir
- La Corée du Sud étant un pays très montagneux, le premier risque est lié aux fortes pluies qui causent crues subites, glissements de terrain, chutes de pierres et coulées de boue sur les routes. Il est recommandé d’être prudent, voire d’éviter de conduire dans les régions touchées. Les crues et les inondations en plaine sont fréquentes : éviter les locaux en sous-sol dans les zones inondables. Rentrer tous les matériels susceptibles d’être emportés par le vent ou détériorés par la pluie.
- Ne pas toucher aux câbles électriques ou téléphoniques tombés à terre.
- Ne pas sortir en mer, ni rester sur un bateau. Il est également conseillé d’éviter les bords de mer, à pied comme en voiture.
- Se tenir informé de la situation et des prescriptions auprès des autorités locales.
Les médias annoncent la venue des typhons plusieurs jours à l’avance :
- Radio de l’armée américaine AFKN Korea : Séoul : 102.7 MHZ, Province : 88.5 ou 88.3 Mhz.
- Télévision : bulletin d’information de la chaîne de l’armée américaine AFKN Korea.
- Internet : http://www.weather.co.kr

corée du sud grande carte
Transports
Pendant la mousson d’été, les typhons que subit chaque année la péninsule coréenne provoquent souvent de graves inondations.
Infrastructure routière
Réseau autoroutier étendu et de bonne qualité, interdit toutefois aux monocycles. Réseau secondaire de qualité parfois médiocre du fait des conditions climatiques.
Circulation difficile dans les grandes villes comme Séoul ou Pusan (trafic important, absence de noms de rues et de numéros d’immeubles, rareté des panneaux signalétiques en anglais en dehors des agglomérations importantes).
Il existe deux catégories de taxis :
- les taxis de luxe (noirs) seuls habilités à délivrer un reçu;
- les taxis ordinaires qui peuvent prendre, au cours d’une course, un autre passager allant dans la même direction.
En cas d’accident, l’étranger est souvent considéré comme responsable. En cas d’accrochage, il est d’usage de régler immédiatement le coût estimé de la réparation. Si l’accident est plus sérieux, mieux vaut laisser sa carte de visite afin que l’affaire soit traitée directement par un collaborateur ou un proche coréen. Même si l’accrochage est bénin, ne pas s’arrêter est considéré comme un délit de fuite et peut donner lieu à des poursuites pénales, voire à une incarcération assortie ou non d’un sursis. Pour l’établissement d’un constat à l’amiable, solliciter l’assistance de la police locale (en cas de problème sérieux, celle de l’ambassade) et ne jamais signer un document en coréen non accompagné d’une traduction certifiée conforme.
La prise des empreintes digitales par les services de police est une procédure extrêmement courante en Corée en cas d’interpellation, notamment en cas d’accident de la circulation s’il y a dommages corporels. Il convient de ne pas s’y soustraire.
Un permis coréen ou international est indispensable pour conduire un véhicule motorisé en Corée.
Réseau ferroviaire
La mise en service en 2004 d’un réseau de trains à grande vitesse (KTX) entre les principales villes du pays permet des déplacements rapides à l’intérieur de la Corée. Toutefois les lignes qui ne sont pas desservies par le KTX sont lentes. Les trains sont confortables, ponctuels, et assurent avec fiabilité les liaisons entre les villes du pays.
Santé
Avant le départ
Demandez conseil à votre médecin (éventuellement votre dentiste) et souscrivez à une compagnie d’assistance couvrant les frais médicaux et le rapatriement sanitaire.
Par précaution, il est recommandé de repérer l’assistance médicale la plus proche (médecin d’hôtel ou hôpital, numéro d’urgence). Attention, en Corée les médecins ne parlent pas couramment l’anglais. On trouve des médecins anglophones dans quelques grands hôpitaux dotés de services internationaux, situés essentiellement à Séoul, et dans quelques autres grandes villes du pays (voir rubrique “Numéros utiles”).
Grippe A/H1N1
La Corée fait partie des pays qui ont connu une épidémie de grippe A. Il est recommandé de se tenir informé de l’évolution de la situation et des mesures de prévention à respecter, en consultant notamment le site suivant :
Epidémie de grippe aviaire
La Corée du sud a été touchée par l’épizootie de grippe aviaire à plusieurs reprises ces dernières années . Il est recommandé aux voyageurs souhaitant se rendre dans ce pays de consulter l’encart“grippe aviaire”figurant sur ce site. La Direction Générale de la Santé recommande aux voyageurs d’éviter tout contact avec les volailles et les oiseaux, c’est-à-dire de ne pas se rendre dans des élevages ni sur les marchés aux volatiles. Les recommandations générales d’hygiène lors des voyages dans les pays en développement, qui visent à se protéger des infections microbiennes, sont préconisées.
Paludisme
Il n’est pas nécessaire de prendre des médicaments en prévention du paludisme pour séjourner en Corée. Il existe toutefois des zones à risque au nord du pays : zones rurales dans la partie nord des provinces de Gyeonggi et Gangwon, y compris la zone démilitarisée (DMZ). Vous devez consulter votre médecin sur la meilleure prévention adaptée à votre situation. Les mesures de prévention contre les piqûres de moustiques, notamment de mai à septembre, sont recommandées. Elles incluent la restriction des sorties le soir et la nuit dans les zones à risque, le port de vêtements longs, les répulsifs. En cas de symptômes tels que fièvres, céphalées, frissons, sueurs, douleurs généralisées, nausées, vomissements, fatigue, notamment après un séjour dans une zone à risque, consulter un médecin.
Vaccinations
Consultez le calendrier vaccinal recommandé par le ministère de la Santé, notamment sur le sitewww.pasteur.fret demandez conseil à votre médecin.
Grippe saisonnière et la grippe A/H1N1 : consultez votre médecin et les recommandations en ligne (http://www.pasteur.fr/ip/easysite/go/03b-000027-02v/vaccinations-internationales-medecine-des-voyages,www.who.intnotamment).
Encéphalite japonaise (cf. recommandations surwww.pasteur.fr) : cas rares et sporadiques, généralement dans les zones rurales (rizières) et principalement de mai à octobre. Cette vaccination est incluse dans le calendrier vaccinal officiel en Corée. La recommandation de la vaccination dépend de la durée et du lieu de séjour (personnes vivant dans les campagnes, avec des activités en extérieur). La prévention contre les piqûres de moustiques reste une mesure essentielle, même après la vaccination.
Hygiène alimentaire
Il est préférable de consommer de l’eau en bouteilles capsulées ou de filtrer/bouillir l’eau du robinet. Veillez à un lavage régulier et soigneux des mains avant chaque repas.
Quelques règles simples
- Veillez à votre sécurité routière (port de la ceinture de sécurité en automobile ou du casque en moto).
- Emportez dans vos bagages en quantité suffisante les médicaments que vous prenez couramment et les médicaments dont vous pourriez avoir besoin.
Pour une liste complète, consulter le site de l’ambassade de France en Corée.
Pour de plus amples renseignements, consultez les sites Internet suivants :
Infos utiles
Avertissement
L’usage et le trafic de drogue, sous toutes leurs formes, sont strictement interdits. Le consommateur, qui est systématiquement placé en détention provisoire, encourt une peine pouvant aller jusqu’à 5 ans d’emprisonnement. Quant au trafiquant, il risque une peine d’emprisonnement à perpétuité. Lorsque le délinquant est d’origine étrangère, la sanction pénale est, le plus souvent, suivie d’une mesure d’expulsion.
Législation locale
La conduite en état d’ivresse est sévèrement réprimée (le permis peut être retiré et, si l’accident est grave, il peut y avoir une peine de prison).
La prostitution est illégale. En principe, tout contrevenant étranger s’expose à une peine d’emprisonnement ou à une amende et à voir son nom publié dans la presse et communiqué à son employeur.
Coût de la vie
De nombreux touristes se laissent surprendre par le coût particulièrement élevé de la vie en Corée. Il convient de se munir de ressources suffisantes pour la durée prévue du voyage (notamment pour le transport et l’hébergement).
Représentations françaises
43-12, Seosomun-ro, Seodaemun-guSéoul120-030
(+82) (2) 3149 4300
consulat@ambafrance-kr.orgNuméro d’urgence (24h/24)
+82 2 363 34 44
http://www.ambafrance-kr.org/
Représentations diplomatiques et consulaires en France
Fonctions consulaires assurées par l’Ambassade
125, rue de Grenelle 75007 Paris
01.47.53.01.01
gen-fr@mofat.go.kr
http://fra.mofat.go.kr/languages/eu/fra/main/index.jsp
Contacts utiles
- Police locale : 112
- Pompiers et ambulances : 119
Continue Reading »
-
By top visas
-
April 9, 2014
-
Documents Administratifs
Ci-dessous vous trouverez les documents nécessaires à l’obtention de votre visa pour Hong Kong*. Veuillez les renseigner et nous les renvoyer par mail à top-visas.com ou par le biais du formulaire de droite.
*A nous retourner remplis dans les plus brefs délais
L’essentiel
Langue
Chinois (cantonais et mandarin) et anglais
Devise
Le dollar de Hong Kong (HK$) est divisé en 100 cents.
Décalage horaire
Il y a 7 heures de plus à Hong Kong qu’à Paris en hiver et 6 heures en été. Le décalage avec Montréal est de 13 heures en hiver et de 12 heures en été.
Adresses et numéros utiles
Ambassade de France en Chine
3, San Li Tun Dongsanjie – Chaoyang District, 100600 Pékin – tél. +86 (10) 85 31 20 00 ; fax. +86 (10) 85 31 20 20 ; www.ambafrance-cn.org
Consulat général de France à Hong Kong
18 Harcourt Road – 26th floor, Tower II, Admiralty Centre, Admiralty GPO Box 13 Hong Kong – tél. +852 37 52 99 00 ; fax. +852 37 52 99 01 ; www.consulfrance-hongkong.org
Ambassade de Chine en France
11, avenue George-V, 75008 Paris – tél. +33 (0)1 49 52 19 50 ; fax. +33 (0)1 47 20 24 22 ; www.amb-chine.fr
Electricité
Le courant fonctionne en 220 V/50 Hz. Il existe 5 types de prises : à 2 fiches rondes, à 2 fiches plates, à 3 fiches plates en angle, à 3 fiches rondes et à 3 fiches rectangulaires. Il est très facile de trouver des adaptateurs à Hong Kong.
Téléphone
+ 852
Santé
Aucune vaccination n’est obligatoire et les infrastructures sanitaires sont d’excellente qualité à Hong Kong. Il est toutefois conseillé d’être à jour du vaccin diphtérie-tétanos-poliomyélite ainsi que des vaccins contre les hépatites A et B.
Introduction
Un voyage à Hong Kong interpelle, sans toujours apporter de réponses. Comment des hôtels cinq étoiles et d’immenses gratte-ciel peuvent-ils cohabiter avec des immeubles décrépits dignes du tiers-monde ? Quelle est la destination de toutes ces embarcations ? Comment sept millions de personnes tiennent-elles sur ce minuscule bout de terre ? Et comment choisissent-elles parmi les 10 000 restaurants de la ville ? Chemin faisant, vous voici au bord de l’eau, face à l’île de Hong Kong.
Sitôt quitté le calme et la fraîcheur d’un hôtel de Kowloon, on est happé par la chaleur et la frénésie des rues bondées.
Une fois passée cette vague de sensations, une seule solution : dans cette ville d’affaires, d’opportunités et aussi d’entourloupes, le mieux est de nager dans le sens du courant. Vous apprendrez vite que « Hong Kong la dynamique » est à la mesure de qui sait saisir les occasions à bras-le-corps, goûter à l’invraisemblable, consommer à l’envie. Cette destination comblera aussi les voyageurs prêts à visiter les temples et les villages fortifiés, ou à arpenter des plages battues par les vagues, loin des néons, de la foule et du bitume. Hong Kong est enivrante, spectaculaire, exotique mais accessible.
Suivez notre guide issus du Lonely Planet En quelques jours Hong Kong, afin de bien préparer votre visite d’une des villes les plus fascinantes d’Asie.
En savoir plus sur http://www.lonelyplanet.fr/destinations/asie/chine/hong-kong#RtVpSX5TeVOuQjAr.99
Continue Reading »
Documents Administratifs
Ci-dessous vous trouverez les documents nécessaires à l’obtention de votre visa pour l’Inde*. Veuillez les renseigner et nous les renvoyer par mail à top-visas.com ou par le biais du formulaire de droite.
* A nous retourner remplis dans les plus brefs délais
L’essentiel
Capitale
New Delhi
Langue
hindi et anglais ; 22 langues “constitutionnelles” et 1 600 dialectes et langues mineures
Devise
La roupie indienne (INR)
Décalage horaire
GMT/UTC + 5 heures 30
Électricité
230-240 V, 50 Hz
Téléphone
+ 91
Santé
Il n’existe pas de vaccin obligatoire pour les voyageurs en Inde, sauf pour les voyageurs en provenance de zones infectées par la fièvre jaune. Vérifiez que vous êtes à jour dans vos vaccinations contre la diphtérie, la poliomyélite et le tétanos. Les vaccinations contre les maladies suivantes sont recommandées : hépatite A, typhoïde (conditions d’hygiène précaires), hépatite B (séjours longs ou répétés), encéphalite japonaise (séjours prolongés en zone rurale), rage (circuits aventureux loin des grandes villes), méningite (à envisager). On a signalé une recrudescence des cas de dengue dans la région de Delhi, et dans une moindre mesure à Pondichéry. Le risque de paludisme est faible dans les grandes villes. Il est plus fort dans les zones rurales. La plupart des grandes agglomérations sont terriblement polluées : si vous souffrez d’insuffisance respiratoire, prenez des précautions. L’eau du robinet n’est pas potable.
En savoir plus sur http://www.lonelyplanet.fr/destinations/asie/inde/inde/lessentiel#bj0YJSorsxpcQPDz.99
Entrée / Séjour
Visa
RAPPEL : Les Français sont soumis au visa pour séjourner en Inde. Les personnes arrivant sans visa en cours de validité sont refoulées par les autorités indiennes.
Les étrangers doivent remplir les conditions pour lesquelles un type de visa leur a été attribué. Tout étranger arrivant sous couvert d’un visa « touriste » valable pour une période de six mois maximum est dispensé de s’enregistrer auprès des services de l’immigration. Aucun visa « touriste » ne peut être prorogé. Il est également impossible de modifier sur place tout autre type de visa (travail, étude, affaires, etc). En fonction de la nature du visa sollicité, la date d’expiration du passeport doit être postérieure d’au moins 3 ou 6 mois à la date de fin de validité du visa.
Depuis le 4 décembre 2012, seuls les étrangers ressortissants d’Afghanistan, de Chine, d’Iran, du Pakistan, d’Irak, du Soudan, du Bangladesh et les étrangers originaires du Pakistan ou du Bangladesh (quelle que soit leur nationalité), titulaires d’un visa « touriste » dont la durée de séjour est de 90 ou 180 jours et à entrées multiples, doivent respecter un délai d’au moins deux mois entre deux séjours en Inde.
Dans le cas où ces ressortissants souhaitent revenir dans le pays pendant ce délai de deux mois, ils doivent demander l’autorisation à la mission diplomatique indienne compétente, en spécifiant les raisons pour une nouvelle visite après une brève période. Dans ce cas, l’enregistrement auprès des services d’immigration (FRRO : Foreigners Regional Registration Office) est obligatoire dans les 14 jours suivant l’arrivée.
Cette réglementation s’applique aux étrangers titulaires d’un visa « touriste » qui, après être arrivés en Inde, sont sortis du pays, principalement pour faire un voyage touristique dans les pays limitrophes suivants uniquement : Bhoutan, Népal, Sri-Lanka et Bangladesh, et reviennent en Inde dans un délai de deux mois avant de quitter définitivement le pays. Toutefois, les missions diplomatiques indiennes à l’étranger ainsi que les autorités d’immigration de tous les points d’entrée ont la possibilité d’autoriser ces ressortissants étrangers titulaires d’un visa « touriste » à faire deux ou trois retours dans le pays (Inde) si cela est nécessaire en fonction de leur itinéraire, qu’ils devront présenter accompagné des documents requis (réservations d’avion) et s’ils reviennent des pays suivants uniquement : Bhoutan, Népal, Sri-Lanka et Bangladesh.
La durée totale de séjour ne peut dépasser, selon la durée de séjour indiquée sur le visa, 90 ou 180 jours.
Un étranger qui aura finalement quitté le pays après avoir bénéficié de la facilité de deux ou trois retours ne pourra revenir en Inde qu’après un délai de deux mois après son dernier départ. Il pourra obtenir une autorisation spéciale de la mission diplomatique indienne compétente uniquement en cas de situation imprévue telle que décès/maladie grave dans la famille, absence de possibilité de vol aérien pour rentrer dans son pays d’origine ou pour se rendre dans un autre pays ou toute autre situation impérieuse qui devra être dûment justifiée auprès de la mission diplomatique devant donner l’autorisation.
Le demandeur devra justifier :
- que le but de sa visite découle d’une situation d’urgence ;
- qu’il n’est pas engagé dans des activités commerciales, ni employé et qu’il ne poursuit pas des études ou des recherches ;
L’étranger devra s’enregistrer auprès du FRRO compétent dans les 14 jours suivant son arrivée dans le pays, de préférence au lieu de première entrée. Un cachet sera apposé sur son visa.
- Si un ressortissant étranger dépose fréquemment des demandes de visa « touriste », c’est-à-dire moins d’un mois après l’expiration de son visa précédent, les missions diplomatiques indiennes devront signaler le cas à la division des étrangers du ministère de l’Intérieur afin d’obtenir l’autorisation de délivrer un nouveau visa « touriste ».
Documents requis pour l’enregistrement des étrangers titulaires d’un visa « touriste » :
- formulaire d’enregistrement rempli en triple exemplaire (à se procurer dans les bureaux du FRRO et sur le site internet www.immigrationindia.nic.in) ;
- copie du passeport, du visa, du cachet d’arrivée des services d’immigration sur le passeport ;
- trois photographies d’identité récentes format passeport et preuve de résidence (copie d’un bail valide et notarié ou copie d’un formulaire C d’un hôtel ou copie d’une facture d’électricité ou de téléphone récente accompagnée d’une lettre du propriétaire).
Permis spéciaux
L’accès à certaines zones du territoire indien (Arunachal Pradesh, Sikkim, frontières du Cachemire, du Rajasthan, de l’Himachal Pradesh et de l’Uttarakhand) nécessite l’obtention de permis spéciaux. Les demandes pour ces permis se font auprès des services consulaires de l’Ambassade de l’Inde à Paris. Une fois en Inde, l’obtention de ce document est très difficile (délai de 6 semaines minimum, présentation de nombreux justificatifs). Dans ce dernier cas, les demandes de permis spéciaux sont à adresser au Ministère de l’Intérieur indien (Ministry of Home Affairs – Foreigners Division, Jaisalmer House, Mansing Road, New Delhi – Tél. : +91 23 38 13 74).
Nouvelle réglementation en matière d’importation d’animaux
La nouvelle réglementation indienne relative à l’importation d’animaux domestiques a connu des modifications fondamentales ces derniers mois. Pour plus d’informations, consulter le site de l’ambassade de France en Inde.
En cas de perte ou de vol du passeport
En cas de perte ou de vol du passeport, il est impératif de se faire délivrer un visa de sortie. La démarche à suivre compte trois temps. Premièrement, il est nécessaire d’obtenir une déclaration de perte auprès de la police locale. Deuxièmement, il importe de se faire délivrer un passeport d’urgence au consulat. Troisièmement, il convient de s’adresser au Foreigners Regional Registration Office (FRRO) du lieu d’entrée en Inde, soit :
- pour New Delhi :
East Block 8 – Sector I – R.K. Puram Near Hyatt Regency
Tél. : +91 11 26 71 10 74 +91 11 26 71 10 74 +91 11 26 71 10 74 +91 11 26 71 10 74 / +91 11 26 71 13 48 +91 11 26 71 13 48+91 11 26 71 13 48 +91 11 26 71 13 48
- pour Bombay/Mumbai :
FROO-CID SBII6 Immigration (annexe), behind St.Xavier’s College
Tél. : +91 22 22 62 11 69 +91 22 22 62 11 69 +91 22 22 62 11 69 +91 22 22 62 11 69 ou 22 62 04 46 ou 22 62 04 55
- pour Madras/Chennai :
Bureau of Immigration, Sastry Baven, Haddows Road, Nungampakam, Chennai (Madras)
Tél : +91 44 2827 82 10 +91 44 2827 82 10 +91 44 2827 82 10 +91 44 2827 82 10
- pour Pondichéry, antenne régionale du bureau de l’immigration :
Regional Registration Office, Housing Board Building, Anna Nagar – Nellitope, Pondicherry
Tél. / fax : +91 41 32 20 16 05
De façon générale, il est fortement recommandé de toujours conserver avec soi une photocopie de son passeport et de son visa : en cas de perte ou de vol de l’original, les démarches seront considérablement facilitées.
2/50-E Shantipath – ChanakyapuriNew Delhi
+91 (11) 24 19 61 00 +91 (11) 24 19 61 00 +91 (11) 24 19 61 00 +91 (11) 24 19 61 00
http://ambafrance-in.org/-Ambassade-de-France-a-New-Delhi-
Représentations diplomatiques et consulaires en France
15, rue Alfred Dehodencq 75016 Paris
01.40.50.70.7001.40.50.70.70
http://www.ambinde.fr/
Contacts utiles
Hôpitaux
A New Delhi :
- Care Clinic & Laboratory : +91 11 23 58 78 41 +91 11 23 58 78 41 +91 11 23 58 78 41 +91 11 23 58 78 41
- Max Devki Devi Hospital : +91 11 2651 5050 +91 11 2651 5050 +91 11 2651 5050 +91 11 2651 5050 ou 2652 5555 (En cas d’urgence, ambulance 24h/24 de type SAMU : 105 111)
A Calcutta / Kolkata :
- Asia Rescue and Medical Services : +91 33 240 41 54 ou 229 29 22
- Woodlands Hospital : +91 33 456 70 75 à 89
A Bombay / Mumbai :
- Breach Candy Hospital : +91 22 363 36 51 ou 363 36 57 ou 363 45 84 ou 363 26 57
- Jasiok Hospital : +91 22 493 33 33 ou 493 95 95
A Pondichery / Pudducheri :
- Clinique Nallam (pour les urgences) : +91 413 37 23 80 ou 37 23 89
Autres villes :
- Sri Ramachandra Medical Center: +91 044 482 80 34 (standard), 482 84 02 (urgences)
- Madras Institute of Traumatology (traumatologie) : +91 044 232 44 95 ou 232 44 05 o
Continue Reading »
Documents Administratifs
Ci-dessous vous trouverez les documents nécessaires à l’obtention de votre visa pour l’Indonésie*. Veuillez les renseigner et nous les renvoyer par mail à top-visas.com ou par le biais du formulaire de droite.
*A nous retourner remplis dans les plus brefs délais
L’essentiel
Capitale
Jakarta
Langue
bahasa indonesia (la langue officielle) ; anglais, néerlandais ; javanais, sundanais, balinais, minang, bugis (400 langues et dialectes)
Devise
Monnaie en Indonésie
L’unité monétaire de l’Indonésie est la rupiah, ou roupie indonésienne, abrégée Rp. Des pièces de 50, 100, 200, 500 et 1 000 Rp sont en circulation. Les billets sont de 500, 2 000, 5 000, 10 000, 20 000, 50 000 et 100 000 Rp. Pour moins de 50 Rp, la monnaie est parfois rendue en bonbons.
Décalage horaire
L’Indonésie couvre trois fuseaux horaires. Sumatra, Java, Kalimantan ouest et centre (fuseau ouest) sont à GMT/UTC + 7 ; Bali, Nusa Tenggara, Kalimantan est et sud et Sulawesi (fuseau central) sont à GMT/UTC + 8 ; Papouasie et Moluques à GMT/UTC + 9
Electricité
Presque toujours 220 V, 50 cycles AC, mais certains endroits utilisent encore du 110 V. Les prises sont les mêmes qu’en France. Beaucoup d’hôtels n’ont pas de prises de terre, et les coupures ne sont pas rares dans les zones rurales. Par ailleurs, l’éclairage nocturne laissant beaucoup à désirer, une lampe de poche vous évitera d’atterrir dans un égout.
Téléphone
+ 62
Brève
Indonésie – Dialogue stratégique franco-indonésien (Paris, 25 janvier 2014)
Ce dialogue au niveau des ministres des Affaires étrangères s’inscrit dans le partenariat stratégique entre la France et l’Indonésie. Il manifeste la volonté de la France et de l’Indonésie d’intensifier la relation entre les deux pays, fondée sur un attachement commun aux valeurs démocratiques, aux droits de l’Homme et à la tolérance.
Lire la suite
Introduction

4e pays le plus peuplé du monde, premier pays musulman par la population, jeune démocratie située sur des détroits stratégiques pour le commerce mondial, l’Indonésie est un partenaire impor¬tant pour la France en Asie.
Avec l’établissement d’un partenariat stratégique en 2011, nos relations sont appelées à se renforcer à la faveur de l’évolution de l’Indonésie, pays émergent et qui s’implique dans les questions mondiales (changement climatique, participation au G20).
Site de l’ambassade en Indonésie
Dernière minute
Activité volcanique
Kelud
Le volcan Kelud situé dans l’est de Java, à proximité de la ville de Blitar (230 km à l’est de Yogyakarta et à 100 km au sud-est de Surabaya), est entré en éruption dans la nuit du 13 au 14 février 2014. Cette éruption a provoqué une importante colonne de cendres volcaniques dispersées par les vents sur une partie des provinces de Java Est et de Java centre.
Les autorités indonésiennes ont décrété une zone d’interdiction de 15 km autour du volcan. Il est recommandé d’éviter la zone aux abords du volcan et de se conformer strictement aux instructions des autorités locales.
Sinabung
Le volcan Sinabung situé au nord de l’île de Sumatra à environ 60 km au sud de la ville de Medan est entré en éruption depuis plusieurs semaines. Un regain d’activité depuis le 24 novembre a conduit les autorités à élever le niveau d’alerte et à élargir le périmètre de sécurité.
L’activité volcanique a eu pour conséquence la production de hautes colonnes de cendres volcaniques et la projection de pierres jusqu’à 4 km du volcan. Les autorités indonésiennes ont décrété une zone d’interdiction de 5 km autour du volcan et 15000 personnes ont déjà été évacuées dans les districts de Simacem, Bekerah Mardinding et Suka Meriah.
Il est recommandé d’éviter la zone aux abords du volcan et de se conformer strictement aux instructions des autorités locales.
Violences dans la province de Papouasie
En raison d’une recrudescence d’actes de violence dans la province de Papouasie, notamment dans les environs de la capitale provinciale Jayapura et dans la zone montagneuse du Puncak Jaya, une grande vigilance est à observer et les déplacements sont déconseillés sauf raison impérative.
Entrée / Séjour
Visas touristiques
Un visa d’entrée en Indonésie est exigé de tous les ressortissants français (et de nombreuses autres nationalités). Ces visas sont délivrés par les ambassades ou consulats d’Indonésie à l’étranger pour un séjour maximal autorisé de 60 jours (ambassade d’Indonésie à Paris ou consulat général d’Indonésie à Marseille).
Les ressortissants d’un certain nombre de pays, dont la France, bénéficient de la facilité d’obtention d’un visa lors de l’arrivée en Indonésie, limitée cependant à certains points d’entrée.Les visas délivrés à l’arrivée sont limités à 30 jours et sont renouvelables une fois, à condition d’avoir au moins une page libre dans le passeport.
Cette facilité n’est pas offerte aux détenteurs de passeports d’urgence, qui doivent obligatoirement obtenir un visa avant leur arrivée dans le pays.
Il est à noter que la taxe d’aéroport au départ d’Indonésie (150 000 rupiahs) n’est pas incluse dans le prix du billet, et qu’il faut s’acquitter de cette somme lors de l’enregistrement au guichet de la compagnie aérienne.
Points d’entrée permettant l’obtention de visas à l’arrivée
Aéroports : aéroport Soekarno-Hatta de Jakarta, aéroport Halim Perdana Kusuma de Jakarta, aéroport Ngurah Rai de Bali, aéroport Polonia de Medan, aéroport Sam Ratulangi de Manado, aéroport Tabing de Padang, aéroport Juanda de Surabaya, aéroport Adisucipto de Yogyakarta, aéroport Adisumarno de Surakarta, aéroport Selaparang de Mataram, aéroport Sepinggan de Balikpapan, aéroport Hasanuddin de Makassar et aéroport Eltari de Kupang.
Ports: port de Batam, port Belawan de Medan, port Tanjung Priok de Jakarta, port Tanjung Perak de Surabaya, port Benoa de Bali, port Sibolga (nord Sumatra), port Jayapura (Papouasie), port Teluk Bayur de Padang, port Bitung, port Tanjung Balaikarimum, port Tanjung Mas de Semarang, Port Tenau de Kupang, port Pare-Pare et port Soekarno-Hatta de Makassar.
Le coût de ce visa à l’arrivée en Indonésie s’élève à 25 USD pour un visa de 30 jours. Il est recommandé d’avoir l’appoint avec soi (en USD) pour éviter un taux de change défavorable ou que la monnaie ne vous soit pas rendue.
Il est rappelé que les autorités indonésiennes exigent que la date d’expiration du passeport soit supérieure de 6 mois à compter de la date d’entrée en Indonésie, au risque dans le cas contraire de se voir refouler aux frontières. Les voyageurs devront également veiller à ce que leur passeport contienne suffisamment de pages vierges pour l’apposition du visa.
Tout étranger demeurant en Indonésie après l’expiration de son visa est passible d’une amende de 200 000 rupiahs (environ 20 USD) par jour (’’overstay’’) pendant les 60 premiers jours de dépassement de visa. Au-delà de ces 60 jours, l’amende maximale est de 500 millions de rupiahs (environ 52 590 USD). Les services de l’immigration sont très vigilants, notamment dans les aéroports au moment de l’embarquement, et cette mesure ne connaît pas d’exception. Un étranger en situation de dépassement de séjour ne sera pas autorisé à quitter le pays s’il n’a pas acquitté le montant de l’amende et pourra même encourir une peine d’emprisonnement s’il n’est pas en mesure de régulariser rapidement sa situation.
S’agissant de laPapouasie(où les voyages restent déconseillés sauf raison impérative), une autorisation doit être sollicitée auprès du ministère indonésien des affaires étrangères à Jakarta. Ces autorisations sont délivrées au cas par cas, en fonction de la nature du voyage.
Hébergement des étrangers
La loi indonésienne fait obligation aux personnes qui hébergent des étrangers de le signaler dans les 24 heures à la police locale ou au chef de quartier (RT), sous peine d’amende ou d’emprisonnement. Il convient donc de se mettre en conformité avec la loi lorsqu’un représentant de la police ou un chef de quartier se manifeste sur votre lieu de séjour (maison louée), en déclinant votre identité et en leur fournissant une photocopie de votre passeport et de votre visa. En cas de non conformité à cette loi, et dans certains cas, des policiers ou des chefs de quartier prétendent imposer sur le champ le payement d’une amende de plusieurs millions de rupiahs (plusieurs centaines d’euros). Tout paiement doit faire l’objet d’un reçu écrit, au poste de police, mentionnant le nom des officiers de police qui ont perçu les sommes versées.
Sécurité
Ariane pour votre sécurité, restez connecté. Inscrivez-vous.
L’Indonésie est de façon générale un pays sûr dans lequel on peut voyager sans difficultés (7 millions de touristes par an), à condition de faire preuve de vigilance (voir ci-dessous). Les voyageurs doivent en particulier éviter les rassemblements de foules.
Zones déconseillées
Il est rappelé que les voyages sont déconseillés dans plusieurs régions de ce pays : Papouasie (provinces de Papua et Papua Barat), province de Sulawesi Centre (Célèbes centre) et la province des Moluques, en particulier la ville et l’île d’Ambon.
Papouasie: Une recrudescence d’actes de violence a été constatée en Papouasie, où une quinzaine de décès est à déplorer depuis la fin avril 2012, notamment le meurtre de 8 militaires et de 4 civils en février 2013 dans la région de Puncak Jaya. Les environs de la capitale provinciale Jayapura sont désormais également concernés (attaque armée contre un touriste européen en mai 2012), alors qu’ils étaient jusqu’à présent totalement épargnés. La province de Papua Barat, jusque là plutôt épargnée, connaît désormais également des incidents violents (trois morts à la suite de heurts entre manifestants et police en mai 2013 à Sorong).
Une grande vigilance est à observer dans toute la province de Papouasie (Papua) et les déplacements non indispensables sont à éviter.
Célèbes: La région de Poso, au centre de l’île de Célèbes (Sulawesi) a été, durant l’année 2012, le théâtre d’activités de petits groupes terroristes ciblant avant tout les services de police. Ces groupes ont été démantelés par les autorités, mais pas complètement éradiqués. Les déplacements non indispensables restent donc déconseillés.
Les îles au nord de Célèbes (Sulawesi) étant réputées zone de transit pour des extrémistes musulmans en provenance des Philippines, des risques de banditisme (prises d’otages) ne peuvent être exclus.
Moluques: La province des Moluques et particulièrement la ville et l’île d’Ambon ont connu des violences religieuses importantes entre 1999 et 2002. En septembre 2011, des incidents ont causé la mort de 8 personnes et la destruction d’une centaine de maisons. La situation reste tendue entre communautés religieuses et peut potentiellement dégénérer en affrontements.
Situation sécuritaire à Aceh
Dans la province d’Aceh, le conflit qui a opposé le mouvement indépendantiste GAM et l’Etat indonésien a été réglé politiquement en 2005, même si des violences ont encore eu lieu en 2009. La situation est maintenant calme et les dernières élections provinciales d’avril 2012 se sont déroulées sans incident majeur. Il faut, cependant, rappeler que la province d’Aceh applique la charia (loi islamique). Même si la police religieuse ne contrôle que très rarement les étrangers non musulmans, il est fortement recommandé de porter une tenue correcte afin de se conforter aux us et coutumes locales : pour les femmes, éviter de porter des vêtements décolletés. Il est en outre souhaitable d’avoir, dans la mesure du possible, les bras et les jambes couverts. Par ailleurs, il est conseillé d’éviter la route côtière au nord de la province d’Aceh entre les villes de Sigli et de Langsa où des cas d’incivilités contre les étrangers ont été rapportés.
Terrorisme
Les attentats à la bombe perpétrés à Jakarta le 9 septembre 2004, Bali le 1er octobre 2005 et à nouveau Jakarta le 17 juillet 2009 viennent rappeler que les lieux fréquentés par les ressortissants étrangers peuvent constituer des cibles privilégiées pour des groupes terroristes. Il est donc vivement recommandé aux Français résidents ou de passage en Indonésie de faire preuve de vigilance lorsqu’ils se trouvent dans des lieux publics, centres commerciaux, hôtels internationaux, discothèques, bars ou restaurants habituellement fréquentés par des étrangers. Les ressortissants français sont également invités à se prêter aux mesures de sécurité mises en place dans les lieux publics. Les Français participant à des réunions organisées par les milieux d’affaires sont invités à faire preuve de discrétion (éviter d’afficher dans un lobby d’hôtel l’objet d’une réunion, par exemple) et à éviter les routines (éviter les réunions hebdomadaires au même endroit et au même horaire).
Avertissement concernant la drogue
Les autorités indonésiennes appliquent très strictement une réglementation elle-même très sévère.
Consommation : plusieurs mois de prison ferme pour consommation de drogue. Plusieurs cas récents de ressortissants étrangers emprisonnés conduisent à rappeler que la loi indonésienne en matière de détention mais également de consommation de drogue est très sévère. L’attention des voyageurs est appelée sur le fait que la simple possession ou consommation de drogues, quelles que soient leur qualification (drogues « douces » ou « dures ») et leur quantité (dès 0,2 g) peut valoir la prison ferme pour plusieurs mois ou plus (jusqu’à quatre ans), ainsi qu’une très forte amende (plusieurs dizaines de milliers de dollars américains). Les contrôles de police sont effectués sur la voie publique, à la sortie des bars et boîtes de nuit, mais également, en cas de dénonciation, au lieu de résidence des personnes suspectées.
Aucune tolérance n’est observée, alors même que l’apparente facilité à se procurer de la drogue dans les lieux les plus touristiques (en particulier à Bali) pourrait faire croire à une certaine permissivité des autorités. Nos compatriotes doivent faire preuve de la plus grande prudence et savoir que des manipulations sont possibles, débouchant sur l’extorsion de fonds.
Trafic : condamnations très lourdes, y compris à la peine de mort.
Plusieurs ressortissants occidentaux, dont un de nos compatriotes, ont été condamnés à la peine capitale pour trafic de drogue. Deux autres Français sont actuellement détenus pour une lourde peine.
Criminalité de droit commun
Le niveau général de sécurité des personnes est plutôt satisfaisant en Indonésie. S’agissant des actes de petite délinquance, il est constaté, notamment à Jakarta et Bali, une augmentation sensible de leur nombre, notamment des vols “à la tire” ou à l’intérieur de locaux privés. Une vigilance accrue est donc conseillée. Pour les déplacements en taxi, il est recommandé de n’utiliser que des compagnies de bonne réputation, contactées par téléphone de préférence.
Des incidents récents, dont certains ont fini tragiquement, conduisent à inciter les voyageurs en solitaire à faire preuve d’une vigilance accrue. Ils doivent en particulier s’assurer du sérieux et des compétences des guides qu’ils seraient amenés à engager, notamment dans les endroits peu touristiques. Des vols avec agressions envers des motocyclistes ont également été signalés sur l’île de Lombok où il est conseillé de se déplacer par petits groupes. Par ailleurs il convient d’être prudent avant d’accepter des boissons proposées par des inconnus rencontrés dans les transports en commun. Ces boissons peuvent en effet être droguées pour endormir le voyageur qui se réveille dépouillé de ses biens. De nombreux cas récents d’escroquerie à la carte bancaire ayant été signalés, la plus grande prudence s’impose lors de leur utilisation.
De nombreux cas de vols de motos ont été signalés. Ces vols se produisant le plus souvent la nuit à l’hôtel, il est conseillé d’éviter de se faire livrer des motos sur son lieu d’hébergement et de privilégier la location de motos dans des centres spécialisés. En effet, en cas de vol, le propriétaire de la moto a coutume de se présenter à l’hôtel pour réclamer la valeur du véhicule neuf.
Les voyageurs sont invités à être vigilants dans les boîtes de nuit, notamment à Kuta (sur l’île de Bali), certaines d’entre elles étant le terrain d’action d’escrocs spécialisés dans l’extorsion de fonds, en particulier en provoquant des bagarres.
Avertissement concernant l’alcool
Plusieurs décès, qui ont touché des ressortissants indonésiens comme des ressortissants étrangers, ont été enregistrés récemment en Indonésie, et notamment sur les îles de Bali et Lombok, à la suite de consommation d’alcool frelaté fabriqué sur place (arak : alcool de riz ou de palme). La plus grande prudence est donc recommandée dans l’achat ou la consommation de boissons alcoolisées qui seraient distillées localement.
Accidents de baignade
Les accidents de ce type sont fréquents. Il existe de nombreuses baignades non surveillées en Indonésie, certaines sont très dangereuses. Il est toujours préférable de se renseigner avant de se baigner.
Dispositifs légaux relatifs aux délits sexuels
La législation indonésienne prévoit des sanctions importantes contre les auteurs de délits sexuels.
Elle punit d’une peine d’emprisonnement pouvant atteindre 12 ans tout individu qui use de violences ou menace d’user de violences à l’encontre d’une femme dans le but d’obtenir un rapport sexuel.
Tout acte de violence ou menace d’acte de violence en vue de provoquer des actes obscènes à l’encontre d’un mineur de moins de 18 ans en vue d’obtenir un rapport sexuel, soit en sa faveur, soit en faveur d’une tierce personne est passible d’une peine d’emprisonnement de 3 ans minimum jusqu’à 15 ans maximum.
Les mêmes peines sont applicables à toute personne qui fait usage de manoeuvres frauduleuses en vue de persuader, ou d’encourager un mineur à avoir des relations sexuelles avec elle ou toute autre personne.
La loi indonésienne réprime également, jusqu’à 7 ans d’emprisonnement, tout acte obscène à l’encontre d’un mineur de moins de 15 ans.
Par ailleurs, et conformément à l’article 113-6 du Code Pénal, la loi pénale française est applicable à tout crime commis par un français hors du territoire de la République. Les ressortissants français coupables d’une infraction sexuelle commise en Indonésie peuvent aussi être poursuivis en France en application de la loi 98-468 du 17 juin 1998 pour des faits constitutifs de délits à caractère sexuel, y compris si ceux-ci ne sont pas réprimés par la législation locale (articles 227-22 et suivants du Code pénal).
La France n’ayant pas de convention de transfèrement de prisonniers avec l’Indonésie, toute peine d’emprisonnement prononcée par les tribunaux indonésiens, si lourde soit-elle, sera purgée en totalité dans les établissements pénitentiaires de ce pays.
Piraterie maritime
Les eaux territoriales indonésiennes sont le théâtre d’actes de piraterie qui peuvent se produire dans les eaux intérieures comme dans les zones frontalières avec la Malaisie et les Philippines. Consultez également la fiche “Piraterie maritime”.
Risques de catastrophes naturelles
De nombreuses régions indonésiennes sont soumises régulièrement à des séismes, des éruptions volcaniques et des tsunamis.
Le tremblement de terre à l’origine du grand tsunami du 26 décembre 2004 a ainsi rappelé que l’ensemble de l’archipel connaît une importante activité sismique.
Des évènements de même type sont susceptibles de se produire à nouveau, l’Indonésie se trouvant située sur la « ceinture de feu du Pacifique ».
Lors de leurs déplacements dans le pays, les voyageurs sont invités à garder en mémoire les recommandations sur les risques et la conduite à tenir en cas de tremblement de terre ou de tsunami (cf. infra“sécurité-risques de catastrophes naturelles”). Il est recommandé de consulter la fiche “Séisme”.
Si un tremblement de terre se produisait lors d’un séjour touristique, il est recommandé à nos ressortissants de prendre immédiatement contact avec leurs familles ou leurs proches afin de les rassurer sur leur sort ou, le cas échéant, en cas de problème de communication avec l’extérieur, avec l’Ambassade de France.
Par ailleurs,de nombreux volcans indonésiens sont actifset peuvent entrer en éruption à tout moment. Il est nécessaire de se renseigner auprès des autorités locales du niveau d’activité des volcans et des éventuelles alertes avant d’entamer une excursion. Il convient alors de respecter les consignes des autorités locales, notamment s’agissant des zones interdites d’accès (exemple : zone autour des cratères).
Il est rappelé que des risques de glissements de terrain et d’inondations sérieuses sont fréquents pendant la saison des pluies. La plus grande prudence est alors conseillée pour tout déplacement en zone rurale.
Tsunami :“Que faire en cas de tsunami ?
- Beaucoup de tremblements de terre entrainent des tsunamis. Si vous apprenez qu’un tremblement de terre vient de se produire, soyez attentifs à un éventuel message d’alerte au tsunami.
- Un tremblement de terre dans la zone où vous vous trouvez peut être un avertissement de ce qu’un tsunami va se produire. Ne restez pas dans les zones proches de la côte si un tremblement de terre important vient d’avoir lieu.
- Les tsunamis sont parfois précédés par une baisse importante du niveau de la mer, qui se retire et découvre la plage sur une distance inhabituellement longue. Un grondement est parfois entendu avant que la vague n’atteigne le rivage.
- Un tsunami n’est pas une vague unique, mais une série de vagues qui peuvent venir du large pendant des heures. La première vague n’est pas toujours la plus importante. Restez hors de la zone dangereuse tant qu’un avis de retour à une situation normale n’a pas été émis par les autorités compétentes.
- Un petit tsunami en un point de la côte peut être extrêmement violent quelques kilomètres plus loin.
- Tous les avis d’alerte tsunami doivent être pris très au sérieux.
- Tous les tsunamis sont potentiellement dangereux, même si certains ne causent pas de dommage aux rivages qu’ils atteignent.
- Ne descendez jamais sur la plage pour observer un tsunami. Quand vous apercevez la vague, il est déjà trop tard pour lui échapper. La plupart des tsunamis sont comme des coulées pleines de débris. Les vagues de tsunamis ne roulent pas et ne cassent pas et il est vain d’espérer surfer dessus.
- Aucune partie de la côte n’est a priori certaine de ne jamais recevoir de tsunami. Si vous résidez dans une zone côtière, soyez prêts à réagir à un avis d’alerte tsunami.

Transports
Transport aérien
Une attention particulière doit être portée à la question de la sécurité des compagnies aériennes indonésiennes : Depuis juillet 2007, les compagnies du pays ont été incluses dans la liste des transporteurs aériens faisant l’objet d’une interdiction d’exploitation dans l’Union européenne ;
Il n’est pas certain que toutes les procédures de maintenance des avions de l’ensemble des compagnies aériennes intérieures indonésiennes soient scrupuleusement respectées. La navigation et le contrôle aériens souffrent en Indonésie de faiblesses structurelles.
Infrastructure routière
- Le réseau autoroutier, long de 700 km, ne concerne que l’île de Java. Les axes principaux et autoroutes sont surchargés mais leur état général est correct.
L’approvisionnement en carburant est satisfaisant malgré un nombre limité de points de distribution.
- Les accidents de la circulation sont fréquents, en ville et en zone rurale. Ils impliquent souvent des motocyclettes qui constituent un mode de transport à très fort risque. Les routes indonésiennes ne sont pas sûres (mauvais état de la voirie et de nombreux véhicules, présence fréquente de piétons, d’animaux, comportement parfois erratique des conducteurs, intempéries, notamment précipitations très violentes en saison des pluies, conduite à gauche) . La conduite de nuit, a fortiori à motocyclette, est déconseillée.
- La détention d’un permis de conduite international est nécessaire pour la location d’automobiles ou de motocyclettes. Rappel : le permis de conduire international s’obtient auprès de la préfecture en France avant le départ et non auprès des autorités consulaires françaises en Indonésie.
Réseau ferroviaire
- La densité du réseau ferroviaire est faible, se limitant à une liaison est-ouest sur l’île de Java et la traversée de quelques régions de Sumatra.
Transport maritime
- Il est rappelé aux personnes désireuses de naviguer dans les eaux indonésiennes quela piraterie maritime et d’autres types de délinquancepersistent dans certaines régions (notamment le détroit séparant l’Indonésie de Singapour, allant de l’archipel de Riau jusqu’aux îles des Natunas, la côte ouest de Sumatra ou la région des Moluques). Par ailleurs, toute activité maritime dans les eaux territoriales indonésiennes doit obtenir au préalable l’accord des autorités locales. Voir la fiche relative à lapiraterie maritime.
- Des naufragesfont régulièrement plusieurs dizaines de victimes, notamment dans l’Est de l’archipel indonésien (92 morts dans le naufrage d’un ferry en juin 2012 dans le district des Moluques Centre) ou lors de la traversée du détroit de la Sonde (8 morts en septembre 2012 dans la collision entre un tanker et un ferry) et rappellentles conditions de sécurité insuffisantes de ce mode de transports en Indonésie. Jointe à la vétusté de nombreux bâtiments, l’habitude de certaines compagnies d’accepter l’embarquement d’un nombre de passagers excédant la charge recommandée constitue un risque élevé. En cas d’accident, les passagers sont d’autant plus exposés que les conditions et dispositifs de sécurité du bord sont souvent défaillants (notamment insuffisance du nombre d’embarcations de secours et gilets de sauvetage).Il est recommandé dans la mesure du possible d’éviter ce mode de transport, en particulier pendant la saison des pluies et des tempêtes tropicales (janvier-mars).
Santé
Avant le départ
Consultez votre médecin (éventuellement votre dentiste) et souscrivez à une compagnie d’assistance couvrant les frais médicaux et de rapatriement sanitaire en veillant, le cas échéant, à être couvert également pour un séjour à l’étranger de plus de 90 jours.
Rage
Plusieurs dizaines de cas de rage sont rapportés, en particulier dans l’île de Bali. Selon les modalités et la durée du séjour, la vaccination contre la rage peut être recommandée. Il convient d’adopter une attitude prudente vis-à-vis des animaux (chiens, singes, animaux errants). Afin d’éviter tout risque de morsure, il est déconseillé de les approcher et de les caresser. En cas de morsure, il est impératif de laver soigneusement la zone de morsure (à l’eau et au savon) et de consulter un médecin sans tarder pour bénéficier, si nécessaire, de soins anti-rabiques appropriés.
Prévention des maladies transmises par les piqûres d’insectes
- Paludisme (malaria): maladie parasitaire transmise par les piqûres de moustiques qui impose le recours à des mesures de protection individuelle (sprays, crèmes, diffuseurs électriques, moustiquaires…). A ces mesures, doit s’ajouter un traitement médicamenteux adapté à chaque individu : il convient de s’adresser à votre médecin habituel ou à un centre de conseils aux voyageurs. Le traitement devra être poursuivi après le retour en France durant une durée variable selon le produit utilisé. Classification : Bali : pas de chimioprophylaxie; ailleurs zone 3 .
- Dengue: on constate une recrudescence de cas de dengue en Indonésie. Six provinces ont été placées en état d’alerte maximale : Jakarta, ouest de Java, est de Kalimantan, sud de Sulawesi, ouest et est de Tenggara. Cette maladie virale est transmise par les piqûres de moustiques : il convient donc de respecter les mesures habituelles de protection (vêtements longs, produits anti-moustiques à utiliser sur la peau et sur les vêtements, diffuseurs électriques, moustiquaires). La dengue pouvant prendre une forme potentiellement grave il est vivement recommandé de consulter un médecin en cas de fièvre (la prise d’aspirine est déconseillée).
- Encéphalite japonaise: cette maladie, qui n’existe qu’en Asie, se transmet par des moustiques, en zone rurale. Bien que rare, quelques cas sont signalés chaque année. Un vaccin existe et peut être administré dans dans un centre médical sur place. Dans le cadre d’un voyage touristique, il semble que les mesures physiques (vêtements longs, répulsifs…) soient une arme efficace.
Vaccinations
La mise à jour de la vaccination diphtérie-tétanos-poliomyélite est conseillée.
- Poliomyélite: quelques cas de poliomyélite ont été déclarés dans la région de Sukabumi (située à 120 km de Jakarta) et dans Java-Ouest. Il est recommandé aux voyageurs arrivant en Indonésie de s’assurer que leur vaccination anti-poliomyélite est bien à jour.
- Autres vaccinations conseillées(selon conditions d’hygiène et durée du séjour) : fièvre typhoïde, hépatites virales A et B.
Dans tous les cas il convient de prendre l’avis de votre médecin ou d’un centre de vaccinations internationales.
Hygiène alimentaire
Il est conseillé de ne pas boire l’eau du robinet : préférer les eaux en bouteilles capsulées, d’origine locale ou importées. A défaut, filtrer l’eau et la faire bouillir avant consommation. Eviter la consommation de poisson, de viande et de volailles crus.
VIH – Sida
Prévalence non négligeable du VIH – sida. Des mesures de prévention doivent être appliquées.
Epidémie de grippe aviaire
La Direction Générale de la Santé recommande aux voyageurs d’éviter tout contact avec les volailles et les oiseaux, c’est-à-dire de ne pas se rendre dans des élevages ni sur les marchés aux volatiles. Les recommandations générales d’hygiène lors des voyages dans les pays en développement, qui visent à se protéger des infections microbiennes, sont préconisées : éviter de consommer des produits alimentaires crus ou peu cuits, en particulier les viandes et les œufs ; se laver régulièrement les mains à l’eau et au savon ou un soluté hydro-alcoolique. Le virus se transmet par voie aérienne (voie respiratoire) soit par contact direct, notamment avec les sécrétions respiratoires et les matières fécales des animaux malades, soit de façon indirecte par l’exposition à des matières contaminées (par l’intermédiaire de la nourriture, de l’eau, du matériel et des mains ou des vêtements souillés). Les espaces confinés favorisent la transmission du virus.
Conseils généraux
Les hôpitaux privés sont à préférer aux hôpitaux publics. En cas de problème sanitaire important, une évacuation sur Singapour (1h30) ou la France devra être envisagée. Avant le départ, consulter le médecin traitant et contracter une assurance de rapatriement sanitaire.
Coordonnées de médecins et d’hôpitaux
Pour de plus amples renseignements, consultez les sites Internet suivants :
Infos utiles
Us et coutumes
L’Indonésie est un pays multiconfessionnel où l’Islam est pratiqué par 88% de la population. Le port d’une tenue vestimentaire correcte est recommandé afin d’éviter de heurter la sensibilité des ressortissants indonésiens. Pour les femmes, éviter de porter des vêtements décolletés. Il est en outre souhaitable d’avoir, dans la mesure du possible, les bras et les jambes couverts. Ces règles de conduite sont moins impératives à Bali, destination touristique dont la population est majoritairement hindoue.
Législation locale
L’Indonésie ne tolère la consommation de boissons alcoolisées que dans les bars des grands hôtels ou les restaurants des grandes villes.
Monnaie
La plupart des banques, agences de voyage et hôtels indonésiens n’acceptent de changer que les dollars émis depuis 2003 et portant un numéro de série commençant par la lettre F ou postérieur à celle-ci. Les billets abîmés sont soit refusés soit décotés.
Divers
Climat à la fois tropical et équatorial avec une saison sèche (juin à octobre à Jakarta) et une saison des pluies (novembre à mai).
Il est vivement recommandé aux voyageurs de faire preuve en permanence de prudence et de prendre des mesures simples de précaution. Notamment :
- de contracter avant leur départ une assurance maladie-rapatriement ( et de conserver sur soi la carte de l’organisme d’assistance);
- de prévenir l’Ambassade de France de leur projet de voyage (par ex : « voyageant avec mon conjoint et un enfant de … ans, j’envisage un déplacement dans la région de … du … au … »). Cette information, qui facilitera beaucoup l’assistance que pourra apporter l’Ambassade en cas d’accident, de catastrophe naturelle ou de disparition, peut être communiquée à section-consulaire@ambafrance-id.org ou par téléphone au 021 23 55 76 00 (+62 21 23 55 76 00 depuis la France).
- Ambassade de France en Indonésie
Représentations françaises
Menara BCA – 40th floor, Jl. MH. Thamrin n°110310 Jakarta
+62 (21) 23 55 76 00
contact@ambafrance-id.org
http://www.ambafrance-id.org/
Représentations diplomatiques et consulaires en France
Fonctions consulaires assurées par l’Ambassade
47/49, rue Cortambert75116Paris
01.45.03.07.60
komparis@online.fr
http://www.amb-indonesie.fr
Contacts utiles
Agences consulaires de France
Balikpapan : +62 542 533 265
Bandung : +62 22 421 24 17
Kuta (Bali) : +62 361 473 08 34
Surabaya : +62 31 50 35 035
Yogyakarta : +62 (274) 566 520 ou 547 409
Medan : +62 61 415 20 43
Continue Reading »
Documents Administratifs
Ci-dessous vous trouverez les documents nécessaires à l’obtention de votre visa pour Cuba*. Veuillez les renseigner et nous les renvoyer par mail à top-visas.com ou par le biais du formulaire de droite.
*A nous retourner remplis dans les plus brefs délais
Brève
Déplacement de Yamina Benguigui en Thaïlande, au Laos et au Vietnam (du 14 au 18 octobre 2013) Yamina Benguigui, ministre déléguée chargée de la Francophonie et représentante personnelle du président de la République pour l’Organisation internationale de la Francophonie, s’est rendue en Thaïlande, au Laos et au Vietnam du 14 au 18 octobre.
Lire la suite
Introduction

Petite carte du Laos
Le Laos appartient à la catégorie des pays les moins avancés. Il a pour objectif d’en sortir d’ici à 2020, grâce à une croissance économique forte et régulière reposant essentiellement sur l’exportation de ses ressources naturelles (hydroélectricité et mines) vers les pays voisins. Pays peu peuplé et enclavé, il a pour ambition de devenir un carrefour routier et ferroviaire entre la Chine et l’Asie du Sud-Est. La France, partenaire de longue date du Laos, l’accompagne dans son développement, à travers un soutien au développement rural et urbain, au secteur de la santé et à la préservation du patrimoine. Voir aussi le site de l’Ambassade Mise à jour : 29.10.13
L’essentiel
Capitale
Vientiane
Langue
Lao (langue officielle), français, anglais et toute une série de dialectes laos proches du Thaï
Devise
Monnaie du Laos La monnaie nationale officielle au Laos est le kip laotien (LAK). Bien que seul le kip soit légalement négociable dans les transactions quotidiennes, les Laotiens utilisent en réalité trois monnaies différentes : le kip, le baht thaïlandais (THB) et le dollar américain ($US). L’économie nationale repose lourdement sur le baht thaïlandais et le dollar américain. On estime qu’un tiers des liquidités en circulation à Vientiane portent l’effigie du roi de Thaïlande, et un second tiers, celle de différents présidents américains. Le kip est surtout réservé aux petits achats, tandis que les marchandises et les services un peu plus chers sont indifféremment indiqués en kips, en bahts ou en dollars. À partir de l’équivalent de 100 $US, tout est en dollars. La majorité des transactions s’effectuant en kips, mieux vaut avoir quelques liasses en poche. Il existe des billets de 500, 1 000, 2 000, 5 000, 10 000, 20 000, 50 000 et 100 000 kips. Les petits vendeurs, en particulier dans les zones rurales, rencontreront des difficultés à changer les coupures de 100 000 kips. Pour les transactions plus importantes, le dollar et le baht bénéficient d’une certaine préférence
Décalage horaire
GMT/UTC + 7h
Electricité
220 volts. Les prises sont généralement rondes ou plates, à deux fiches. On trouve facilement des adaptateurs à Vientiane. Dans les villes de moindre importance, l’électricité n’est souvent fournie que 3 à 4 heures par jour.
Téléphone
+ 856 En savoir plus sur http://www.lonelyplanet.fr/destinations/asie/laos/lessentiel#DriwpRFLP6EBfIzd.99
Entrée / Séjour
Visa
- Les Français sont soumis à visa pour se rendre au Laos et la durée de validité du passeport doit être supérieure d’au moins 6 mois au temps de séjour au Laos.
- Les voyageurs doivent impérativement s’assurer que la date d’entrée est bien apposée sur leur passeport par le service de l’immigration au risque de devoir payer une amende (au moins 100 USD) pour pouvoir quitter le territoire laotien.
- En outre, l’attention des voyageurs est appelée sur le fait que les postes frontières peuvent être fermés et la délivrance de visas interrompue sans aucune information préalable.
- Les visas touristiques sont valables pour une entrée pour un séjour de 30 jours.
- Les visas peuvent être délivrés par une représentation diplomatique ou consulaire laotienne (en France, adressez-vous à l’ambassade du Laos à Paris) et par la plupart des postes frontières.
- La quasi-totalité des postes frontières laotiens sont habilités à délivrer des visas lors de l’entrée sur le territoire. Pour plus d’informations, consultez la liste des points d’entrée disponible sur le site de l’ambassade du Laos à Paris.
- Pour se rendre en Chine, au Cambodge et au Vietnam par la route à partir du Laos, il est nécessaire de se munir au préalable d’un visa pour ces pays.
- Le visa touristique peut être renouvelé au bureau de l’immigration de Vientiane pour la somme de 2 USD par jour. Une pénalité de 10 USD par jour sera appliquée en cas de dépassement de la validité du visa.
Vol du passeport : procédure à suivre
- Faire une déclaration de vol au Commissariat de police central de Vientiane (situé rue Setthathirath, à la hauteur de la Nam Phou), à valider par la Police de l’Immigration (rue Saylom, perpendiculaire à l’avenue Lane Xang – ouverture du lundi au vendredi de 08h00 à 12h00 et de 13h00 à 14h00 – tél + 856 21 21 25 20). Attention, les déclarations délivrées en province sont rarement enregistrées officiellement, ce qui rend nécessaire leur validation par la Police de l’Immigration de Vientiane voire par le Commissariat de police central.
- Se présenter à la section consulaire de l’ambassade de France à Vientiane, muni des copies du passeport (papier, fichier sur clef USB ou à une adresse e-mail) et de 2 photos d’identité, pendant les heures d’ouverture des bureaux. En dehors des heures d’ouverture, appeler le n° des urgences de l’ambassade de France à Vientiane.
Santé
L’état général du système de santé au Laos est globalement insuffisant voire très médiocre dans certaines provinces. Des risques sanitaires existent et les voyageurs sont invités à consulter la rubrique hygiène alimentaire pour plus d’information. En cas de nécessité, il est préférable de se rendre en Thaïlande pour subir une opération chirurgicale (Clinique Aek à Udon Thani), ou des examens médicaux approfondis. Avant le départ
- Consultez votre médecin (éventuellement votre dentiste) et souscrivez une compagnie d’assistance couvrant les frais médicaux et le rapatriement sanitaire.
Prévention des maladies transmises par les piqûres d’insectes
- Dengue et Chikungunya : le Laos connaît régulièrement des épidémies de dengue, notamment dans les provinces du Sud. Cette maladie virale est transmise par les piqûres de moustiques, dont le risque est le plus élevé au lever et au coucher du soleil: il convient donc de respecter les mesures habituelles de protection (vêtements longs, produits anti-moustiques à utiliser sur la peau et sur les vêtements, diffuseurs électriques). La dengue pouvant prendre une forme potentiellement grave il est vivement recommandé de consulter un médecin en cas de fièvre (la prise d’aspirine est à proscrire) et de veiller à s’hydrater. Le virus Chikungunya, dont les symptômes sont semblables, est désormais présent dans le sud du pays et remonte vers la capitale. D’autres maladies virales, également transmises par les piqûres de moustiques, peuvent survenir.
- Prévention du paludisme (malaria): maladie parasitaire transmise par les piqûres de moustiques qui impose le recours à des mesures de protection individuelle (sprays, crèmes, diffuseurs électriques, moustiquaires…) A ces mesures, doit s’ajouter un traitement médicamenteux adapté à chaque individu : il convient de s’adresser à votre médecin habituel ou à un centre de conseils aux voyageurs. Le traitement devra être poursuivi après le retour en France durant une durée variable selon le produit utilisé. La recrudescence des cas de paludisme dans le sud du pays y rend particulièrement nécessaires les mesures de prévention, notamment pour les randonneurs.
Classification : zone 3.
- Encéphalite japonaise : cette maladie, qui n’existe qu’en Asie, se transmet par des moustiques, en zone rurale. Des cas humains ont été recensés dans les provinces du Nord du Vietnam. Ces cas peuvent être mortels ou engendrer des séquelles neurologiques graves. De ce fait, la vaccination contre l’encéphalite japonaise peut être nécessaire en cas de séjour en zone rurale (à pratiquer avant votre départ dans un centre de vaccinations internationales). Dans le cadre d’un voyage touristique, il semble que les mesures physiques (vêtements longs, répulsifs…) soient une arme efficace.
Vaccinations
- La mise à jour de la vaccination diphtérie-tétanos-poliomyélite est conseillée.
- Autres vaccinations conseillées (selon conditions d’hygiène et durée du séjour) : fièvre typhoïde, hépatites virales A et B.
La rage est endémique dans toute l’Asie du Sud-est. La plus grande prudence vis-à-vis des animaux errants est recommandée, en ville comme en province. La prévention repose sur l’absence de contact avec des animaux suspects et la vaccination préventive. Une consultation médicale est impérative en cas de morsure. Dans tous les cas demandez conseil à votre médecin ou à un centre de vaccinations internationales. Des cas de leptospirose ont également été signalés. Grippes
- Grippe aviaire: plusieurs cas de virus H5N1 ont été déclarés au Laos, entrainant la mort de quelques personnes. Il est conseillé aux voyageurs de consulter l’encart « Grippe aviaire » figurant en page d’accueil de ce site. Il s’agit d’une maladie virale animale affectant les volailles et exceptionnellement transmissible à l’homme. À ce jour, le Laos n’a déclaré aucune nouvelle affection de grippe aviaire sur son territoire. Il est néanmoins conseillé de prendre quelques précautions : la Direction générale de la Santé déconseille aux voyageurs d’être en contact avec des volailles et des oiseaux notamment en évitant les zones d’élevages ou marchés à volatiles.
En termes de recommandations générales d’hygiène pour se protéger des infections microbiennes, il est préconisé : – d’éviter de consommer des produits alimentaires crus ou peu cuits, en particulier les viandes et les œufs ; – de se laver régulièrement les mains à l’eau et au savon ou avec un soluté hydro-alcoolique. Le virus H5N1 se transmet par voie aérienne (voie respiratoire) soit par un contact direct, notamment avec les sécrétions respiratoires et les matières fécales des animaux malades, soit de façon indirecte par l’exposition à des matières contaminées (par l’intermédiaire de la nourriture, de l’eau, du matériel, des mains et vêtements sales). Les espaces confinés favorisent la transmission du virus ; – en cas de fièvre sur place ou après le retour en France, il est conseillé de consulter un médecin. Hygiène alimentaire
- Il est fortement conseillé de ne boire que de l’eau en bouteilles capsulées. A défaut, il est indispensable de filtrer l’eau ou de la faire bouillir avant de la consommer.
- Il est également recommandé de ne pas manger de poisson, viande et volaille crus.
VIH-SIDA
- Les mesures de prévention classiques doivent être appliquées.
En cas d’accident
- En cas d’accident ou de problème de santé grave, appeler le centre médical de l’Ambassade de France à Vientiane. Aucun soins lourd ne pouvant être assuré au Laos, une évacuation vers la Thaïlande doit être systématiquement recherchée en cas d’urgence sanitaire. Compte tenu de l’insuffisance des moyens de transport et de la rareté des ambulances, les situations urgentes peuvent devenir préoccupantes dans les régions éloignées de la capitale, particulièrement durant la saison des pluies.
- Il est préférable de se faire soigner en Thaïlande (depuis Vientiane, à Udon Thani, par exemple à la clinique Aek – qui peut dépêcher une ambulance à la frontière au pont de l’amitié – ou à la clinique Bangkok Hospital). Il n’existe pas de possibilité d’évacuation directe vers les villes voisines de Thaïlande par hélicoptère.
Pour de plus amples renseignements, consultez les sites Internet suivants :
Infos utiles
Us et coutumes
Une tenue vestimentaire décente est de rigueur, en particulier lors des visites des pagodes ou des cérémonies traditionnelles (Baci). Les objets religieux exposés dans les pagodes ne doivent pas être touchés. Il est indispensable de faire preuve de déférence à l’égard des bonzes. Une femme ne doit pas leur faire un don de la main ni leur adresser la parole.
Législation locale
La législation laotienne est assez restrictive en ce qui concerne l’alcool et la conduite en état d’ébriété est sévèrement réprimée. Le Code Pénal prévoit des sanctions pour les délits d’abus ou d’exploitation sexuels commis sur des mineurs. La prostitution et la pornographie sont sévèrement réprimées. Les relations hors mariage avec un(e) laotien(ne) ne sont pas admises sous peine de confiscation du passeport, d’une amende (minimum 1000$) et d’une peine de prison.
Divers
Régime de mousson classique, de type tropical caractérisé par trois saisons : sèche et fraiche de la mi-novembre à la mi-février, sèche et chaude jusqu’à la mi-mai et mousson de la mi-mai à la mi-novembre (accompagnée de vents et d’orages violents).
Représentations françaises
Rue Setthathirath BP 06Vientiane +856 21 26 74 00 consulat.vientiane-amba@diplomatie.gouv.fr +856 20 55 51 47 51 (permanence consulaire) http://www.ambafrance-laos.org/
Représentations diplomatiques et consulaires en France
Fonctions consulaires assurées par l’Ambassade
74, avenue Raymond Poincaré 75116 Paris
01.45.53.02.98
ambalaoparis@wanadoo.fr
http://laoparis.com/
Contacts utiles
- Services de Police
- Police secours : 191
- Police de Vientiane : +856 21 21 27 06
- Police touristique : +856 21 24 36 47
Secours
- Pompiers : 190
- Centre médical français : +856 21 21 41 50
- Alliance International Medical Centre à Vientiane : +856 21 513095 (pour les soins courants)
- Antenne du Bangkok Hospital à Luang Prabang : 856 20 2864 1240, +856 20 2864 1248 ou +856 30 200 9379
- Hôpital Aek à Udon Thani (Thaïlande) pour les urgences : + 66 42 34 25 55 ou +66 42 34 10 33
Continue Reading »
Documents Administratifs
Ci-dessous vous trouverez les documents nécessaires à l’obtention de votre visa pour la Mongolie*. Veuillez les renseigner et nous les renvoyer par mail à top-visas.com ou par le biais du formulaire de droite.
*A nous retourner remplis dans les plus brefs délais
L’essentiel
Capitale
Oulan-Bator
Langue
Mongol, kalmouk, kazakh, bouriate, chinois, russe
Devise
Le tögrög (MNT)
Décalage horaire
+ 6 heures par rapport à la France, + 8 heures GMT, une heure de moins dans les provinces occidentales de Bayan-Ölgii, Uvs et Khovd
numéros utiles
Indicatif pays 976
Renseignements 109
Ambulance 103
Pompiers 101
Police 102
Electricité
220 volts, 50 Hz
Téléphone
+ 976
Introduction
La Mongolie a la réputation d’être un pays sauvage à l’abri du monde moderne. La réalité est bien différente. À Oulan-Bator, 4×4 et bornes Wi-Fi abondent. Les bergers nomades utilisent des téléphones portables, et les enfants font des démonstrations de breakdance à l’ombre de la statue de Gengis Khan.
Coupée du monde durant la majeure partie du XXe siècle, la Mongolie est devenue dans l’imaginaire collectif l’archétype de la contrée lointaine et isolée. Ces vingt dernières années, elle s’est employée à combattre ce cliché, notamment en encourageant la venue de voyageurs étrangers. Comparé à ce qui se passe ailleurs en Asie centrale, les visas sont désormais assez faciles à obtenir, et certains ressortissants n’en ont même pas besoin. Les autorités ont conscience que le tourisme joue un rôle clé dans la croissance économique et constitue une source de revenus importante pour les communautés locales. Cependant, malgré l’accueil chaleureux, sachez que votre voyage ne sera pas une promenade de santé. La Mongolie demeure en effet un pays pauvre qui, hormis dans la capitale, dispose d’infrastructures et de services rudimentaires.
En savoir plus sur http://www.lonelyplanet.fr/destinations/asie/mongolie#6SBgMM8A92RV4rEr.99
Entrée / Séjour
Visa
Le visa d’entrée est obligatoire et il doit être obtenu avant le départ de France. Tout dépassement de la date de validité du visa est passible d’une forte amende. Vous trouverez de plus amples informations sur le site de l’Ambassade de Mongolie en France.
Les voyageurs qui désirent se rendre en Chine ou en Russie après leur séjour en Mongolie doivent impérativement se procurer le visa nécessaire auprès du consulat du pays concerné, avant de quitter Oulan Bator. En effet, il n’est à ce jour pas possible d’obtenir un visa pour entrer sur les territoires chinois et russe aux postes frontières avec ces deux pays.
Formalités d’entrée en Mongolie avec un véhicule
Entrée et sortie
Il convient de respecter la procédure suivante :
- Bien avant le passage de la frontière mongole, il convient de se faire enregistrer auprès du département central des douanes à Oulan Bator, soit en passant par l’intermédiaire d’une agence de voyage de la capitale, soit en demandant l’aide d’un correspondant résidant en Mongolie. Lors de cet enregistrement, il y aura lieu d’indiquer les points d’entrée et de sortie du territoire mongol, la durée et les dates du séjour prévu, toutes les caractéristiques du véhicule (carte grise) et le nombre de passagers.
- Le département central des douanes communiquera ensuite ces informations aux postes frontières d’entrée et de sortie du véhicule.
- Au poste frontière d’entrée, la mention « T/M» sera apposée sur le visa mongol. Cette mention signifie une entrée en Mongolie avec un véhicule «M» pour un court séjour «T». Cela implique impérativement de ressortir avec ledit véhicule.
- Après l’enregistrement préalable au département central des douanes et avec le tampon « T/M», la sortie au poste frontière avec le véhicule ne doit pas poser de difficulté.
Permis de conduire
Pour conduire une voiture en Mongolie, il est impératif d’être titulaire du «permis international».
Une augmentation des problèmes, parfois graves, rencontrés par des compatriotes venus en Mongolie avec leur véhicule personnel (voitures ou camions) a été constatée en 2012. Le pays est vaste et peu peuplé, les garages sont rares et habitués aux seuls véhicules en circulation en Mongolie (marques russes et japonaises). Les difficultés du terrain (pistes, passages à gué) et les intempéries ont conduit à des accidents et à des bris de véhicules qui se sont avérés irréparables ou exigeant un remorquage coûteux, sur plusieurs centaines de kilomètres ; les pièces détachées sont souvent introuvables. De plus, toute personne entrée en Mongolie avec un véhicule a l’obligation de ressortir du territoire avec ce même véhicule, une transgression ou un retard de franchissement de la frontière entraînant de fortes pénalités mongoles, suivies de difficultés avec les services d’immigration chinois ou russes, aux frontières terrestres de la Mongolie.
Adresses utiles
- Département central des douanes
Adresse : 81/1 rue Ikh Toiruu – district de Sukhbaatar – Oulan Bator (Mongolie)
Tél. : +976 11 35 00 49 – 35 00 57
Fax : +976 11 35 00 60
Courriel : info@ecustoms.mn
Site internet :www.ecustoms.mn(mongol seulement)
- Douane d’Oulan Bator
Adresse : district de Bayangol (à l’ouest de la gare centrale ferroviaire) – Oulan Bator (Mongolie)
Tél. : +976 11 312015 – 311981 – 311939
- Département de la police routière Adresse : autoroute “Narny Zam” – district de Sukhbaatar – 1er arrondissement – Oulan Bator (Mongolie)
Tél. : +976 11 70 11 21 00 – 124 (appel d’urgence) – 93021124 (en cas d’accident)
Fax : +976 11 70 11 27 11
Site internet :www.stop.mn (mongol seulement)
Sécurité
Assurance santé/rapatriement
Pour tout déplacement en Mongolie, pays très étendu (trois fois la France) et faiblement peuplé (2,75 millions d’habitants), il est impératif de disposer d’un excellent contrat d’assurance maladie/rapatriement couvrant la totalité du séjour mongol et de vérifier si la compagnie d’assurance choisie dispose de correspondants administratifs et médicaux en Mongolie.
Il est également indispensable de se munir des coordonnées précises de ces correspondants avant d’entreprendre le voyage, et de les conserver avec soi durant tout le séjour.
Délinquance
- Des touristes et des résidents ont été victimes d’incidents, parfois violents : il est recommandé d’être attentif lors des déplacements à pied en ville, à toute heure du jour, et plus particulièrement la nuit, en dehors de tout accompagnement.
- La petite délinquance est présente dans les lieux publics de la capitale. Il convient, en conséquence, d’être vigilant (nombreux cas d’agressions inexpliquées et de vols). Les étrangers sont souvent suivis à la sortie des boîtes de nuit. Le marché de « Narantuul », le « Grand magasin d’Etat », la gare centrale, la place de Sukhbaatar (place centrale d’Oulan Bator), la rue de Séoul, l’aéroport international « Chinggis Khaan » sont des lieux où sévissent les voleurs à la tire. Les célébrations du Nouvel an mongol « Tsagaan sar » (janvier ou février) et de la Fête nationale « Naadam » (11, 12 et 13 juillet) sont également propices aux vols. De petits groupes opérant dans certains bâtiments, ou dans la rue, entourent et bousculent les touristes pour les délester de leurs portefeuilles, téléphones, etc.
Risque sismique
- La Mongolie présente des zones de forte activité sismique dans sa partie occidentale et un risque confirmé pour la capitale Oulan-Bator (trois failles actives à proximité), dont le niveau de dangerosité pour les populations est accru pendant la rigueur extrême de l’hiver mongol. Il est conseillé de consulter sur ce site la fiche thématique consacrée aux séismes.
En cas de séisme, pensez à contacter vos proches pour les rassurer où, à défaut, l’Ambassade de France.
- Si des consignes d’évacuation et/ou de regroupement sont données par les autorités locales, il convient de rejoindre le point de regroupement indiqué le plus proche. Il est recommandé de chercher à se regrouper sur place avec des compatriotes ou d’autres ressortissants européens ou étrangers, de dresser la liste des présents avec, si possible, adresse ou téléphone des personnes à prévenir, et de faire parvenir cette information le plus rapidement possible à l’Ambassade de France.
Il est également possible de prendre l’attache d’une ambassade d’un État membre de l’Union Européenne présente en Mongolie (Allemagne, Bulgarie, République Tchèque et Royaume Uni).

Transports
Infrastructure routière
A Oulan Bator, le mauvais état des trottoirs et chaussées (nombreux trous et bouches ouvertes), l’absence de signalisation, le non respect des règles du code de la route par les conducteurs et piétons mongols ainsi que l’éclairage urbain insuffisant, rendent la conduite difficile et dangereuse. Les piétons sont très exposés et il convient donc de traverser les rues avec prudence.
A l’extérieur de la capitale, la rareté des routes asphaltées et l’état des pistes, souvent non stabilisées, l’absence de signalisation et la très faible densité de population conduisent à recommander l’utilisation des services d’un chauffeur mongol. La location de véhicule sans chauffeur demeure difficile. Le ravitaillement en carburant et les réparations automobiles sont aléatoires en dehors des villes, où la population parle rarement une langue étrangère. En cas d’accident, le recours à un GPS et à un téléphone mobile satellite peut s’avérer utile (absence de relais terrestres).
L’assurance automobile est obligatoire depuis octobre 2012, mais les accrochages se règlent le plus souvent à l’amiable en présence de policiers. Il convient, dans tous les cas, de garder son calme et de s’appuyer, dans la mesure du possible, sur une tierce personne parlant mongol.
Transport en bus
Les principales villes de province sont reliées par un service de minibus au départ de la gare routière de « Teevriin Tovchoo » et du « Dragon Center » à Oulan Bator.
Transport en taxi
Il est fréquent que des particuliers utilisent leur véhicule comme taxi pour percevoir des revenus complémentaires. Certains risques ne pouvant être exclus, il est conseillé de ne prendre que les véhicules des compagnies enregistrées, équipés de taximètres.
Réseau ferroviaire
Il concerne une ligne nord-sud qui relie la Russie à la Chine avec une branche secondaire vers la ville d’Erdenet. C’est un moyen de transport économique, mais qui comporte des risques sur la partie nord de la ligne. Il est conseillé de voyager en première classe.
Transport aérien
La Mongolie compte de nombreux aéroports, dont sept ont des pistes asphaltées : Oulan Bator, Bayankhongor (province de Bayankhongor, sud-ouest), Dalandzadgad (province de Omnogobi), Khovd (province de Khovd, ouest), Moron (province de Khovsgol), Oyu Tolgoi (province de Omnogobi, sud) et Tchoibalsan (province de Dornod, extrême est).
Les conditions climatiques hivernales, qui sont ici extrêmes, entraînent de fréquents retards et même des annulations de vols.
Les compagnies Aero Mongolia, MIAT, Eznis Airways, Mongolian Airlines Group, Chingis Airways disposent chacune d’un site internet sur lequel il est possible de consulter les horaires et d’effectuer des réservations.
Il existe toujours des tarifs spécifiques pour les étrangers. Il est également possible d’utiliser, sur commande, les services de transporteurs privés.
Santé
Les conditions sanitaires prévalant en Mongolie sont difficiles. Les infrastructures médicales sont rudimentaires, surtout en province et les problèmes de communication rendent très lentes les prises en charge médicales et les retours vers la capitale, lorsqu’ils sont nécessaires.
Il est impératif de disposer d’une excellente assurance de type maladie/rapatriement couvrant la totalité du séjour en Mongolie.
En cas de traitement médical régulier, il est conseillé d’avoir avec soi les médicaments nécessaires pour la totalité du séjour, les produits de substitution locaux n’étant pas toujours fiables. Disposer de quelques médicaments de première nécessité peut être utile au voyageur.
La capitale mongole connait l’une des plus fortes pollutions atmosphériques de la planète (cf. Banque mondiale et OMS). D’octobre à juin, elle figure à la première place mondiale (pic de pollution en novembre, décembre, janvier et février) en raison du chauffage au charbon, et aux vents de sable qui relèvent et dispersent la pollution des sols (mars à juin).
Vaccinations
La mise à jour des vaccinations Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite (DTP) ou DTP-Coqueluche, et Hépatite A, est recommandée.
Un contrôle des vaccinations Tuberculose Rougeole-Oreillons-Rubéole peut-être conseillé.
Autres vaccinations conseillées (selon modalités du séjour) : fièvre Typhoïde et Hépatite B, Encéphalite à tiques.
En cas de séjour prolongé, en cas d’isolement, la vaccination contre la rage peut être conseillée. Demandez conseil à votre médecin ou à un centre de vaccinations internationales.
Hygiène alimentaire
Il est conseillé d’avoir recours, pour la boisson, à l’eau embouteillée capsulée. Eviter la consommation d’aliments insuffisamment cuits (poisson, viande, volaille, lait), de crudités ou d’aliments cuits consommés froids, et de fruits non pelés.
En raison de coupures d’électricité fréquentes, il est conseillé d’être attentif à la qualité des produits alimentaires.
Maladies sexuellement transmissibles
Prévalence significative de maladies sexuellement transmissibles (par exemple VIH – Sida ou Syphilis). Toute mesure de prévention est indispensable.
Quelques recommandations générales
- Ne pas caresser les animaux rencontrés.
- Veillez à votre sécurité routière (port de la ceinture de sécurité en automobile ou du casque en moto).
- Emportez dans vos bagages les médicaments nécessaires pendant la durée du séjour.
Pour de plus amples renseignements, consultez les sites Internet suivants :
Infos utiles
Législation locale
Il est interdit, sous peine d’amende, de consommer de l’alcool sur la voie publique.
La prostitution et sa publicité sont interdites par la loi.
L’usage de la drogue est strictement prohibé en Mongolie (y compris les substances dites “drogues douces”). Elle fait l’objet de contrôles attentifs des autorités locales, est sévèrement réprimée par la loi mongole et peut entraîner de lourdes peines d’emprisonnement (2 à 15 ans selon la caractérisation des faits par la justice). L’Ambassade de France met en garde contre le non-respect de la réglementation mongole, en particulier sur cette question sensible, et sur les graves conséquences qui peuvent en découler en référence à l’article 192 du code pénal mongol concernant la production, l’achat, la consommation, le transport, la livraison et la vente illégale de substances médicamenteuses et de stupéfiants.
Climat
Le climat mongol, de type continental extrême, est caractérisé par de très grandes amplitudes de température (plus de 100 degrés Celsius d’écart au long de l’année), et de fortes variations de pression atmosphérique au printemps (vents). La température moyenne annuelle à Oulan Bator est de -1° Celsius. L’hiver mongol dure près de huit mois. La période végétative est de quatre mois.
Représentations françaises
3, avenue de la Paix – quartier 1 – district de Chingeltei PO Box 687 Oulan Bator
+976 (11) 32 45 19 / 32 96 33
contact@ambafrance-mn.org
En cas d’urgence :
+976 99 08 61 77
http://www.ambafrance-mn.org
Représentations diplomatiques et consulaires en France
Fonctions consulaires assurées par l’Ambassade
5, avenue Robert-Schuman 92100 Boulogne-Billancourt
01.46.05.28.12/01.46.05.23.18
info@ambassademongolie.fr
http://www.ambassademongolie.fr/
Contacts utiles
- Police : 102
- Pompiers : 101
- Urgences : 103
Continue Reading »
Documents Administratifs
Ci-dessous vous trouverez les documents nécessaires à l’obtention de votre visa pour le Népal*. Veuillez les renseigner et nous les renvoyer par mail à top-visas.com ou par le biais du formulaire de droite.
*A nous retourner remplis dans les plus brefs délais
L’essentiel
Capitale
Katmandou
Langue
Népali et nombreux idiomes locaux (bhojpuri, tharu, tamang, newari, etc.) ; anglais très répandu
Devise
Roupie népalaise (Rs)
Décalage horaire
GMT/UTC + 5h45
Electricité
220 V et 50 Hz ; les coupures de courant sont fréquentes.
Téléphone
+ 977
Introduction
Malgré moult turbulences historiques et politiques, le Népal n’a rien perdu de son pouvoir de fascination. Depuis l’ouverture de ses frontières aux étrangers dans les années 1950, ce minuscule pays rayonne d’un attrait quasi mystique aux yeux des voyageurs.
Les treks les plus emblématiques de l’Himalaya attirent des foules de randonneurs avides d’arpenter des sentiers parmi les plus beaux du monde. D’autres visiteurs viennent pratiquer le rafting sur des rivières aux eaux tourbillonnantes ou sauter à l’élastique dans les gorges himalayennes. D’autres encore optent pour un rythme plus paisible, admirant la vue sur les pics himalayens, flânant sur les places médiévales émaillées de temples de Katmandou, Patan ou Bhaktapur, ou se joignant aux pèlerins autour des stupas et des temples multiséculaires de la vallée de Katmandou. Le principal problème consiste à réussir à tout faire !
La version web de notre guide sur le Népal vous aide à partir au Népal et à bien préparer votre voyage dans cette destination.
En savoir plus sur http://www.lonelyplanet.fr/destinations/asie/nepal#ib0X16yvGZ4hfcR0.99
Entrée / Séjour
Visa
Visa et passeport d’une durée de validité minimale de six mois obligatoires. Le visa est gratuit pour des séjours inférieurs à trois jours. Des visas touristiques de soixante jours peuvent être obtenus, en vous munissant de deux photographies d’identité, à votre arrivée à la frontière pour un coût de 30$ ou 25€ ou auprès des représentations diplomatiques népalaises en France pour un coût de 40€ (pour un visa entrée simple) ou 80€ (visa entrées multiples). Ces visas peuvent être prolongés sur place par périodes d’un mois, contre l’acquittement d’une taxe de 30$, jusqu’à la concurrence d’un séjour maximal de 150 jours par année civile. Il est également possible de faire l’acquisition d’un visa à entrées multiples coûtant 80$ : le droit à séjour initial n’est que de 60 jours, mais le droit à entrées multiples demeure acquis pour la totalité du droit à séjour annuel.
L’ensemble des informations relatives aux visas est disponible sur le site internet suivant :www.immi.gov.np.
Le Népal pratiquant un contrôle des changes, il est obligatoire de déclarer auprès des douanes à l’entrée sur le territoire toute somme d’argent liquide d’un montant supérieur à l’équivalent en valeur de 2000$. Le non-respect de cette législation peut être puni par de fortes amendes et par des peines allant jusqu’à 3 ans de prison ferme.
Pour les personnes souhaitant se rendre au Népal avec leur véhicule personnel, il est indispensable d’être muni d’un carnet de passage en douanes. Sans présentation de cette pièce, le véhicule peut être refoulé, et, dans tous les cas, un droit journalier de séjour pour le véhicule sera à régler aux autorités népalaises.
Les voyageurs qui effectuent une excursion en Inde doivent exiger, au passage à la frontière, tant à l’aller qu’au retour, que leur passeport soit tamponné. Ils peuvent également se prémunir contre les conséquences d’un éventuel vol ou d’une perte de ce document en photocopiant les pages où figurent visas et tampons.
Les voyageurs se rendant au Tibet en passant par Katmandou doivent savoir que leur visa pour la Chine sera annulé en arrivant au Népal et remplacé par un visa spécifique à la région du Tibet. Le voyage individuel est maintenant autorisé mais il faut obligatoirement passer par les services d’une agence de voyage qui accomplira les formalités d’entrées. Il n’est pas possible de franchir la frontière avec son véhicule personnel.
Sécurité
Situation politique instable
En raison de la période politique instable que traverse le Népal, il est recommandé de suivre avec attention l’actualité de ce pays, et de respecter les conseils généraux de sécurité énoncés ci-dessous. Les Français sont invités à consulter le site de l’ambassade de France à Katmandou (page «Le Népal ces jours-ci»).
Manifestations et grèves générales
Elles sont fréquentes et susceptibles de contrarier sérieusement vos déplacements. Lors d’une grève générale ou ” bandh “, qui peut se produire à l’échelle de la vallée de Katmandou, de certains districts ou du pays entier, de nombreux magasins sont fermés et les moyens de transport sont paralysés. Il vaut mieux ne pas utiliser les transports en commun, les taxis et les automobiles. Lors de ces « bandh » il est conseillé d’adopter un profil bas et de se tenir à l’écart des attroupements.
Recommandations générales
Risque sismique
Le Népal est situé dans une région de très forte activité sismique. Pour obtenir plus d’informations sur la conduite à tenir en cas de séisme, il est recommandé de consulter la fiche réflexe de ce site consacrée au risque sismique dans la rubrique “Infos pratiques”.
Les recommandations de base sont les suivantes:
A l’intérieur :
- s’éloigner des fenêtres ou vitrages susceptibles de se briser, des murs extérieurs, de tout objet ou meuble qui pourraient se renverser;
- s’abriter sous une table solide ou un meuble résistant, ou rester debout sous un encadrement de porte;
A l’extérieur :
- s’efforcer d’atteindre un espace libre, loin des arbres, poteaux électriques, murs ou bâtiments;
- dans la voiture, s’arrêter au bord de la route et attendre à l’intérieur la fin des secousses.
Dans tous les cas, il faut conserver son calme, suivre les instructions données et attendre les secours, si nécessaire. Tout séisme important est suivi d’une série de secousses secondaires.
En cas de séisme, il est recommandé à nos ressortissants de prendre immédiatement contact avec leurs familles ou leurs proches afin de les rassurer sur leur sort ou, le cas échéant, en cas de problème de communication avec l’extérieur, avec l’ambassade de France.
Faites vous connaître de l’ambassade :
En raison du risque sismique important, tous les Français de passage sont vivement invités :
- à localiser l’ambassade de France à Katmandou pour pouvoir s’y rendre rapidement en cas de problème, et à remplir le formulaire en ligne disponible sur le site internet de l’ambassade de France à Katmandou (rubrique à droite de la page d’accueil) ;
- à s’inscrire sur le portail Ariane du ministère des Affaires étrangères, pour signaler leur futur déplacement dans ce pays.
Ces démarches sont particulièrement importantes pour les personnes prévoyant une randonnée à pied.
Avertissement concernant les guides et les randonnées
Il est déconseillé de partir en compagnie de soit-disant guides qui abordent leurs clients dans les quartiers touristiques et ont une connaissance limitée de la montagne et de ses dangers. Il est extrêmement déconseillé de faire du trekking seul, surtout à proximité de Katmandou. Il est indispensable que des professionnels du tourisme, ou des proches biens au fait de la situation locale, vous assistent dans la préparation de vos projets de randonnée. Les voyages isolés, sans encadrement, sont à proscrire catégoriquement.
Avertissement concernant le mal des montagnes
Le mal des montagnes tue. L’altitude a des effets redoutables sur l’organisme et la santé et il est très fortement recommandé de s’adresser à des agences reconnues qui sauront détecter à temps tout problème de santé dû à l’altitude et réagir en conséquence. Il convient donc de ne pas choisir en fonction des tarifs proposés mais de la qualité du service qui peut s’avérer déterminante en cas d’accident de santé en haute montagne. Pour les risques sanitaires liés aux activités de montagne, il est recommandé de se reporter à la rubrique “santé”.
Pénuries
Le pays connait régulièrement des interruptions temporaires de son ravitaillement lorsqu’un accident de la circulation et/ou une revendication politique interrompent le trafic routier durant quelques heures ou quelques jours. La pénurie de gaz et de carburant est récurrente, ainsi que celle d’électricité: les coupures de courant atteignent de 10 à 14 heures par jour.
Télécommunications
Les communications téléphoniques demeurent difficiles dans plusieurs zones reculées où les maoïstes ont naguère détruit des relais. Cette situation peut avoir des conséquences pratiques non négligeables, en retardant notamment les opérations de sauvetage en montagne, si vous-mêmes ou vos guides n’êtes pas équipés de téléphones satellitaires.
Climat et sécurité
Le Népal est un pays tropical d’altitude où des vêtements chauds peuvent être nécessaires en toute saison. Songez-y si vous venez d’Inde ou du sud-est asiatique. En hiver, le risque de gelures graves existe même à basse altitude. Les fortes précipitations qui accompagnent la mousson de mi-juin à mi-septembre provoquent des glissements de terrain, notamment le long des rivières, et rendent les sentiers boueux et glissants. Il est alors dangereux de faire étape en bordure d’une rivière.
Avertissement concernant le quartier touristique de Thamel et la drogue
Le quartier touristique de Katmandou est le lieu de fréquentes escroqueries. Une arnaque courante consiste à proposer d’exporter des bijoux ou de l’or vers un pays tiers moyennant une commission. Comme cette pratique est illégale, les touristes qui ont accepté se trouvent ensuite soumis au chantage des escrocs qui menacent de les dénoncer à la police. Les pickpockets sont nombreux dans les rues et les bars. Enfin, de nombreux vendeurs de rue proposent de la drogue à bon marché et de très mauvaise qualité. Les voyageurs qui en accepteraient exposent leur santé et prennent des risques importants: la législation concernant la consommation et le trafic de drogue est très sévère au Népal, les peines encourues peuvent aller jusqu’à la prison à vie.

Transports
Infrastructures routières
- Les services d’un chauffeur sont relativement peu onéreux. Ils vous éviteront bien des hésitations ou désagréments. Hors de la vallée de Katmandou, de nombreuses voies sont en mauvais état, voire non asphaltées. En dehors de la capitale, circuler de préférence en véhicule 4X4 et respecter une vitesse raisonnable. Il est formellement déconseillé de vous déplacer la nuit. Tuer une vache, même accidentellement, dans ce pays hindouiste fervent, peut avoir de graves conséquences.
- En période de mousson, les glissements de terrain, chutes de pierres et d’arbres peuvent être à l’origine de fermetures plus ou moins longues des axes routiers et aussi d’accidents (chutes de véhicules dans les ravins par exemple). Il est indispensable d’évaluer le risque météorologique avant de prendre la route pendant cette période. Les voyages en autobus peuvent être particulièrement périlleux. Il n’est pas recommandé d’utiliser les autocars pour se déplacer dans le pays : le mauvais état des routes rallonge considérablement les temps de trajet et ces autocars sont fréquemment impliqués dans de graves accidents.
Transport aérien
- Le 5 décembre 2013, la Commission Européenne a décidé d’inscrire toutes les compagnies aériennes du Népal sur la liste des transporteurs aériens faisant l’objet d’une interdiction d’exploitation dans l’Union Européenne.
- Plusieurs accidents d’avion ont eu lieu au Népal en 2011 et 2012 (vols nationaux). Les voyageurs doivent avoir conscience que les risques liés à un vol intérieur au Népal sont supérieurs à la moyenne mondiale. En zone montagneuse, particulièrement, les mauvaises conditions météorologiques augmentent les risques pour la sécurité et peuvent entraîner d’importants retards.
Des informations générales sur la sécurité aérienne sont disponibles sur le site de l’Organisation Internationale de l’Aviation Civile.
L’ambassade de France ne peut en aucun cas donner des conseils en matière de choix d’une compagnie aérienne.
La taxe aéroportuaire pour les vols intérieurs varie actuellement entre 50 et 200 roupies népalaises (environ 0,50 à 2 euros) selon la destination.
- L’attention des voyageurs qui utilisent l’aéroport d’altitude de Lukla pour revenir de la région de l’Everest est appelée sur le fait que cet aéroport d’accès difficile ne permet que les atterrissages à vue : il arrive en conséquence que le mauvais temps conduise à suspendre les vols, parfois durant plus de cinq jours. En octobre – novembre surtout (haute saison touristique au Népal), plusieurs milliers de personnes peuvent alors se trouver en attente dans un village mal équipé pour une telle affluence soudaine, ce qui provoque des conditions de vie difficiles et une envolée des prix en plus du retard important qui peut compromettre les réservations internationales. Les voyageurs prévoyant un trek vers l’Everest sont fortement encouragés à programmer un laps de temps aussi long que possible entre la fin du trek et leur vol international.
Santé
Accidents et/ou mal des montagnes
Au vu de nombreuses difficultés que peuvent rencontrer nos compatriotes accidentés au Népal, l’ambassade tient à rappeler quelques règles simples avant un voyage, et surtout un trek, dans ce pays.
Dans l’Himalaya, la plupart des trek passent plusieurs jours en haute altitude où le mal des montagnes peut frapper. Le mal des montagnes peut être bénin ou mortel: informez-vous et apprenez à en reconnaître les symptômes (voir ci-dessous). Les femmes enceintes doivent demander conseils à leur médecin avant de partir. Dès qu’un cas grave est soupçonné, la descente immédiate aussi bas que possible (et au minimum en dessous de 4 000m) est impérative.
Au Népal, tous les secours en montagne sont payants, ils peuvent prendre du temps à s’organiser et sont dépendants de la météo, les hélicoptères ne volant que dans de bonnes conditions. L’assurance relève de la responsabilité des particuliers. A défaut, ils doivent financer eux-mêmes le coût des recherches et/ou du rapatriement. Au Népal, les hélicoptères ne décollent que s’ils ont la garantie d’être payés.
Il est impératif de lire soigneusement les clauses du contrat d’assurance. Toutes les assurances voyages ne couvrent pas les frais de recherche et d’évacuation en montagne, en particulier celles allant avec l’utilisation d’une carte de crédit. Etre assuré pour un rapatriement implique le plus souvent uniquement la prise en charge du transfert à partir d’un hôpital vers la France. Cela ne couvre pas nécessairement les recherches en montagne et les frais d’évacuation vers un hôpital. De même, parfois, seuls les accidents sont couverts et non les maladies, comme le mal des montagnes.
La garantie “neige et montagne” de la carte Visa ne permet pas d’avancer les frais de secours en montagne (sauf accord spécifique avec les professionnels locaux, ce qui n’est généralement pas le cas au Népal). La souscription d’une autre assurance est indispensable pour garantir aux compagnies privées d’hélicoptères le paiement des recherches en montagne et le retour vers Katmandou. Une assurance de voyage peut également vous assurer pour votre voyage.
Connaître et faire connaître les références de son contrat et les coordonnées de son assurance permet une intervention beaucoup plus rapide des secours: remplissez la fiche de renseignements mise à votre disposition sur le site de l’ambassade et donnez également ces renseignements à votre agence de trek.
Au regard des frais élevés qu’il implique, le transport en hélicoptère du lieu de l’accident vers Katmandou est réservé aux situations d’extrême urgence (œdème cérébral, accident mettant la vie en danger). En cas d’abus (simple fatigue, mal des montagnes sans gravité, petite blessure permettant l’évacuation par terre) l’assurance pourra éventuellement se retourner contre son assuré et lui demander des compensations financières élevées .
Le mal des montagnes peut se manifester par des troubles respiratoires (essoufflement) et/ou neurologiques (maux de tête, vomissements, troubles du sommeil) pouvant survenir au-delà de 3000 mètres d’altitude. A un stade plus avancé, ces manifestations peuvent s’aggraver et parfois conduire au décès. Toute personne, quelque soit sa condition physique, peut être concernée par le mal des montagnes. Une adaptation progressive à la haute altitude est nécessaire pour prévenir ce risque.
La prévention du mal des montagnes repose sur 4 règles essentielles:
- respecter une ascension lente (pas plus de 400 m de dénivelé positif entre deux nuits consécutives à partir de 2500m) et bien s’hydrater ;
- en cas de symptômes de mal des montagnes, arrêter l’ascension ;
- si les symptômes persistent ou empirent, redescendre, même de nuit ;
- ne jamais abandonner seul un camarade malade.
L’identification des symptômes du mal des montagnes revêt une importance capitale dans la prise de décision de la suite à donner à une ascension. Quelle que soit la difficulté à établir un diagnostic sûr, le mal aigu des montagnes constitue l’éventualité la plus probable ; aussi est-il essentiel de communiquer en permanence, sans restrictions, sur votre état physique. De surcroît, les capacités de réflexion et d’action d’une victime du mal aigu des montagnes peuvent être altérées : il faut alors forcer cette personne à redescendre. Enfin, il vaut mieux planifier une ascension lente et progressive plutôt que de prendre des médicaments censés éviter le mal aigu des montagnes. Des antécédents cardiaques, pulmonaires, neurologiques ou rénaux constatés à une altitude normale constituent une contre-indication, tout comme une grossesse. Des conseils médicaux complémentaires peuvent être obtenus auprès du médecin de l’ambassade de France à Katmandou avant le début de votre séjour en haute altitude. L’ Himalayan Rescue Association dispose de centres médicaux destinés à soigner le mal des montagnes à Pheriche, dans le Khumbu, et à Manang, dans les Annapurnas. Elle peut également organiser des expéditions de secours.
Pour les personnes effectuant des voyages supérieurs à 3 mois, vérifier précisément avec la compagnie d’assurance avant le départ de France les conditions retenues. Il est en effet fréquent que les assurances considèrent les séjours supérieurs à 90 jours comme une expatriation et que, de ce fait, les contrats de rapatriement et de soins médicaux soient caducs une fois ce délai de 3 mois dépassé.
Épidémies
Des épidémies d’encéphalite japonaise et de diarrhées aiguës peuvent se déclarer en période de mousson.
La saison des pluies terminée (mi-juin à mi-septembre), les risques d’épidémie de choléra, typhoïde et shigella diminuent rapidement, mais les mauvaises conditions sanitaires persistent, même en dehors des périodes de mousson. Préférer les aliments cuits et les manger encore chauds, éviter les crudités et les fruits s’ils ne sont pas traités et pelés, ne consommer que de l’eau en bouteille, traitée (hydroclonazole, micropur 1 heure) ou bouillie et filtrée.
Paludisme
Prévention du paludisme (malaria) : maladie parasitaire transmise par les piqûres de moustiques qui impose le recours à des mesures de protection individuelle (sprays, crèmes, diffuseurs électriques, moustiquaires…) A ces mesures, doit s’ajouter un traitement médicamenteux adapté à chaque individu : il convient de s’adresser à votre médecin habituel ou à un centre de conseils aux voyageurs. Le traitement devra être poursuivi après le retour en France durant une durée variable selon le produit utilisé.
Classification : zone 2 dans le Téraï. La protection contre les piqûres d’insectes dans le Téraï (vêtements longs, répulsifs, moustiquaires) est primordiale.
Dengue
La dengue sévit dans la région de Chitwan et s’étend dans le Téraï : il est recommandé de se protéger des piqûres de moustiques, notamment durant la journée (certains des produits localement disponibles sont efficaces).
Vaccins recommandés
Mise à jour de la vaccination Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite et contrôle de la vaccination anti-tuberculeuse (BCG). Après avis médical, sont conseillées les vaccinations contre la fièvre typhoïde, l’hépatite A et B, la méningite à méningocoque A+C. Dans certains cas, la vaccination antirabique pourra vous être recommandée. Enfin, le vaccin contre l’encéphalite japonaise pourra vous être conseillé par votre médecin, notamment pendant la saison des pluies dans la zone concernée (Téraï). Dans tous les cas, prenez l’avis de votre médecin ou d’un centre de vaccinations internationales.
VIH – SIDA
Les cas de VIH – SIDA, bien que difficiles à chiffrer, sont de plus en plus nombreux. Il est primordial de se protéger en cas de rapports sexuels (préservatifs).
Épidémie de grippe aviaire
La grippe aviaire est présente au Népal, notamment dans la vallée de Katmandou. Toutefois, aucun cas de transmission du virus à l’homme n’a été signalé à ce stade. Néanmoins, les recommandations générales d’hygiène ci-dessous, qui visent à se protéger des infections microbiennes, sont préconisées :
- éviter de consommer des produits alimentaires crus ou peu cuits, en particulier les viandes et les œufs ;
- se laver régulièrement les mains avec de l’eau et du savon ou un soluté hydro-alcoolique qu’il est conseillé d’emporter dans ses bagages.
Pour de plus amples renseignements, consulter le site du ministère de la Santé :www.sante.gouv.fr
Pour de plus amples renseignements, consultez les sites Internet suivants :
Infos utiles
Us et coutumes
Eu égard aux us et coutumes liés aux religions hindouiste et bouddhiste, ne pas s’habiller trop court et éviter les tenues pouvant être considérées comme provocantes : pas de short pour les femmes.
Législation locale
La prostitution est officiellement interdite. La législation française permettant de poursuivre des ressortissants français en France pour certains délits à caractère sexuel commis à l’étranger s’applique au Népal.
Divers
- Avec la rapide augmentation du tourisme, l’attention des voyageurs est attirée sur les escroqueries dont ils pourraient être victimes, notamment dans les petites boutiques de Katmandou, plus particulièrement certaines bijouteries, qui proposent de convoyer des pierres précieuses ou d’en organiser le commerce. Les pierres proposées sont souvent de fausses gemmes et il s’agit d’un moyen d’extorquer de l’argent en exigeant le versement d’une avance de fonds.
- L’usage de la carte bancaire pour les paiements en dehors des grands hôtels et des agences de voyage est fortement déconseillé (risques de fraude pouvant donner lieu à des retraits illicites très importants d’argent ).
- Les voyageurs souhaitant agir en faveur de la population népalaise, sont invités à s’entourer de précautions avant d’effectuer une donation et, notamment, à se renseigner sur l’organisme bénéficiaire qu’ils auront identifié.
Par ailleurs, compte tenu de la multiplicité des ONG déjà existantes, notamment dans le secteur de l’enfance, il est recommandé de consulter la liste figurant sur le site de l’ambassade avant d’envisager la création d’une nouvelle organisation. Tout au moins, il conviendra, avant tout projet individuel, de prendre certaines précautions : s’informer sur la réglementation locale ; se renseigner sur le partenaire local choisi ; consulter préalablement l’ambassade.
Représentations françaises
Lazimpat BP 452 Katmandou
+977 (1) 44 12 332
44 14 734
44 18 034
ambassade@ambafrance-np.org
http://www.ambafrance-np.org/
Représentations diplomatiques et consulaires en France
Fonctions consulaires assurées par l’Ambassade
45 bis, rue des Acacias 75017 Paris
01.46.22.48.67
nepalinparis@noos.fr
http://www.nepalembassy.org/
Contacts utiles
- Police locale : 4 410 088 ou 4 411 210
- Police touristique : 4 247041
Hôpitaux :
- Népal International Clinic, Docteur Buddha Basnyat :4 435 537
- Ciwec Clinic (en face de l’ambassade de Grande Bretagne): 44 24 111
- Patan Hospital : 5 521 048 ou 5 521 034
Continue Reading »
Documents Administratifs
Ci-dessous vous trouverez les documents nécessaires à l’obtention de votre visa pour le Pakistan*. Veuillez les renseigner et nous les renvoyer par mail à top-visas.com ou par le biais du formulaire de droite.
*A nous retourner remplis dans les plus brefs délais
Brève
Pakistan – Reconduction du moratoire sur la peine de mort (4 octobre 2013)
La France salue l’annonce du gouvernement pakistanais de reconduire le moratoire sur la peine de mort. Elle encourage les autorités pakistanaises à prendre les mesures nécessaires à une abolition définitive.
Lire la suite
Introduction

Si les relations franco-pakistanaises sont anciennes, elles ont longtemps été circonscrites à quelques domaines. Cependant, la bonne image dont la France bénéficie dans ce pays et les enjeux multiples autour du Pakistan ont conduit à une intensification de notre relation et de nos échanges. Cette évolution s’est traduite par une reprise du dialogue au plus haut niveau en 2009.
Site de l’ambassade de France au Pakistan
Mise à jour : 27.12.13
Entrée / Séjour
Visa
Un visa doit être obtenu auprès d’une représentation pakistanaise à l’étranger. Il est généralement accordé pour 3 mois. Au-delà de cette durée, il est nécessaire de solliciter une prolongation (payante) auprès des services du Ministère de l’Intérieur, Bureau du « Section Office Visa ».
Il est impératif de respecter scrupuleusement les indications et restrictions portées sur les documents de voyage, comme la durée du visa. Il convient de ne pas essayer de se rendre sans autorisation dans des régions où le visa ne l’autorise pas, sous peine de se faire arrêter par les autorités pakistanaises, très vigilantes sur ce point, et d’être placé en détention. Plusieurs compatriotes en ont fait l’expérience. L’un d’eux a été détenu pendant 3 mois pour cette raison en 2009.
Les fonctionnaires de police pakistanais ne signalent pas toujours les problèmes rencontrés par des ressortissants étrangers. L’Ambassade ou le Consulat général ne sont donc pas systématiquement informés de l’arrestation d’un Français. Un compatriote a ainsi effectué plusieurs semaines de détention dans un isolement complet.
Journalistes
Les journalistes se rendant ou résidant au Pakistan sont invités à communiquer des précisions, préalablement à leurs déplacements, aux autorités pakistanaises et au service de presse de l’Ambassade de France à Islamabad ou au Consulat Général à Karachi. Ils doivent respecter strictement les restrictions de circulation précisées sur leurs visas. S’ils souhaitent se rendre dans des zones d’accès restreint, ils devront veiller à obtenir les autorisations nécessaires auprès des autorités fédérales compétentes (prendre contact avec le Ministère de l’information).
Dernière mise à jour le: 25 octobre 2013 - Information toujours valide le: 14 mars 2014
- Sécurité
- Transports
- Entrée / Séjour
- Santé
- Infos utiles
Sécurité
Ariane pour votre sécurité, restez connecté. Inscrivez-vous.
- L’environnement sécuritaire au Pakistan est particulièrement dégradé. Les voyages dans ce pays sont formellement déconseillés. Les déplacements à but professionnel restent envisageables dans les centres urbains – Karachi, Islamabad, Lahore et Faisalabad – en observant les mesures de sécurité appropriées. Dans cette hypothèse, il est toutefois recommandé de prendre préalablement l’attache de l’ambassade de France à Islamabad ou du consulat général à Karachi afin de se faire connaître et recevoir un avis circonstancié sur les conditions de sécurité.
Une fois sur place, il est recommandé de limiter les déplacements et d’éviter tout trajet de nuit, d’y varier les itinéraires auxquels il ne devra être donné aucune publicité et de respecter les normes de comportement précisées à la rubrique « Infos utiles ». Ces précautions sont également conseillées à la population française résidente. Il est recommandé de signaler sa présence auprès de l’ambassade à Islamabad ou du Consulat général à Karachi (communiquez par mail vos noms, coordonnées téléphoniques, lieu de résidence et trajet).
Risque terroriste
C’est aujourd’hui la principale menace au Pakistan. Depuis 2007, les attentats terroristes ont coûté la vie à des milliers de personnes au Pakistan. Chaque semaine, des attentats visent des lieux publics (marchés, hôtels, mosquées, postes de police, etc.) à toute heure du jour et de la nuit. Toutes les régions du pays sont concernées. Les régions des FATA, de Khyber Pakhtunkhwa (ex-NWFP), du Baloutchistan et du sud-Penjab (districts de Bahawalpur et de Dera Ghazi Khan) sont particulièrement dangereuses.
- Neuf touristes étrangers – dont un Américain, des Ukrainiens et des Chinois – ont été assassinés par un mouvement taliban le samedi 22 juin vers 22h alors qu’ils se trouvaient près du camp de base de basse altitude du versant ouest du Nanga Parbat situé dans le district de Diamer, à Buner Nallah.
- Cette attaque meurtrière planifiée contre des touristes de la part d’un mouvement taliban affichant l’intention de s’en prendre aux étrangers est la première de ce type survenant au Pakistan et plus particulièrement dans cette province du Gilgit-Baltistan qui avait été épargnée jusqu’à présent par les violences terroristes à l’encontre des étrangers ; cette agression rappelle que le risque terroriste demeure particulièrement élevé dans toutes les régions du Pakistan.
- Pour mémoire, l’attentat contre un marché de Peshawar a fait plus de 100 morts en février 2010 ; un attentat contre deux lieux de culte Ahmadis a fait le même nombre de victimes en mai 2010 à Lahore ; un attentat contre un lieu de culte soufi a fait 41 morts le 1er juillet 2011, toujours à Lahore ; un autre à fait 100 morts dans la région de Mohmand le 9 juillet 2011.
Risque d’enlèvement
Cette menace, qui relève autant du terrorisme que du banditisme, devient également importante. Au Baloutchistan, en Khyber-Pakhtounkhwa (ex-NWFP), y compris dans le district touristique de Chitral, et dans le Punjab (région de Lahore notamment), on note une multiplication des enlèvements visant des personnalités locales comme des touristes de passage. Toutes les nationalités sont potentiellement visées. Certains enlèvements ont eu une conclusion heureuse, comme dans le cas d’un de nos compatriotes, enlevé en mai 2009 alors qu’il traversait le Baloutchistan, libéré après trois mois d’une captivité éprouvante. Ce n’est pas toujours le cas : un ingénieur polonais a été décapité par ses ravisseurs en février 2009, après plus de quatre mois de détention. Un Britannique du CICR à Quetta, enlevé début 2012, a été retrouvé décapité en avril de la même année.
- Karachi connait une hausse des actes de violence à caractère politique, sectaire, ethnique ou criminel (assassinats, attentats à la bombe ou par jets de grenade) et, depuis début 2013, une dizaine de personnes ont été assassinées chaque jour. Plusieurs centaines d’enlèvements pour rançon ont été commis l’an dernier dans la ville et le nombre d’agressions pour vol est en augmentation.
- Il y a eu une série d’enlèvements d’étrangers l’an dernier : un ressortissant Chinois, un Italien et un Allemand travaillant tous deux pour le compte d’une ONG Allemande à Multan et un ressortissant Kenyan travaillant pour l’ONG Care International dans le nord du Sind. Plusieurs d’entre eux sont toujours détenus par leurs ravisseurs. En mars 2013, deux touristes tchèques ont été enlevées dans le Baloutchistan.
Risque de manifestations populaires violentes
Les manifestations populaires publiques, contre la hausse des prix par exemple, peuvent soudainement prendre un tour violent. Les pratiques des forces chargées du maintien de l’ordre, qui peuvent être brutales, peuvent accroître les risques de dommages corporels pour les passants. Il est recommandé de se tenir à l’écart de telles manifestations.
Risque sismique
Le pays se trouve dans une zone de forte activité sismique et les secousses telluriques sont fréquentes. Il est recommandé à nos ressortissants, dans l’hypothèse d’un tremblement de terre durant leur séjour au Pakistan, d’avoir la précaution de rassurer leurs familles ou leurs proches sur leur situation. En cas de difficulté, il convient de prendre l’attache de l’Ambassade de France à Islamabad ou du Consulat Général à Karachi. Pour mémoire, le tremblement de terre d’octobre 2005 dans la région du Cachemire pakistanais, d’une magnitude de 7,6 sur l’échelle de Richter, a causé la mort de près de 80.000 personnes.

Transports
Déplacements
La traversée du pays par voie routière à partir de ou vers l’Iran via le Baloutchistan, ou à partir de et vers l’Afghanistan via la province de Khyber-Pakhtounkhwa (ex NWFP) est à proscrire absolument. L’accès à plusieurs zones est soumis à autorisation préalable des autorités pakistanaises. Ces dernières peuvent interdire l’accès des étrangers à certaines portions du territoire, notamment lorsque les risques y sont particulièrement élevés.
Infrastructure routière
En dehors des grandes artères qui relient les agglomérations, le réseau routier est peu développé. Le réseau secondaire est constitué de pistes peu entretenues nécessitant l’utilisation de véhicules tout terrain. Il existe deux autoroutes reliant Islamabad à Lahore et Karachi à Hyderabad.
Aucune difficulté d’approvisionnement en carburant sur les grands axes routiers.
Les conducteurs ne respectent le plus souvent qu’imparfaitement le code de la route, notamment en matière de priorité. De nombreux véhicules sont anciens, mal équipés et dépourvus de feux en état de fonctionnement. Il est vivement recommandé d’éviter la conduite de nuit. Respectez les limitations de vitesse et mettez votre ceinture de sécurité. En cas d’accident, s’adresser au service de police le plus proche pour l’établissement du constat. Il n’existe pas d’infrastructure hospitalière dans les zones reculées.
Réseau ferroviaire
Le réseau ferroviaire pakistanais est vieillissant et surchargé. La ponctualité et le confort des trains sont d’une qualité très moyenne. Plusieurs accidents graves ont eu lieu ces dernières années. Il est déconseillé de prendre le train, qui peut servir de cible pour des actes de banditisme.
Transport aérien
Le réseau national est développé. Il existe plusieurs aéroports internationaux et une trentaine d’aéroports nationaux. Les horaires sont souvent indicatifs en raison des perturbations climatiques, notamment pour relier le Gilgit-Baltistan.
Santé
Avant le départ
Consultez votre médecin (éventuellement votre dentiste) et souscrivez à une compagnie d’assistance couvrant les frais médicaux et de rapatriement sanitaire.
La situation sanitaire est globalement satisfaisante dans les grandes villes, plus précaire dans le reste du pays.
Vaccinations
La mise à jour de la vaccination diphtérie-tétanos-poliomyélite (+/- coqueluche) est impérative. D’autres vaccinations sont conseillées, selon les conditions d’hygiène et la durée du séjour : fièvre typhoïde, hépatites virales A et B, méningite à méningocoque A et C.
La vaccination contre la rage peut également être conseillée selon les conditions de séjour et de déplacement (notamment les voyages itinérants).
Les enfants doivent impérativement être à jour de leurs vaccinations (en particulier BCG, Haemophilus, Rougeole, Oreillons et Rubéole).
Dans tous les cas, prenez conseil auprès de votre médecin traitant ou d’un centre de vaccinations internationales.
Paludisme
Prévention du paludisme (malaria) : cette maladie parasitaire transmise par les piqûres de moustiques, impose le recours à des mesures de protection individuelle (sprays, crèmes, diffuseurs électriques, moustiquaires…).
A ces mesures, doit s’ajouter un traitement médicamenteux adapté à chaque individu : il convient de s’adresser à votre médecin habituel ou à un centre de conseils aux voyageurs. Le traitement devra être poursuivi après le retour en France durant une durée variable selon le produit utilisé.
Le pays est classé en zone 3. Le paludisme est présent dans les zones désertiques ou en zones humides, particulièrement au moment de la mousson, de juin à août.
Hygiène alimentaire
- Il est conseillé de ne pas boire l’eau du robinet : préférez les eaux en bouteilles capsulées. A défaut, consommez de l’eau filtrée, bouillie et décontaminée.
- Évitez l’ingestion de glaçons, de jus de fruits frais, de légumes crus et de fruits non pelés.
- Évitez la consommation d’aliments (poisson, viande, volaille, lait) insuffisamment cuits.
- Veillez à un lavage régulier et soigneux des mains avant chaque repas.
Quelques règles simples
- Ne caressez pas les animaux que vous rencontrez.
- Veillez à votre sécurité routière (port de la ceinture de sécurité en automobile ou du casque en moto).
- Emportez dans vos bagages les médicaments dont vous pourriez avoir besoin.
VIH – Sida
Prévalence non négligeable du VIH – Sida. Des mesures de prévention doivent être appliquées.
Epidémie de grippe aviaire
A ce jour, le Pakistan n’a déclaré aucune nouvelle affection de grippe aviaire sur son territoire. Néanmoins, la Direction Générale de la Santé recommande aux voyageurs d’éviter tout contact avec les volailles et oiseaux, c’est-à-dire de ne pas se rendre dans les élevages ni sur les marchés aux volatiles.
Pour de plus amples renseignements, consultez les sites Internet suivants :
Infos utiles
Recommandations
- porter des vêtements larges couvrant le corps (privilégier le pantalon et les tuniques larges) ;
- durant la période du Ramadan, s’abstenir de fumer, manger et boire dans les lieux publics durant la journée ;
- ne pas sortir avec de grosses sommes d’argent ou des bijoux ;
- ne pas résister en cas d’agression par des individus armés ;
- éviter les foules (manifestations, marchés, événements sportifs etc.) ;
- éviter de stationner de façon prolongée dans les halls d’hôtels et les espaces d’accueil des lieux publics ainsi que devant ces bâtiments ;
- éviter les lieux de culte de toutes confessions ;
- signaler tout déplacement à son hôtel ou à son agence de voyage ;
- se faire accueillir et reconduire à l’aéroport par des personnes de connaissance ou des contacts sûrs en évitant de prendre un taxi de l’aéroport au centre ville (surtout les femmes) ;
- ne pas photographier, filmer ou reproduire par un quelconque procédé les ponts, les bâtiments militaires et administratifs, les aéroports et les gares ; s’abstenir en cas de doute ;
- demander systématiquement l’autorisation avant de photographier des personnes.
Stupéfiants
La loi sur les stupéfiants (Control of narcotic substances act 1997)est très sévère et ne fait aucune différence entre l’usage et le trafic de stupéfiants. La culture, la production, l’importation, l’exportation ainsi que la détention de stupéfiants sont punies de peines d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à la perpétuité ou la condamnation à mort. Les conditions de détention dans les maisons d’arrêt pakistanaises sont très difficiles et les étrangers ne bénéficient d’aucun traitement de faveur.
Alcool
La consommation d’alcool est interdite aux Musulmans. Elle est autorisée aux non-Musulmans dans un cadre privé. Il est très difficile de se procurer de l’alcool sur place.
Mariages forcés
Veuillez vous reporter vers notre fiche concernant les mariages forcés.
Climat
Grande diversité climatique du Nord au Sud du Pakistan entre les hauts sommets himalayens et les déserts du Sindh.
A Islamabad et à Lahore : climat très chaud de mai à septembre, humide surtout à partir de juillet et assez froid de novembre à mars.
Karachi : chaud et humide toute l’année (très chaud d’avril à septembre).
Représentations françaises
Diplomatique Enclave G5 GPO Box 1068 Islamabad
+92 (51) 201 14 14
ambafrance.islamabad@diplomatie.gouv.fr Numéro d’urgence :
+92 51 201 14 22
http://www.ambafrance-pk.org
Représentations diplomatiques et consulaires en France
Fonctions consulaires assurées par l’Ambassade
18, rue Lord Byron 75008 Paris
01.45.62.23.32
pakemb-paris@yahoo.com
http://embassyofpakistan.free.fr/
Contacts utiles
Karachi :
- Aga Khan Hospital/Clifton Medical Services: +92 0 21 99 25 00 51 / +92 0 21 35 82 28 01
- O.M.I. (Orthopedic and Medical Institute) : +92 0 21 3225 80 75 ou 3225 63 13/14
Islamabad :
- Shifa International Hospital (24h/24) : +92 0 51 460 36 66 / +92 (0)51 486 30 87
- Pakistan Institute of Medical Center : +92 0 51 926 11 70 & pour le children hospital +92 0 51 926 04 51 à 9
Lahore :
- Masood Hospital : +92 0 42 35 88 19 61
- Defence National Hospital : +92 0 42 35 72 27 28
- Children Hospital : +92 0 42 99 23 09 01
Peshawar :
- Khyber Medical Center : +92 0 91 221 12 41 / 221 47 16
- Rehman Medical Institute : +92 0 91 582 55 01 à 08
- Dr. Tariq Nishtar : +92 0 91 584 20 68 ou 570 09 10
Agences consulaires
Consul honoraire de France à Quetta
Tél. : +92 081 287 16 93
Mobile : +92 0300 838 05 57
Consul honoraire de France à Lahore
Tél. : +92 042 576 20 62
Mobile : +92 0300 847 34 05
Alliance Française d’Islamabad
Adresse : House # 9 – Street # 49 – F 6/4 – Islamabad
Tél. : +92 051 282 52 18 / 19
Alliance Française de Karachi
Adresse : Plot ST-1 – Block 8 – Kehkashan – Clifton
Tél. : +92 021 358 734 02
Alliance Française de Lahore
Adresse : 155 Scotch Corner – Street N°3 – Upper Mall – Lahore
Tél. : +92 042 358 743 01 / 03
Continue Reading »
Documents Administratifs
Ci-dessous vous trouverez les documents nécessaires à l’obtention de votre visa pour les Philippines*. Veuillez les renseigner et nous les renvoyer par mail à top-visas.com ou par le biais du formulaire de droite.
*A nous retourner remplis dans les plus brefs délais
Brève
Philippines – Accident de bus (16 décembre 2013)
Nous avons appris avec émotion l’accident d’autobus qui a eu lieu à Manille, aux Philippines, tôt dans la matinée du 16 décembre. La France adresse ses sincères condoléances aux familles et aux proches des victimes.
Lire la suite
Introduction

Les Philippines sont, avec près de 100 millions d’habitants, le deuxième Etat de la région par la population et la 5e économie d’Asie du Sud-est. L’archipel, situé aux confins des mondes chinois et malais, a été façonné par trois siècles de domination espagnole (c’est un des seuls pays d’Asie où le christianisme est la religion majoritaire) et près d’un demi-siècle de tutelle américaine. L’attachement des Philippines à la démocratie, restaurée en 1986 après une parenthèse autoritaire, en fait un partenaire important pour la France.
Dans une volonté mutuelle de développer les échanges bilatéraux, tant politiques qu’économiques et culturels, le Premier ministre s’est rendu aux Philippines en octobre 2012, accompagné des ministres du Commerce extérieur et des Français de l’étranger. Cette visite, qui était la première d’un chef de gouvernement français depuis l’établissement des relations diplomatiques en 1946, marque une étape majeure dans les relations franco-philippines.
Voir le site de l’ambassade de France aux Philippines
Mise à jour : 05.12.13
Philippines
Dernière mise à jour le: 20 janvier 2014 - Information toujours valide le: 14 mars 2014
- Sécurité
- Transports
- Entrée / Séjour
- Santé
- Infos utiles
Entrée / Séjour
Visa
Les règles d’entrée et de séjour aux Philippines sont édictées par les autorités philippines, représentées en France par l’ambassade de la République des Philippines à Paris. Il importe que les Français s’informent auprès des autorités philippines sur les règles relatives à l’entrée et au séjour aux Philippines, et qu’ils s’y conforment.
Visite touristique et séjour de courte durée (moins de deux mois)
Aucun visa préalable à l’arrivée n’est nécessaire pour un séjour ne dépassant pas 30 jours. Le tampon d’entrée apposé à l’arrivée par le service de l’immigration autorise le séjour jusqu’à 30 jours.
Cette mesure s’applique aux titulaires d’un passeport ordinaire (couverture de couleur bordeaux) et en théorie aux titulaires d’un passeport valable un an (couverture verte). Toutefois le service de l’immigration refuse parfois d’apposer un tampon d’entrée sur les passeports d’un an, exposant leurs détenteurs à un refus d’accès au territoire philippin et à leur renvoi immédiat. Il est donc fortement recommandé de privilégier les passeports ordinaires pour voyager aux Philippines.
Dans tous les cas, le visiteur doit être en possession d’un passeport ayant encore au moins six mois de validité et d’un billet d’avion de retour ou de continuation de son voyage. A défaut de réunir ces deux conditions, l’intéressé s’expose à une non-admission dans le pays et à son renvoi immédiat. Le non-respect de ces obligations constituant une négligence de la part du voyageur, aucune intervention auprès des autorités locales ne pourra empêcher son renvoi éventuel.
Il est possible d’obtenir sur place une prolongation de 29 jours au maximum, permettant un séjour total de 59 jours au maximum, avec paiement d’une taxe de 3 030 pesos. Cette démarche s’effectue auprès du bureau de l’immigration (Magallanes Drive, Intramuros, à Manille) ou auprès de l’une des antennes régionales de ce service.
Si l’extension n’a pas été demandée en temps voulu, une amende de 1 000 pesos est perçue.
Les voyageurs doivent acquitter à leur départ à l’aéroport une taxe de 200 pesos à Manille (moins en province) pour les vols intérieurs et de 550 pesos pour les vols internationaux.
Pour les voyages d’affaires ou pour participer à des conférences ou séminaires, il est préférable de prendre contact par avance avec l’ambassade des Philippines à Paris pour s’enquérir de l’éventuelle nécessité d’un visa spécifique.
Résidence et séjour de longue durée (deux mois ou plus)
Les Français séjournant deux mois ou plus aux Philippines doivent être titulaires d’un visa correspondant à la nature de leur séjour et préalablement délivré par l’ambassade des Philippines à Paris.
L’absence de visa ou le non renouvellement du visa sont des négligences qui entraînent une forte amende proportionnelle à la durée de séjour irrégulier et à l’interdiction de sortir des Philippines tant que la situation n’est pas régularisée.
Circulation des mineurs
Les mineurs sortant des Philippines non accompagnés d’une personne ayant l’autorité parentale peuvent être soumis à une autorisation de voyager “travel clearance” obtenue auprès du “Department of Social Welfare and Developpment” (DSWD) selon des conditions et une procédure décrite sur le site de ce service :
Page d’accueil :http://www.dswd.gov.ph/
Page utile :http://www.dswd.gov.ph/faqs/travel-…
Sécurité
Ariane pour votre sécurité, restez connecté. Inscrivez-vous.
Un risque de violences existe sur l’ensemble du territoire philippin, notamment dans les lieux publics.
Risque terroriste
- Des mouvements islamistes armés et notamment le groupe Abou Sayyaf demeurent actifs dans l’ouest de l’ile de Mindanao ainsi que dans l’île de Basilian et les archipels de Sulu et Tawi-Tawi. Des groupes criminels se livrent également à des enlèvements et extorsions de fonds dans cette zone. Ces mouvements et ces groupes sont également susceptibles d’agir loin de leurs bases, sur tout le territoire.
- Les déplacements sont formellement déconseillés dans l’île de Basilan et l’archipel des Sulu (îles de Jolo et Tawi-Tawi) ainsi que dans l’ouest de Mindanao : presqu’île de Zamboanga (provinces de Zamboanga Del Norte, Zamboanga Del Sur et Zamboanga Sibugay), Misamis occidental, Maguindanao (y compris la nouvelle province de Sheriff Kabunsuan), Lanao del Sur, Lanao del Norte, North Cotabato, Sultan Kudarat, South Cotabato (à l’exception de la ville de General Santos), Sarangani. L’utilisation de moyens de transport en commun doit être évitée dans ces zones.
- La guérilla de la New People Army (NPA), branche armée du parti communiste philippin, est présente sur une grande partie du territoire, notamment dans le nord et le centre de l’île de Luçon, dans les îles de Samar, Leyte, Masbate, Negros et Mindoro. Il est particulièrement déconseillé de se rendre dans le centre et l’est de Mindanao où elle est très active (à l’exception des zones côtières) notamment dans la vallée de Compostella. Il convient, pour l’ensemble du pays, de se renseigner avant d’emprunter des voies isolées dans les zones rurales.
Criminalité
Les Philippines connaissent un haut niveau de violence politique, notamment en province. Ces violences ne visent pas les étrangers à l’exception des zones conflictuelles de Mindanao dans lesquelles plusieurs cas d’enlèvements d’étrangers ont été relevés en 2009, que ce soit le fait du groupe terroriste Abou Sayyaf ou de groupes appartenant au grand banditisme. Des milices privées existent dans certaines régions ou municipalités.
- La criminalité générale et les enlèvements sont chaque année en augmentation sur tout le territoire philippin à l’approche des fêtes de fin d’année et pendant cette période.
La violence politique vise essentiellement les personnes engagées en politique. Il convient néanmoins de suivre les précautions d’usage notamment d’éviter les rassemblements politiques lors des campagnes électorales.
Délinquance
Les Philippins sont généralement très accueillants envers les étrangers mais vivent pour nombre d’entre eux dans une grande misère. Les vols commis envers les étrangers sont parfois le fait de personnes ayant su gagner leur confiance. Les quartiers “chauds” de la capitale et les casinos sont plus propices à ce type de méfaits.
Les consignes suivantes sont à observer afin d’éviter tout incident :
- ne pas afficher des signes ostentatoires de richesse (bijoux, appareils photographiques, vidéos) en particulier dans les quartiers populaires ;
- éviter d’avoir recours à des individus non identifiés qui proposent leurs services aux touristes dans les halls des hôtels ;
- ne pas faire étalage de son argent liquide ;
- se méfier des boissons offertes décapsulées par des inconnus car elles peuvent contenir des drogues ;
- rester prudent et respecter les usages locaux.
Piraterie maritime
La piraterie d’origine politique (mouvements terroristes) ou crapuleuse est endémique au large des côtes occidentales de Mindanao ainsi que de celles des archipels de Sulu et Tawi-Tawi. Ces eaux sont également propices au développement de différents trafics. La navigation de plaisance est formellement déconseillée dans le sud de la mer de Sulu et dans le nord de la mer de Célèbes, et la plus grande prudence est recommandée au-delà. Les eaux de la mer de Chine sont également déconseillées en raison des différends portant sur la souveraineté sur les îles et récifs qui la parsèment, et sur les eaux qui les entourent. Voir aussi la fiche sur la Piraterie maritime.
Risque sismique
Le pays est situé dans une région de forte activité sismique. Pour obtenir plus d’informations sur la conduite à tenir en cas de séisme, vous pouvez consulter la fiche Séisme.
Risque volcanique
L’institut de volcanologie des Philippines (PHIVOLCS) a établi des zones de sécurité autour de trois volcans : 6 km autour du volcan Mayon et 7 km sur son flanc sud-est (province d’Albay), 4 km autour du volcan Bulusan (province de Sorsogon) ainsi qu’autour du volcan situé au centre du lac Taal au sud de Manille. Le site de PHIVOLCS peut fournir des informations actualisées. L’approche de certains volcans est autorisée mais peut se révéler particulièrement dangereuse, notamment dans certaines conditions météorologiques. L’accès au Pinatubo a ainsi été interrompu à la suite de crues meurtrières, et le Mayon qui est entré en activité à la fin de l’année 2009 demeure sous étroite surveillance. Des coulées de lahar (boues de cendres) sont à craindre en cas d’intempéries. Pour de plus amples informations veuillez consulter le site www.phivolcs.dost.gov.ph.
En raison d’un fort regain d’activité, et par décision des autorités philippines, l’accès au volcan Taal est interdit au public.
Risque cyclonique
La période cyclonique s’étend de mai au début du mois de décembre. Les typhons affectent en particulier la région des Visayas et le nord de Luçon mais leurs parcours sont parfois susceptibles de changements brutaux. Les précipitations provoquent chaque année des glissements de terrains et des inondations meurtrières en zone rurale. Pour diminuer les risques, il convient d’éviter les zones inondables et les flancs de collines. Des informations précises peuvent être obtenues en consulat la fiche “Risques climatiques” et sur les sites www.oceanweather.com et www.pagasa.dost.gov.ph
Escroquerie au mariage
L’ambassade constate une recrudescence d’escroqueries au mariage dont le mode de fonctionnement est le suivant : un Français rencontre via internet une femme philippine et la perspective du mariage est rapidement évoquée. Des demandes d’argent sont alors transmises sous divers prétextes. Ces escroqueries peuvent porter sur plusieurs milliers d’euros par personne. Elles peuvent se doubler de menaces, chantages, voire fausses plaintes à la police contre le ressortissant français, dans le cas où celui-ci effectuerait une visite dans la famille de sa «fiancée», et qu’il s’apercevrait de la supercherie. La plus grande prudence s’impose donc dès lors qu’il s’agit de rencontre sur internet.

Transports
Infrastructure routière
Il vaut mieux éviter de rouler la nuit, quand le défaut de visibilité accroît considérablement le risque d’accident.
Il est préférable de voyager en taxi ou en voiture de location avec chauffeur ce qui évite tout problème en cas d’accident.
Mauvais état et encombrement des axes routiers, en dehors des grandes villes.
En cas d’incident ou d’accident, garder son calme car les armes sont en vente libre et constituent un danger potentiel.
Les réseaux de transports par bus sont la cible des attentats meurtriers du groupe d’extorsion “Al Khobar” dans le centre et l’ouest de Mindanao.
Réseau maritime
Les transports maritimes sont très développés entre les différentes îles de l’archipel. Certains de ces navires sont cependant dangereux car mal entretenus et ne respectant pas la réglementation ou les normes de sécurité établies. Les risques sont accrus en période de fête (navires surchargés, équipages inattentifs). Il est recommandé d’utiliser l’avion lorsque cela est possible ou d’éviter les navires en mauvais état ou surchargés notamment en période de fête.
Avant tout déplacement par voie maritime, il est conseillé de consulter les sites météorologiques www.oceanweather.com et www.pagasa.dost.gov.ph. Les prévisions de ces sites ne sont cependant pas garanties car les typhons peuvent changer brutalement de parcours. L’utilisation des ferrys est déconseillée en période de saison des pluies (Mai à décembre).
Transport aérien
A la suite d’un audit effectué aux Philippines en octobre 2009, l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (OACI) a informé les Etats membres de la convention de Chicago d’un certain nombre de problèmes de sécurité imputables à la gestion de l’autorité de l’aviation civile philippine. Cette autorité n’ayant pas pris les mesures attendues dans le délai imparti,la Commission Européenne a placé l’ensemble des compagnies aériennes philippines sur la liste des compagnies dont l’activité est interdite dans les pays de l’Union Européenne. Cette interdiction est entrée en vigueur le 1er avril 2010.
La Commission Européenne a également relevé les mesures adoptées par Philippines Airlines et Cebu Pacific pour assurer la sûreté de leurs opérations.
Certains aéroports de localités éloignées peuvent présenter des défaillances. Plusieurs incidents ont été relevés ces dernières années sur l’aéroport de Caticlan qui dessert la station balnéaire de Boracay.
Santé
L’infrastructure médicale est souvent très insuffisante en province. Certains ressortissants étant très isolés, il convient d’avoir à l’esprit que tout problème de santé, mineur en France, peut devenir très problématique aux Philippines, faute de pouvoir être soigné rapidement. Par conséquent, il est fortement recommandé, avant tout voyage aux Philippines, de souscrire à une mutuelle de santé et à un contrat d’assistance rapatriement.
Virus Ebola Reston
Une variante apparemment bénigne du virus d’Ebola, appelée Ebola-Reston, a été identifiée aux Philippines chez les singes et les porcins. Bien que ce virus ne soit pas considéré, a priori, comme présentant des risques pour l’homme, il est conseillé de vérifier avant toute consommation que la viande de porc a été bien cuite.
Paludisme
Cette maladie parasitaire transmise par les piqûres de moustiques impose le recours à des mesures de protection individuelle (sprays, crèmes, diffuseurs électriques, moustiquaires…).
A ces mesures, doit s’ajouter un traitement médicamenteux adapté à chaque individu : il convient de s’adresser à votre médecin habituel ou à un centre de conseils aux voyageurs. Le traitement devra être poursuivi après le retour en France durant une durée variable selon le produit utilisé.
Classification : zone 3
Dengue
Une épidémie de dengue sévit actuellement sur tout le territoire des Philippines, y compris la capitale, Manille. Le ministère de la Santé (DOH) a enregistré une augmentation de 98,9% du nombre de cas de dengue au cours des 8 premiers mois de cette année 2010 par rapport à la même période en 2009 (69.594 infections en 2010). Cette maladie virale est transmise par les piqûres de moustiques et se manifeste le plus souvent par un syndrome grippal (fièvre, douleurs musculaires, parfois éruptions cutanée). Il convient donc de respecter les mesures individuelles de protection et ce, y compris la journée : vêtements longs, produits anti-moustiques à utiliser sur la peau et sur les vêtements, diffuseurs électrique. La dengue pouvant prendre une forme potentiellement grave, il est vivement recommandé de consulter un médecin en cas de fièvre. La prise d’aspirine est à proscrire. Par ailleurs, il n’existe pas de traitement médicamenteux préventif contre la dengue.
Rage
L’ensemble de l’archipel est affecté par la rage, mais les cas concernant des humains semblent plus importants dans le nord de l’île de Luçon et l’île de Bohol. Il convient d’éviter les contacts avec les animaux errants mais aussi les animaux domestiques (chiens et chats), rarement vaccinés, dont le comportement est suspect.
En cas de morsure, nettoyer la plaie avec de l’eau propre et du savon, appliquer un antiseptique, contacter le médecin le plus proche. Des centres de traitement contre la rage (Animal bite treatment clinic) existent dans certaines localités.
Consultez votre médecin traitant avant le départ et contractez une assurance de rapatriement sanitaire.
Epidémie de grippe aviaire
Recommandations générales d’hygiène, pour les voyageurs qui visent à se protéger des infections microbiennes :
- éviter de consommer des produits alimentaires crus ou peu cuits, en particulier les viandes et les œufs ;
- se laver régulièrement les mains avec de l’eau et du savon ou un soluté hydro-alcoolique qu’il est conseillé d’emporter dans ses bagages.
Pour de plus amples renseignements, consulter la fiche réflexe “Risques sanitaires“
VIH – Sida
Le caractère insulaire des Philippines a relativement protégé l’archipel contre la pandémie de sida. Les statistiques sont rares mais le virus HIV y est bien présent.
Pour de plus amples renseignements, consultez les sites Internet suivants :
Infos utiles
Législation locale
- Avertissement concernant la drogue :
Les peines encourues pour usage ou introduction de drogue varient suivant la gravité du délit, le type de drogue et la quantité saisie et s’échelonnent de 6 mois à 40 ans de prison. Les étrangers purgent leur peine avant d’être expulsés du pays.
Les conditions de détention sont difficiles; les prisons sont vétustes et contrôlées par des gangs (absence de cellules individuelles). L’alimentation et les soins y sont insuffisants.
Attention à la consommation de Shabu (drogue chimique locale) qui détruit très rapidement et irréversiblement les centres nerveux.
- Législation relative aux infractions à caractère sexuel :
La législation philippine, en particulier la loi 8353 de 1997 dite “Loi contre le viol” prévoit de lourdes sanctions à l’encontre des auteurs de viols et autres atteintes sexuelles contre les personnes. Diverses dispositions de la loi aggravent les peines lorsque les faits sont commis sur des personnes âgées de moins de 18 ans. Des sanctions encore plus lourdes sont prévues pour les abus sexuels commis sur les mineurs de moins de 12 ans et de moins de 7 ans. Les peines de prison prévues sont de 20 à 40 ans d’emprisonnement.
Les auteurs d’actes de pédophilie sont condamnés à des peines d’emprisonnement également comprises entre 20 et 40 ans. Une peine de sûreté de 30 ans est appliquée aux individus condamnés à la peine maximale (40 ans).
En tout état de cause, et conformément à l’article 113-6 du code pénal, la loi française est applicable à tout crime commis par un Français hors du territoire de la République. Les ressortissants français coupables d’une infraction sexuelle commise aux Philippines peuvent aussi être poursuivis en France en application de la loi 98-468 du 17 juin 1998 pour des faits constitutifs de délits à caractère sexuel y compris si ceux-ci ne sont pas réprimés par la législation locale (article 227-22 et suivants du code pénal).
La France n’ayant pas de convention de transfèrement de prisonniers avec les Philippines, toute peine d’emprisonnement, si lourde soit-elle, est purgée dans le pays, souvent dans des conditions d’extrême précarité.
- La prostitution est interdite.
Divers
Saison sèche : décembre à mai. Saison des pluies : juin à novembre.
En période de mousson, il est conseillé à nos compatriotes qui souhaitent séjourner dans l’archipel de se renseigner concernant les conditions climatiques de l’endroit où ils comptent se rendre, afin d’éviter les régions inondées ou inondables. Des informations climatologiques précises peuvent être obtenues sur les deux sites suivants :www.oceanweather.cometwww.pagasa.dost.gov.ph
Représentations françaises
16th floor Pacific Star building – corner Sen. Gil Puyat Ext. and Makatiavenues 1200 Makati city
+63 (2) 857 69 00
admin-francais.manille-amba@diplomatie.gouv.fr
téléphone d’urgence 24H/24H Ambassade: +63 917 532 0756
http://www.ambafrance-ph.org/
Représentations diplomatiques et consulaires en France
Fonctions consulaires assurées par l’Ambassade
4, Hameau de Boulainvilliers/45, rue du Ranelagh 75016 Paris
01.44.14.57.00
ambaphilparis@wanadoo.fr
http://www.philembassyparis.com/
Contacts utiles
Bureau of Immigration :http://www.immigration.gov.ph/
Secours :
- Makati Medical Center (Manille) : 815 99 11
- Centre de transfusion sanguine : 815 99 11
- Centre antipoison : 524 10 78
- Pompiers : 816 25 53
- ST Luke Hospital : 725 23 28
Continue Reading »
Documents Administratifs
Ci-dessous vous trouverez les documents nécessaires à l’obtention de votre visa pour le Sri Lanka*. Veuillez les renseigner et nous les renvoyer par mail à top-visas.com ou par le biais du formulaire de droite.
*A nous retourner remplis dans les plus brefs délais
L’essentiel
Capitale
Sri Jayewardenepura “Kotte” est la capitale politique de Sri Lanka, Colombo la capitale économique
Langue
Cinghalais et tamoul (langues officielles) ; anglais
Devise
La roupie sri-lankaise (LKR)
Décalage horaire
GMT/UTC + 5h30
Electricité
230-240 V, 50 Hz, courant alternatif ; prises à trois fiches rondes. Emportez un stabilisateur de voltage le cas échéant, mais les adaptateurs sont faciles à trouver sur place.
Téléphone + 94
En savoir plus sur http://www.lonelyplanet.fr/destinations/asie/sri-lanka/lessentiel#ujwfgdtfjyAaqoPG.99
Introduction

Depuis l’établissement des relations diplomatiques en 1948, la France entretient un dialogue politique régulier avec Sri Lanka. Le ministre des affaires étrangères sri lankais a été reçu à Paris en 2011.
La France attache une attention particulière aux questions liées aux droits de l’Homme et a soutenu en 2012 et en 2013 les résolutions du Conseil des droits de l’Homme appelant le gouvernement sri lankais à mettre en œuvre une politique de réconciliation nationale et à lutter contre l’impunité pour les crimes commis durant la guerre civile.
Dans le domaine économique, les relations se développent (346 MEUR de commerce bilatéral en 2012), de même que les échanges humains, avec la présence d’une importante communauté sri lankaise en France.
Enfin, la France entretient une coopération culturelle dynamique, notamment au travers des quatre Alliances Françaises présentes à Sri Lanka. Le français y est la première langue européenne enseignée au niveau secondaire après l’anglais.
Davantage d’informations sur le site de l’ambassade de France au Sri Lanka et aux Maldives.
Mise à jour : 30.12.13
Entrée / Séjour
Visa
- Les voyageurs souhaitant effectuer à Sri Lanka des séjours touristiques inférieurs à 90 jours, ne sont autorisés à entrer dans le pays que sur présentation d’une autorisation (Electronic Travel Authorisation – ETA), payante. La demande peut être effectuée sur Internet (www.eta.gov.lk) si le séjour prévu à Sri Lanka est de moins de 30 jours. Pour des séjours de 30 à 90 jours, elle ne peut être sollicitée qu’auprès d’une mission diplomatique de Sri Lanka.
- L’autorisation ETA ne constitue pas un droit d’entrée: à l’arrivée à Sri Lanka, les visiteurs doivent être munis d’un passeport d’une durée de validité d’au moins 6 mois après la date de retour, d’un billet de retour et de justificatifs de ressources pour la durée de leur séjour.
- Pour une prorogation sur place de la durée du séjour (qui doit être sollicitée 8 jours au moins avant l’expiration du premier mois de séjour), il convient de s’adresser à : Department of Immigration and Emigration : 41, Ananda Rajakaruna Mawatha, Colombo 10 (cf. “Contacts utiles”).
- Il est recommandé aux voyageurs désireux d’effectuer un périple comprenant des étapes en Inde, à Sri Lanka et de nouveau en Inde de s’informer de la nouvelle réglementation indienne en matière de visa de tourisme (voir la fiche Conseils aux Voyageurs Inde, rubrique Entrée/Séjour).
- Si l’objet de la visite à Sri Lanka est autre que touristique, il convient de formuler préalablement au départ une demande de visa auprès des autorités sri lankaises compétentes pour le lieu de résidence du visiteur. Entrer avec un visa de tourisme et le faire transformer en visa de résident expose à un risque d’expulsion du territoire.
Dernière minute
Les élections des conseils des provinces de l’Ouest (districts de Colombo, Gampaha, Kalutara) et du Sud (districts de Galle, Matara et Hambantota) auront lieu le samedi 29 mars 2014.
La campagne électorale est en cours et peut entraîner des débordements, voire des violences. La circulation est occasionnellement perturbée par des manifestations, et des accidents de la route liés au déplacement des militants des partis politiques ont été signalés.
Dans ce contexte, il est recommandé d’être vigilant, de se tenir à l’écart des rassemblements et de faire preuve de discrétion.
Sécurité
Ariane pour votre sécurité, restez connecté. Inscrivez-vous.
Avertissement général
Aucun acte terroriste n’ a été enregistré à Sri Lanka depuis la fin de la guerre. Le risque d’actes individuels violents ne peut être toutefois complètement écarté. Des tensions ethniques et religieuses sont perceptibles dans l’ensemble du pays.
Dans les provinces de l’Est et du Nord, des travaux de reconstruction des infrastructures et d’aménagement des sites touristiques sont en cours. Dans ces régions subsistent des zones qui n’ont pas encore été déminées et qui sont signalées et interdites d’accès. La présence de l’armée reste importante et visible en particulier dans le Nord, mais les barrages routiers ont été levés. Dans ces deux provinces (districts de Mannar, Vavuniya, Mullaitivu, Kilinochchi, Jaffna, Trincomalee, Batticaloa et Ampara), les précautions suivantes sont recommandées :
- respecter la signalisation de la présence possible de mines et les interdictions d’accès à certains endroits ;
- ne pas s’écarter des principaux axes de circulation ;
- éviter les zones forestières, les rizières et les maisons en ruine qui peuvent abriter des mines ou d’autres engins explosifs ;
- faire preuve de retenue quant à l’évocation de la guerre et de la situation politique actuelle.
En toutes circonstances et dans l’ensemble du pays, il est conseillé de faire preuve de vigilance renforcée et de se conformer strictement aux consignes de sécurité émises par les autorités. Il est également conseillé de se tenir à l’écart des rassemblements et des mouvements de foule organisés ou spontanés et d’éventuelles querelles.
Les principaux risques encourus par les voyageurs à Sri Lanka, outre ceux mentionnés dans les onglets « Transports », « Santé » et « Infos utiles », sont :
- les offres de services non sollicitées, émanant des chauffeurs de trois roues (tuk tuk), des rabatteurs aux abords des hôtels, des « beach boys » sur les plages et de personnes se faisant passer pour des guides.
- des actes de harcèlement à caractère sexuel qui ont été signalés dans certaines régions du pays.
Plusieurs personnes ayant réglé des achats à Sri Lanka avec leur carte bancaire ont été victimes d’utilisation frauduleuse des références de leur carte dans d’autres pays. Il convient de privilégier l’utilisation d’espèces retirées en petites quantités dans les distributeurs automatiques pour les menues dépenses.
L’attention des voyageurs est appelée sur les risques à accepter certaines offres de services(organisation de séjours proposée par des blogs sur internet, guides, aide à l’accomplissement de démarches…) qui leur sont faites par des personnes non habilitées, souvent animées d’intentions malhonnêtes.
Les visiteurs étrangers éviteront de se promener seuls après la tombée de la nuit sans s’être informés auprès de personnes connaissant les lieux (amis sri lankais, personnel hôtelier…) des risques potentiels.
Des cas d’attouchements sexuels à l’occasion de soins du corps et/ou de massages ont été signalés. Il est préférable de s’assurer au préalable de la réputation de l’établissement et de s’entourer de précautions une fois sur place.
Il est recommandé aux touristes qui visitent le pays à titre individuel de se signaler auprès de l’ambassade de France à Colombo en précisant les dates et l’itinéraire de leur voyage ou de s’inscrire sur le portail Ariane.
Risques spécifiques aux endroits touristiques
La petite délinquance est en augmentation dans les lieux visités par les touristes, en particulier les vols (notamment sur les plages –cas de vols à l’arraché par des personnes conduisant des motos- et dans les chambres d’hôtes du bord de mer, y compris en présence de leurs occupants).
Aux abords des hôtels et plus généralement des lieux fréquentés par les touristes, peuvent sévir des rabatteurs, chauffeurs de tuk-tuk ou intermédiaires divers qui abordent les étrangers. Après avoir engagé une conversation anodine, ils proposent des services pour lesquels ils ne sont pas habilités. Des touristes ont déclaré avoir été harcelés, voire détournés de leur destination initiale. La réception de l’hôtel peut être de bon conseil sur la fiabilité des chauffeurs de tuk-tuk à ses abords.
De la même manière, les plages de la côte sud attirent beaucoup de vacanciers, et constituent aussi une aubaine pour les individus animés d’intentions malhonnêtes. Y sévissent de nombreux trafics, y compris de drogue. Sont particulièrement, mais non exclusivement visées, les villes et plages de Negombo, Bentota, Hikkaduwa, Galle, Unawatuna.
Risques spécifiques pour les femmes voyageant seules
Des cas de harcèlement sexuel, voire d’agression ont été signalés. Certaines précautions permettent de limiter de tels risques :
- De manière générale, prudence et discrétion sont de mise.
- Tenue vestimentaire : porter de préférence des vêtements longs et garder les épaules couvertes, plus particulièrement en dehors de Colombo.
- Relations avec les Sri Lankais : se comporter avec retenue envers les habitants du pays que l’on peut être amené à côtoyer en voyage ou dans la vie quotidienne (guide, chauffeur, employé d’hôtel ou de maison…).
- Déplacements : certains lieux exposent davantage aux risques de harcèlement (transports en commun, environs des ports et des gares, quartiers fréquentés majoritairement par des hommes, rues avec des échoppes visant une clientèle masculine) il est conseillé aux femmes d’éviter de se déplacer à pied, seules, dans les zones peu fréquentées, après la tombée de la nuit (rues peu animées, y compris dans les grandes villes ; ruelles de villages ; plages, etc.). De même, il vaut mieux éviter de se trouver seule le soir, avec chauffeur de taxi, employé d’hôtel, guide, rencontre occasionnelle.
Piraterie maritime
La piraterie menace la sécurité de la navigation dans l’océan Indien en général. La zone d’action des pirates s’étend jusqu’au sud de l’Inde et aux Maldives. Les côtes sri lankaises pourraient devenir, à terme, une cible des pirates.
Il est recommandé aux navigateurs de plaisance la plus grande prudence lors des déplacements maritimes au large des côtes. Tout accostage doit être immédiatement enregistré auprès de la police locale.
Il est recommandé aux touristes qui visitent le pays à titre individuel de se signaler auprès de l’Ambassade de France à Colombo en précisant les dates et l’itinéraire de leur voyage et de s’inscrire sur le portail Ariane.

Transports
Infrastructure routière
La circulation routière à Sri Lanka (conduite à gauche) présente des spécificités qui la rendent dangereuse : non respect des règles, étroitesse et encombrement des axes routiers, réactions imprévisibles de conducteurs, présence d’animaux sur les routes. Il est préférable de louer une voiture avec chauffeur, de veiller à ce que le véhicule soit assuré et le chauffeur habilité à transporter des touristes et de respecter des temps de repos nécessaires au conducteur.
Les voyageurs qui souhaiteraient néanmoins prendre eux-mêmes le volant doivent savoir que contrairement au discours tenu par certains loueurs de véhicules, ni le permis de conduire français ni le permis international n’autorisent la conduite automobile à Sri Lanka, même durant un court séjour. Un permis de conduire temporaire (1 mois, renouvelable) doit impérativement être obtenu auprès du Department of Motor Traffic, sur présentation du passeport et du permis de conduire détenu (renseignements ; info@motortraffic.gov.lk / cf. “Contacts utiles”).
Réseau ferroviaire
Le réseau dessert la plupart des villes touristiques à partir de Colombo et peut être préféré à la route, notamment pour des destinations peu éloignées et bien desservies comme Kandy ou Galle. Il reste néanmoins vétuste et toutes les conditions de sécurité n’y sont pas assurées. Il est préférable de voyager en 1ère classe.
Santé
Avant le départ
Il est recommandé de contracter une assurance couvrant soins médicaux et rapatriement, l’ambassade de France ne pouvant subvenir aux défaillances à cet égard. Il est par ailleurs prudent de consulter son médecin traitant avant le départ (en cas de problèmes cardiaques notamment).
Sur place
Il est prudent d’avoir sur soi une carte de groupe sanguin et les coordonnées de son assurance soins médicaux, rapatriement. En outre, on veillera aux recommandations suivantes :
- Ne pas consommer l’eau du robinet (attention aux glaçons).
- Eviter les crudités (sauf dans les hôtels et restaurants de bon standing).
- Prévoir une lotion anti-moustique adaptée aux régions tropicales et veiller à se protéger de jour comme de nuit.
Au retour
En cas de fièvre ou autre symptôme survenant après un séjour à Sri Lanka, ne pas négliger de mentionner ce séjour à son médecin.
Dengue
Principal risque sanitaire, elle sévit de manière endémique à Sri Lanka, notamment à Colombo et connaît une recrudescence lors des périodes de pluie.
En 2013, plus de 30 000 cas de dengue ont été recensés, essentiellement dans la province de Colombo.
Il est rappelé que cette maladie virale est transmise par les piqûres de moustiques : il convient donc de respecter scrupuleusement les mesures habituelles de protection (vêtements longs, produits anti-moustiques à utiliser sur la peau et sur les vêtements, diffuseurs électriques…). Des formes graves de la maladie sont possibles, mais restent peu fréquentes : en cas de fièvre, il convient de consulter un médecin. Dans la mesure du possible, éviter la prise d’aspirine ou d’ibuprofène. Préférer le paracétamol.
Chikungunya
Tout comme la dengue, cette maladie virale est transmise par des piqûres de moustiques. Des cas de fièvre chikungunya ont été confirmés officiellement dans plusieurs zones urbaines, notamment à Colombo et Kandy.
Paludisme
Prévention du paludisme (malaria) : cette maladie parasitaire transmise par les piqûres de moustiques impose le recours à des mesures de protection individuelle (sprays, crèmes, diffuseurs électriques, moustiquaires…). A ces mesures, doit s’ajouter un traitement médicamenteux adapté à chaque individu : il convient de s’adresser à votre médecin habituel ou à un centre de conseils aux voyageurs. Le traitement devra être poursuivi après le retour en France durant une durée variable selon le produit utilisé.
Le paludisme est présent toute l’année excepté dans les districts de Colombo, Galle, Gampaha, Kalutara, Matara et Nuwara Eliya.Classification : groupe 2
Compte tenu du faible risque, il est possible de ne pas prendre de traitement préventif pour un séjour inférieur à 7 jours,mais il est cependant indispensable d’être en mesure, dans les mois qui suivent le retour, de consulter en urgence en cas de fièvre.
Epidémie de grippe aviaire
A ce jour, le Sri Lanka n’a déclaré aucune affection de grippe aviaire sur son territoire. Néanmoins, les recommandations générales d’hygiène ci-dessous, qui visent à se protéger des infections microbiennes, sont préconisées :
- éviter de consommer des produits alimentaires crus ou peu cuits, en particulier les viandes et les œufs ;
- se laver régulièrement les mains avec de l’eau et du savon ou un soluté hydro-alcoolique qu’il est conseillé d’avoir toujours avec soi (disponibles dans les pharmacies et les supermarchés des villes).
La Direction Générale de la Santé recommande aux voyageurs d’éviter tout contact avec les volailles et les oiseaux, c’est-à-dire de ne pas se rendre dans des élevages ni sur les marchés aux volatiles.
Vaccinations
- Il est vivement recommandé ses vaccinations Diphtérie, Tétanos, Poliomyélite et Coqueluche.
- Il est également conseillé de se faire vacciner contre l’hépatite A et B ainsi que contre la fièvre typhoïde.
- Pour les séjours en zones rurales, la vaccination contre l’encéphalite japonaise et contre la rage peut être nécessaire.
- Pour les personnes amenées à travailler à Sri Lanka dans le cadre de l’assistance humanitaire aux populations locales, des mesures d’hygiènes strictes s’imposent.
VIH – Sida
Prévalence non négligeable du VIH-Sida. Des mesures de protection individuelles s’imposent.
La liste complète des médecins et hôpitaux conseillés figure sur le site consulaire de l’ambassade
Pour de plus amples renseignements, consultez les sites Internet suivants :
Infos utiles
Us et coutumes
Différentes religions sont pratiquées à Sri Lanka (bouddhisme, hindouisme, islam, catholicisme, protestantisme). Il est conseillé d’avoir une tenue appropriée lors de la visite des lieux des temples bouddhistes (jambes et épaules couvertes, pieds nus). Il convient de respecter toutes les représentations du Bouddha et de ne pas toucher les statues le représentant. L’introduction à Sri Lanka d’objets à vocation non religieuse portant une image du Bouddha peut provoquer l’arrestation des propriétaires de ces objets. Photographier les moines bouddhistes ou se faire prendre en photo à côté d’une représentation de Bouddha expose à des poursuites pénales.
Plusieurs visiteurs portant des tatouages représentant l’image du Bouddha ont été refoulés à leur arrivée sur le territoire sri lankais ou ont fait l’objet de poursuites de la part des autorités.
De façon générale, il est recommandé d’éviter les conversations portant sur les tensions ethniques et religieuses perceptibles dans le pays et d’éviter tout prosélytisme.
L’entrée des femmes dans les mosquées est soumise à des conditions qui peuvent changer selon la branche de l’Islam dont dépendent ces lieux de culte. Il est donc conseillé de se renseigner sur place.
Les temples hindouistes se visitent pieds et tête nus et dans certains d’entre eux, les hommes doivent être torse nu.
Législation locale
Les autorités sri lankaises s’efforcent de lutter contre le tourisme sexuel et collaborent à cette fin avec les autorités des pays d’origine des touristes. L’autorité nationale de protection de l’enfance a établi une liste des personnes soupçonnées ou condamnées pour pédophilie et l’a communiquée aux services d’immigration pour empêcher leur entrée à Sri Lanka. Des lois récentes ont renforcé les sanctions pénales en la matière.
Il est interdit de fumer dans les lieux publics, y compris dans la rue, les restaurants et les bars. Cette infraction est passible d’arrestation.
La vente d’alcool est autorisée dans les restaurants et bars qui possèdent la licence. Elle est interdite les jours de pleine lune (Poya Day) y compris dans les hôtels internationaux.
La détention et la consommation de stupéfiants sont sévèrement réprimées.
Divers
Climat et intempéries
La température moyenne est de 27 à 29° C toute l’année, avec un important taux d’humidité. Les orages peuvent être particulièrement violents et les bâtiments disposant d’un paratonnerre sont moins nombreux qu’en France. Des inondations peuvent survenir de façon soudaine, notamment en zone montagneuse, ainsi que des chutes de pierres et des glissements de terrain.
Baignades
La plus grande prudence est recommandée lors des baignades sur le littoral sri-lankais en raison de la puissance des vagues et de la force des courants. Les rouleaux peuvent exercer un effet « machine à laver » dont le baigneur reste prisonnier. Sur la côte ouest, la baignade en mer est vivement déconseillée à tous les touristes d’avril à novembre et sur la côte est de décembre à mars.
Excursions
Il convient d’aborder les excursions en pleine nature avec prudence, de préférence en compagnie d’un guide qui saura comment se comporter en présence de serpents, singes, éléphants, crocodiles et divers autres animaux (iguanes dans les rivières, même en ville). Dans les parcs et aux abords des sites archéologiques, ne donner en aucun cas de nourriture aux animaux (les singes et les éléphants peuvent se montrer agressifs).
Des cas de rage sont rapportés. Il convient de se tenir à l’écart des chiens errants, en ville comme à la campagne et de consulter un médecin en cas de morsure ou griffure.
La collecte de végétaux et d’insectes est interdite et réprimée par la loi.
Achat
La plus grande prudence est conseillée, lors d’achats de meubles ou d’objets en bois, pouvant être assimilés à des antiquités interdites à l’exportation (s’assurer auprès du vendeur que l’exportation est autorisée et se munir d’une facture ou d’un certificat).
Téléphone satellitaire
En cas d’utilisation de téléphone satellitaire sur le territoire sri lankais, il convient au préalable de s’enquérir de la réglementation en vigueur.
Représentations françaises
89, Rosmead Place 7Colombo
+94 (11) 263 94 00
contact@ambafrance-lk.orgEn cas d’urgence :
+94 11 26 39 410
http://www.ambafrance-lk.org/
Représentations diplomatiques et consulaires en France
Fonctions consulaires assurées par l’Ambassade
16, rue Spontini75016Paris
01.55.73.31.31
sl.france@wanadoo.fr
http://www.srilankaembassy.fr
Contacts utiles
- Police touristique : +94 112 433 342
Secours et Hôpitaux à Colombo:
- Ambulance (General Hospital, gratuit) : +94 11 2691 111
- Ambulance médicalisée (Flack, payant) : +94 1990
- Lanka Hospital : +94 11 4530 000
- Nawaloka Hospital : +94 11 2544 444 à 447
Département of Motor Traffic : (011) 251 89 50 ou 0(11) 251 89 26
Department of Immigration and Emigration : +94 11 533 33 65 ou +94 11 533 31 62
Continue Reading »